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 Solutions financieres

Commaintaire Eleison CCXXVII

Nombreux sont les commentateurs de questions économiques qui actuellement écrivent ou disent que le système mondial financier est au bord de l’effondrement. Aucun d’eux n’est sûr de la date, mais un certain nombre d’entre eux annonce qu’il s’agira d’un effondrement majeur. Pourtant avant le déclenchement de la crise financière de 2008, peu de personnes la virent venir parce qu’ils menaient une vie confortable qui semblait solidement établie et qui semblait devoir durer toujours. Toutefois, si ces commentateurs ont raison, la situation échappera bientôt à tout contrôle.

Nous devrions tous nous demander ce qui n’a pas fonctionné et comment on pourrait redresser la situation. Ci-après une série de propositions pratiques qui a été adaptée d’un récent article sur le site internet Burning Platform (Plateforme en feu). On n’est pas obligé d’être d’accord avec chacune de ces propositions pour se mettre à envisager des alternatives à notre actuel système en chute libre. Il y a des propositions politiques et financières. Commençons par ces dernières:

* Nationaliser ces banques qui pour être «Trop grandes pour tomber» peuvent obliger l’Etat à venir à leur secours. Que leurs pertes retombent sur les gens responsables ou impliqués, et non sur les contribuables.
* Réinstaurer (aux USA) l’Acte Glass-Steagall pour empêcher les banques de jamais redevenir aussi grandes.
* Réinstaurer pour les règles de comptabilité la qualification du marché de telle sorte que les banques ne puissent plus prétendre que leurs actifs apparaissent beaucoup plus importants que ce qu’ils valent en réalité sur le marché.
* Régler le marché des dérivatifs de telle sorte que pareillement aucune entité financière ne puisse parvenir à être si grande qu’en cas de faillite elle menace de faire tomber tout le système (comme cela est arrivé aux Etats Unis avec AIG).
* Simplifier le système actuel si compliqué de l’impôt sur le revenu, ou le remplacer carrément par un impôt sur la consommation, et éliminer les exemptions d’impôt des grandes entreprises.

Remarquons comment de telles propositions peuvent être explicitement financières mais sont implicitement politiques, car pour être mises en pratique elles exigeraient un changement significatif dans la forme de penser politique de la société et particulièrement de ses chefs. La finance dépend de la politique. Voici les propositions plus évidemment politiques que l’on peut discuter, mais qui indiquent du moins la bonne direction:

* Pour combattre la corruption de politiciens trop confortables, imposer des limites à  leurs périodes législatives. Pour combattre la corruption dans les élections provoquée par les intérêts particuliers, empêcher l’action de tous les lobbies.
* Pour limiter le pouvoir de la banque centrale, lui enlever le contrôle de l’émission de la monnaie nationale.
* Réorganiser les bénéfices de la sécurité sociale, qui aujourd’hui sont en train de drainer à tel point les finances que demain plus personne ne pourra en profiter.       
* Remettre en valeur le renoncement pour que les gens acceptent un niveau de vie plus modeste. Au lieu de mener la société à la ruine en dépensant, qu’ils la reconstruisent en épargnant.
* Faire ce qui est possible pour remplacer la croissance suburbaine déchainée, par des communautés qui puissent se suffire davantage à elles-mêmes.
* Renoncer à l’empire mondial de façon à réduire les énormes frais militaires des Etats Unis, par exemple en rapatriant de leurs bases dans le monde entier plusieurs milliers de soldats.

Encore une fois, pour que de telles propositions puissent être mises en pratique, elles exigent un changement important dans la façon de penser des gens, en particulier des chefs. Les décisions politiques dépendent de ce qui est le plus apprécié par les gens. Pourquoi sommes-nous ici-bas sur terre ? Pour jouir de cette vie, ou pour être vraiment heureux dans l’éternité?  Y va-t-il là  d’alternatives mutuellement exclusives ?  Y-a-t’il une éternité ?  Ainsi la politique dépend de la religion, ou du défaut de religion. Aujourd’hui est-ce que même un krach financier ramènera certains au bon sens?

Kyrie eleison

 Soluciones financieras

Comentario Eleison CCXXVII

Numerosos comentaristas de cuestiones económicas están actualmente escribiendo o diciendo que el sistema financiero mundial está al borde del colapso. Ninguno de ellos está seguro del cuando, pero muchos de ellos predicen que va a ser un colapso mayor. Sin embargo, antes de la embestida de la crisis financiera en el 2008, pocas personas la vieron venir porque casi todas estaban muy cómodas en un modo de vida que parecía bien establecido y progresando por siempre. De cualquier modo, si estos comentaristas están en lo cierto, el sistema financiero  está por salirse de su eje.

Todos nosotros deberíamos estar pensando que es lo que anduvo mal y como remediarlo. Aquí abajo hay una serie de propuestas prácticas adaptadas de un artículo reciente en el sitio web Burning Platform (Plataforma en fuego). Uno no necesita estar de acuerdo con cada una de ellas para empezar a visualizar alternativas para nuestro presente sistema quebrado. Hay propuestas políticas y financieras. Empecemos por las últimas:
* Nacionalizar aquellos bancos que por ser “Demasiado grandes para fracasar” pueden obligar al Estado a ir en su rescate. Dejar que todas las pérdidas subsiguientes caigan en los responsables o involucrados, no en los contribuyentes.
* Re-instituir (en Estados Unidos) el Acta Glass-Steagall para impedir que los bancos se vuelvan otra vez tan grandes.
* Re-instituir para las reglas de contabilidad la calificación  del mercado, de manera que los bancos no puedan mas pretender que sus activos valgan mucho mas de lo que en realidad  valen en el mercado.
* Regular el mercado de derivativos de manera tal que asimismo ninguna entidad financiera pueda llegar a ser tan grande como para  amenazar con hacer caer  todo el sistema si quiebra (como pasó en Estados Unidos con AIG).
* Simplificar el presente sistema altamente engorroso de impuestos a la renta personal, o reemplazarlo por completo con un impuesto al consumidor, y eliminar las exenciones impositivas corporativas.
Nótese como tales propuestas pueden ser explícitamente financieras, pero son implícitamente políticas, porque para ponerlas en práctica precisarían un cambio significativo en la forma de pensar política de las personas y especialmente de los líderes. La finanza depende de la política.Aquí están las propuestas mas obviamente políticas, que pueden ser puestas en discusión pero al menos apuntan en la dirección correcta:
* Para combatir la corrupción de los políticos demasiado cómodos, imponer límites a sus períodos legislativos. Para combatir la corrupción en las elecciones originada por intereses especiales, suprimir todos los lobbies.
* Para cortar el poder del banco central, quitarle el control del suministro de dinero a la nación.
* Re-organizar los beneficios de la obra social estatal, que hoy en día están drenando tanto las finanzas que mañana no podrán beneficiar a nadie.
* Re-educar  a la gente para que valoren el espíritu de renuncia y acepten  un nivel de vida mas modesto, de manera que en lugar de llevar la sociedad a la destrucción por sus gastos, la construyan por su ahorro.
* Hacer lo que se pueda para reemplazar el crecimiento suburbano de las villas miseria por comunidades mas autosuficientes.
* Renunciar al imperio mundial de manera a cortar los enormes gastos militares de los Estados Unidos, por ejemplo trayendo de vuelta miles de tropas de sus bases en todo el mundo.
Aquí nuevamente, para que tales propuestas puedan ser puestas en práctica, ellas requieren grandes cambios en la forma de pensar de la gente, especialmente en la de los líderes. Las decisiones políticas dependen de lo que la gente valora mas, comparativa o absolutamente. ¿Porqué estamos vivos? ¿Para disfrutar en la tierra o para ser verdaderamente felices en la eternidad ?  ¿Uno excluye al otro ?  ¿Existe aún una eternidad ?  Asi, la política depende de la religión, o de la carencia de ella.  ¿Será que hoy aún un estallido financiero pueda llevar a algunos a lo que es razonable?
Kyrie eleison

 Finanzlösungen 

Eleison kommentare CCXXVII

Eine ganze Reihe von Wirtschaftskommentatoren schreiben und sagen derzeit, daß das Weltfinanzsystem kurz vor dem Zusammenbruch steht. Zwar kennt keiner von ihnen den genauen Zeitpunkt, aber viele dieser Kommentatoren erwarten einen großen Zusammenbruch. Vor dem Ausbruch der Finanzkrise im Jahre 2008 sahen allerdings nur sehr wenige Menschen diese kommen, weil die meisten sich mit einer Lebensart eingerichtet hatten, welche bewährt zu sein und immer weiterzugehen schien. Wenn jedoch die genannten Kommentatoren recht haben, so wird diese Lebensart nun aus ihren Angeln gehoben.    

Wir alle sollten darüber nachdenken, was schiefgelaufen ist und wie es richtig gemacht werden kann. Es folgen einige praktischen Ratschläge aus einem kürzlich auf der Internet-Seite „Burning Platform“ („Brennende Plattform“) erschienenen Artikel. Man muß nicht mit jedem Punkt des Artikels übereinstimmen, um nach Alternativen zu unserem heutigen zerrütteten System zu suchen. Die Vorschläge sind politischer und finanzieller Natur. Beginnen wir mit den letztgenannten :

* Verstaatlichung jener Banken, welche „zu groß sind, um unterzugehen“ („toobigtofail“) und somit den Staat erpressen können. Übertragung aller damit verbundenen Verluste auf jene Personen, welche für diese Bank verantwortlich oder an ihr beteiligt sind, anstatt auf die Steuerzahler.
* Wiedereinsetzung des US-amerikanischen „Glass-Steagall“-Gesetzes, welches Banken daran hindern würde, jemals wieder so groß zu werden.
* Wiedereinsetzung von Buchhaltungsrichtlinien für Neubewertungen, damit die Banken nicht mehr vorgeben können, ihre Vermögenswerte seien viel mehr wert, als sie auf dem Markt tatsächlich wert sind.
* Regulierung des Derivaten-Marktes, um beispielsweise zu große Finanzunternehmen zu verhindern, welche bei ihrem Bankrott das gesamte System mitzureißen drohen (was  beispielsweise im Falle des US-amerikanischen Versicherungskonzern AIG für „AmericanInternationalGroup“ geschah).
* Vereinfachung des derzeit sehr schwerfälligen Einkommensteuergesetzes oder gleich Ersetzung durch eine Verbrauchersteuer, und Abschaffung von Körperschafts-Steuererleichterungen.

Solche Vorschläge betreffen zwar ausdrücklich das Geldwesen, sind aber auch politischer Natur, weil ihre Realisierung eine entscheidendes politisches Umdenken der Menschen und besonders ihrer Führer voraussetzt. Die Geldwirtschaft hängt von der Politik ab. Es folgen die deutlicher politischen Vorschläge. Diese sind zwar diskussionswürdig, zeigen aber wenigstens in die richtige Richtung:

* Einführung von Amtszeitbeschränkungen zur Bekämpfung von Korruption bei allzu bequemen Politikern. Entfernung aller organisierten Interessengruppen (englisch:Lobbies) und ihrer Vertreter, zur Bekämpfung der durch Spezialinteressen korrumpierten Wahlen.
* Übertragung der Geldkontrolle an den Staat, um die Macht der Zentralbanken zu beschneiden.
* Neugestaltung der staatlichen Sozialhilfe, weil diese heute dermaßen die Staatskassen leert, daß sie morgen überhaupt niemandem mehr wird helfen können.
* Unterrichtung der Menschen dahingehend, daß sie einen weniger hohen „Lebensstandard“ akzeptieren und somit nicht mehr länger durch ihre Verschwendung die Gesellschaft ruinieren, sondern sie im Gegenteil durch ihr Sparen aufbauen.
* Größtmögliche Ersetzung der Zersiedelung durch selbstversorgende Gemeinden.
* Verzicht auf ein Weltreich (im Falle der USA) und dadurch Verringerung der immensen Militärausgaben, beispielsweise durch Zurückholen von tausenden von Truppen überall auf der Welt.

Auch hier gilt: Um solche Vorschläge in die Praxis umsetzen zu können, muß eine große Veränderung im Denken der Menschen und vor allem ihrer Führer vorausgehen. Politische Entscheidungen hängen immer davon ab, was den Menschen wichtiger oder am wichtigsten ist. Warum leben wir eigentlich? Um die Welt zu genießen, oder um auf ewig wirklich glücklich zu sein?  Ist das überhaupt eine Entweder-Oder-Frage?  Gibt es denn eine Ewigkeit?  Solche Fragen zeigen, daß die Politik von der Religion bzw. vom Abschaffen der Religion abhängt. Wird aber heutzutage selbst ein finanzieller Totalzusammenbruch noch jemanden zur Vernunft bringen können?

 Kirie Eleison

 

Soluzione finanziarie

Commentario Eleison CCXXVII

Numerosi commentatori di questioni economiche oggi scrivono o dicono che il sistema finanziario del mondo è sull’orlo del collasso. Nessuno di loro è certo sul tempo, ma molti di loro prevedono che si tratterà di un collasso pesante. Prima dell’inizio della crisi finanziaria del 2008, poche persone la presagivano, perché conducevano confortevolmente un tenore di vita che sembrava ben consolidato e destinato a durare per sempre. Tuttavia, se questi commentatori hanno ragione, esso sta per scardinarsi.

Tutti noi dovremmo riflettere su cosa è andato storto e su come si possa raddrizzarlo. Qui di seguito vi è una serie di proposte pratiche, adattate sulla scorta di un recente articolo pubblicato sul sito Burning Platform. Non è necessario concordare con ognuna di esse per considerare delle alternative al nostro attuale sistema ormai sfasciato. Si tratta di proposte politiche e finanziarie. Incominciamo con le seconde:

* Nazionalizzare quelle banche che per essere “troppo grandi per fallire” possono tenere in ostaggio lo Stato. Si lasci che le perdite ricadano sui responsabili o su chi è coinvolto, non sui contribuenti.
* Ripristinare (negli USA) il Glass-Steagall Act per impedire che in futuro le banche possano nuovamente divenire così grandi.
* Ripristinare dei limiti nelle regole contabili di mercato, così che le banche non possano più pretendere che i loro beni valgano molto di più del loro valore di mercato.
* Regolamentare il mercato dei derivati così che parimenti nessuna entità finanziaria possa diventare talmente grande da minacciare il crollo dell’intero sistema, nel momento in cui fallisce (come accaduto negli USA con l’AIG).
* Semplificare l’attuale sistema altamente farraginoso delle imposte sul reddito o sostituirlo interamente con un’imposta sui consumi, ed eliminare le agevolazioni fiscali alle imprese.

Si noti come tali proposte siano esplicitamente finanziarie, ma al tempo stesso implicitamente politiche, perché per essere attuate è necessario un significativo cambiamento del modo di pensare della gente e specialmente dei dirigenti. La finanza dipende dalla politica. Ecco quindi le proposte politiche più ovvie, passibili di discussione, ma che indicano almeno la giusta direzione:

* Combattere la corruzione dei fin troppo benestanti politici, imponendo dei limiti di mandato. Combattere la corruzione delle elezioni mossa da interessi particolari, abolendo tutte le lobby e i lobbisti.
* Limitare il potere della banca centrale, togliendole il controllo della moneta nazionale. 
* Riorganizzare le prestazioni sociali degli Stati, alle cui finanze esse attingono così tanto che domani non saranno più in grado di aiutare nessuno.
* Rieducare la gente a limitarsi e ad accettare un tenore di vita più basso, così che invece di spendere a scapito della società contribuiscano ad edificarla col risparmio.
* Fare il possibile per rimpiazzare le caotiche periferie con dei quartieri più autosufficienti.
* Rinunciare all’impero mondiale così da tagliare le enormi spese militari degli Stati Uniti, per esempio riportando a casa le migliaia di truppe presenti nelle basi sparse nel mondo.

Anche qui, per attuare tali proposte sono necessari grandi cambiamenti nel modo di pensare della gente e specialmente dei dirigenti. Le decisioni politiche si basano su ciò che ha valore per la gente. Perché siamo vivi? Per godere sulla terra o per essere veramente felici nell’eternità? È questa una domanda aut-aut? C’è un’eternità? In effetti, la politica dipende dalla religione o dalla mancanza di essa. Un crollo finanziario sarà in grado oggi di riportare qualcuno al buonsenso?

Kirie Eleison

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