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DI NOIA, ANNOYER / DI NOIA, ILUSIONISTA / NEUER ÄRGER, DI NOIA / DI NOIA, CHE ANNOIA / DI NOIA, ANNOYER / DI NOIA, IMPORTUNADOR / DI NOIA, POPICHOVAČ

DI NOIA, ANNOYER

Comentaire Eleison CCXCII

Il y a deux mois le Vice-président de la Commission Pontificale Ecclesia Dei de Rome, a adressé au Supérieur Général de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X et à tous ses prêtres une lettre de plusieurs pages accessible sur l’internet que le Père Lombardi, porte-parole du Saint Siège, a qualifiée d’un « appel personnel ». Depuis lors cette lettre a suscité divers commentaires. Il s’agit évidemment de la dernière manœuvre dans la campagne de Rome destinée à mettre en poche la FSPX et à mettre fin à sa résistance de 40 ans à la Révolution Conciliaire. Ainsi que le disait Mgr de Galarreta au mois d’octobre 2011, même si la FSPX repousse continuellement les offres de Rome, Rome reviendra toujours à la charge. En effet. Mais voyons brièvement ce que Mgr. Di Noia tient à dire à « Son Excellence et chers frères prêtres de la Fraternité Saint Pie X » :–

Il commence par admonester les dirigeants de la Fraternité, en particulier les abbés Schmidberger et Pfluger et Monseigneur Fellay (dans cet ordre) pour avoir donné des entrevues tellement critiques envers Rome qu’on peut se demander si la Fraternité veut réellement se réconcilier avec Rome. De plus, les différences doctrinales entre la FSPX et Rome sont toujours aussi irréductibles. De sorte qu’il faut une nouvelle approche, à baser désormais sur l’unité.

L’unité de l’Église, continue-t-il, est empêchée par quatre vices et favorisée par les quatre vertus opposées : humilité, douceur, patience et charité. Ceux qui divisent l’Église sont des ennemis de Dieu. Tout ce qu’il nous faut, c’est l’amour. Loin de nous donc cette « rhétorique âpre et stérile ». Que la FSPX fasse valoir donc son charisme de former les prêtres, mais des prêtres qui soient dociles au Magistère officiel, qui prêchent sur la Foi et non sur les questions polémiques, et qui au lieu de traiter des problèmes théologiques devant les fidèles peu au courant de ces questions, les exposent devant les autorités compétentes à Rome. Le juge suprême de ces questions si difficiles, c’est le Pape. En conclusion, Benoît XVI est vraiment désireux de la réconciliation. Toute amertume doit être écartée. Comme le dit Notre Seigneur, « Qu’ils soient un » (Fin de la lettre de Mgr. Di Noia).

Observez en passant comment, en homme typiquement moderne et moderniste, l’Archevêque escamote la question essentielle de la doctrine. Mais l’intérêt principal de sa lettre ne réside-t-elle pas ailleurs ? – Étant donné que les relations avec Rome ne sont pas du ressort des prêtres, comment Mgr Di Noia aurait-il eu l’audace de s’adresser personnellement à chacun des prêtres de la FSPX sans une précédente connivence avec le Quartier Général de la FSPX? En effet, c’est bien le QG qui a fait parvenir la lettre à tous ces prêtres! Voici une indication parmi bien d’autres qu’il existe toujours des contacts entre Rome et le QG de la FSPX que l’on maintient dans l’ombre. Mais alors surgit la question : Quel motif le QG de la FSPX peut-il avoir eu pour donner à l’Archevêque moderniste un acc&egra ve;s si privilégié et si dangereux à tous les prêtres de la FSPX ? Ce QG veut-il lui aussi qu’ils se fassent modernistes ? Il faut supposer que non ! Par contre c’est bien possible qu’il veuille aider Rome sur le chemin de la « réconciliation ».

En transmettant l’appel à l’amour de l’Archevêque, le QG de la FSPX réussit à passer le doux message à tous les prêtres de la FSPX sans que personne ne puisse accuser le QG lui-même d’être faible à ce point. Au contraire, la lettre romaine leur fait voir à tous combien les Romains sont gentils. Il est vrai toutefois qu’on y trouve aussi un reproche modéré envers les dirigeants de la FSPX pour leur manque de gentillesse, mais ce reproche ne met-il pas en valeur leur fermeté dans la défense de la Foi ! Surtout, la lettre aura servi de ballon d’essai pour mesurer les réactions des prêtres. Que pensent-ils ? Aussi bien Rome que Menzingen ont besoin de calculer quel sera le bon moment pour foncer dans le processus de la « réconciliation », en sorte d’entraîner la grande majorit&ea cute; des prêtres sans trop en perdre, pour que ne reprenne pas la résistance organisée à la religion du Nouvel Ordre Mondial.

Chers prêtres de la FSPX, si vous ne voulez pas être avalés vivants par la Rome du Nouvel Ordre, je vous conseille en toute douceur de réagir. Faites savoir à vos Supérieurs, aussi discrètement que vous le souhaitez mais en termes clairs, que vous ne voulez n’avoir rien, mais vraiment rien, à faire avec la Rome Conciliaire, tant qu’elle n’abandonne pas clairement le mortel Concile.

Kyrie eleison.

DI NOIA, ILUSIONISTA

Comentario Eleison CCXCII

Hace dos meses el Vice-presidente de la Comisión Pontifical Ecclesia Dei de Roma, dirigió al Superior General de la Fraternidad Sacerdotal San Pío X y a todos sus sacerdotes una carta de varias páginas accesible en el Internet que el Padre Lombardi, vocero de la Santa Sede, designó como una “llamada personal”. Desde entonces dicha carta ha suscitado comentarios diversos. Claramente se trata de la última movida de la campaña de Roma para poner a la FSPX de rodillas, y poner fin a su resistencia de 40 años a la Revolución Conciliar. Como lo dijo Monseñor de Galarreta en Octubre del 2011, aún si la FSPX sigue rechazando los ofrecimientos de Roma, Roma volverá siempre a la carga para seducir a los sacerdotes de la FSPX. Lo vemos. Pero veamos brevemente lo que el Arzobispo Di Noia escribe a “Su Excelencia y queridos Hermanos Sacerdotes de la Fraternidad Sacerdotal San Pío X”:

Empieza por amonestar a los líderes de la Fraternidad, notablemente al Padre Schmidberger, al Padre Pfluger y a Monseñor Fellay (en ese orden) por haber dado entrevistas tan críticas acerca de Roma como para poner en duda si la FSPX quiere realmente la reconciliación con Roma. Más aún, las diferencias doctrinales entre la FSPX y Roma son tan insuperables como siempre. De tal manera que se precisa un nuevo enfoque basado ahora sobre la unidad.

La unidad de la Iglesia, recuerda Mons. Di Noia, está impedida por cuatro vicios y favorecida por las cuatro virtudes opuestas de humildad, mansedumbre, paciencia y caridad. Los que dividen la Iglesia son enemigos de Dios. Lo que nos hace falta es el amor. Lejos pues de nosotros una “retórica áspera e improductiva”. Que la FSPX cumpla con su carisma de formar sacerdotes, pero sacerdotes que sean dóciles al Magisterio oficial, que prediquen la Fe y no las cuestiones polémicas, y que no traten los problemas teológicos frente a laicos, ignorantes de estas cuestiones, sino con las autoridades competentes en Roma. El Papa es el juez supremo en cuestiones tan difíciles. En conclusión, Benedicto XVI quiere realmente la reconciliación. La amargura debe ser olvidada. Según las palabras de Nuestro Señor, “Que sean uno” (Fin de la carta del Arzobispo).

Noten de paso como, según la manera típica del hombre moderno y del modernista, el Arzobispo escamotea la cuestión esencial de la doctrina. Pero el principal interés de su carta radica en otra parte: ¿Cómo pudo el Arzobispo osar dirigirse a todos los sacerdotes de la FSPX sin previa connivencia con el Cuartel General de la FSPX? ¡Es el CG que le permitió que la carta les llegue a los sacerdotes! He aquí una indicación entre muchas otras que hay contactos entre Roma y el CG de la FSPX que se ocultan a la vista pública. Pero entonces se presenta la cuestión, ¿Qué motivo pudo haber tenido el CG de la FSPX para dar al Arzobispo modernista un acceso tan privilegiado y peligroso a todos los sacerdotes de la FSPX? ¿Quiere acaso que ellos también se vuelvan modernistas? ¡Hay que suponer que no! Pero puede muy bien querer ayudar a Roma en vista a la “reconciliación”.

Al transmitir el llamamiento al amor del Arzobispo, el CG de la FSPX hace pasar el dulce mensaje a todos los sacerdotes de la FSPX sin que nadie pueda acusar al propio CG de ser tan blando. Al contrario, la carta Romana les hace ver a todos ellos cuán bondadosos son los Romanos. ¡Si bien es cierto que se encuentra allí también un reproche moderado a los líderes de la FSPX por no ser bondadosos, ¡eso servirá para mostrar cómo ellos se mantienen firmes en la defensa de la Fe! Sobre todo, la carta habrá servido de balón de ensayo para probar las reacciones de los sacerdotes. ¿Qué piensan ellos? Tanto Roma como Menzingen necesitan calcular en que momento preciso se puede seguir adelante con la “reconciliación” para llevarse una amplia mayoría de sacerdotes y sin perder demasiados de ellos, impidiendo asi que continúe la resistencia organizada a la religi&oa cute;n del Nuevo Orden Mundial.

Queridos sacerdotes de la FSPX, si vosotros no queréis ser tragados vivos por la Roma del Nuevo Orden, yo les aconsejaría gentilmente reaccionar. Hagan saber a sus Superiores, tan discretamente como quieran pero en términos claros que vosotros no queréis nada, pero nada que ver con la Roma Conciliar, hasta que ella claramente abandone el mortífero Concilio.
 
Kyrie eleison.

NEUER ÄRGER, DI NOIA

Eleison kommentare CCXCII

Vor zwei Monaten schrieb der Vizepräsident der päpstlichen Kommission Ecclesia Dei in Rom, Erzbischof Di Noia, einen mehrseitigen Brief an den Generaloberen der Priesterbruderschaft St. Pius X. und an all ihre Priester. Der Vatikansprecher Hw. Lombardi nannte den Brief einen „persönlichen Appell“. Schon viele Kommentatoren gingen auf den Brief ein, welcher im Internet erhältlich ist. Er stellt sicherlich den jüngsten Versuch Roms dar, die Bruderschaft gefügig zu machen und ihrem 40jährigen Widerstand gegen die konziliare Revolution ein Ende zu setzen. Schon im Oktober 2011 sagte Bischof de Galarreta, daß, selbst wenn die Bruderschaft Roms Angebote ablehne, so doch Rom immer wieder darauf zurückkommen werde. Eben das bestätigen wir. Betrachten wir nun, was Erzbischof Di Noia in seinem Brief zu sagen hat, welchen er mit den Worten einleitet „Eure Exzellenz und liebe Priesterbrüder von der Priesterbruderschaft St. Pius X.“: –

Zuerst erfolgt eine Mahnung des Erzbischofs an die Bruderschaftsoberen, namentlich an Hw. Schmidberger, Hw. Pfluger und Bischof Fellay (in dieser Reihenfolge), weil ihre rom-kritischen Interviews in Frage stellen würden, daß die Bruderschaft überhaupt eine Versöhnung mit Rom wünsche. Weil außerdem die Lehrunterschiede zwischen Rom und der Bruderschaft so unlösbar seien wie eh und je, werde daher ein neuer Ansatz verfolgt, die Konzentration auf die Einheit.

Der Erzbischof fährt fort, daß die kirchliche Einheit durch vier Laster behindert und durch die vier gegenteiligen Tugenden gefördert werde: durch Demut, Milde, Geduld und Nächstenliebe. Kirchenspalter seien Feinde Gottes, und allein die Liebe genüge. Hinweg also mit der „harten und unproduktiven Rhetorik“, so der Tenor. Die Bruderschaft möge mit ihrem eigenen Charisma fortfahren, Priester auszubilden – Priester allerdings, welche fügsam gegenüber dem offiziellen Lehramt sind, welche den Glauben anstatt Rhetorik predigen und welche theologische Probleme nicht vor dem ungeschulten Laienvolk klären, sondern mit den fachkundigen und zuständigen Behörden in Rom. Und der Papst sei der oberste Richter solcher schwierigen Fragen. Schlußendlich wolle Benedikt XVI. die Versöhnung. Verbitterung müsse geheilt werden. Mit den Worten unseres Herrn: „Mögen sie eins sein.“ (Ende des erzbischöflichen Briefes.)

Beachten wir nebenbei, wie dieser Erzbischof in einer für die modernen Menschen und für die Modernisten typischen Weise die grundsätzliche Frage der Glaubenslehre ausklammert. Doch das eigentlich Interessante an diesem Brief ist etwas anderes: Wie hätte der Erzbischof wagen können, seinen Brief ohne Absprache mit dem Generalhaus der Bruderschaft an alle ihre Priester zu senden? Vielmehr war ihm das Generalhaus dienlich, indem es den Brief an alle seine Priester weiterleitete. Dies ist ein weiterer Hinweis von vielen, daß vor der Öffentlichkeit verborgene Kontakte zwischen Rom und dem Bruderschafts-Generalhaus in Menzingen stattfinden. Die Schlüsselfrage lautet allerdings, welchen Beweggrund das Generalhaus haben konnte, dem modernistischen Erzbischof so einen bevorzugten und gefährlichen Zugang zu all den Bruderschaftspriestern zu gewähren. Möchte das Generalhaus, daß sie ebenfalls Modernisten werden? Vermutlich nicht. Aber es kann durchaus wünschen, Rom zu helfen beim Marsch in die „Versöhnung“.

Durch die bloße Weitergabe des erzbischöflichen Liebes-Appells an die Priester erreicht das Generalhaus, daß diese süße Botschaft alle Priester erreicht, ohne daß jemand das Generalhaus beschuldigen könnte, weich geworden zu sein. Im Gegenteil wird der römische Brief diese Priester alle glauben machen, wie nett die Römer seien. Zwar gibt es den erwähnten sanften Tadel an die Bruderschaftsoberen – daß diese nicht so nett seien –, allerdings dient dieser doch insbesondere der Demonstration, wie fest die Oberen in der Glaubensverteidigung stünden. Vor allen Dingen war der Brief ein Versuchsballon, um die Reaktion der Priester zu erkunden. Wie denken diese darüber? Sowohl Rom als auch Menzingen müssen ermitteln können, an welchem Punkt sie mit der „Versöhnung“ voranschreiten können, so daß diese mit einer großen Mehrheit der Priester erfolgt, ans tatt zu viele Priester zu entfremden, welche dann einen organisierten Widerstand gegen die Neue Weltordnung fortsetzen würden.

Liebe Bruderschaftspriester, wenn Sie nicht bei lebendigem Leibe vom „Rom der Neuen Ordnung“ geschluckt werden wollen, so möchte ich auf schonende Weise empfehlen, daß Sie reagieren. Informieren Sie Ihre Oberen – so diskret wie Sie wünschen, aber in aller Deutlichkeit –, daß Sie nichts, aber auch gar nichts mit dem konziliaren Rom zu tun haben wollen, bevor es nicht eindeutig das Konzil aufgibt

Kyrie eleison.

DI NOIA, CHE ANNOIA

Comentario Eleison CCXCII

Due mesi fa, il Vice Presidente della romana Pontificia Commissione Ecclesia Dei ha scritto una lettera di diverse pagine al Superiore Generale e a tutti i sacerdoti della Fraternità San Pio X, lettera che è accessibile su Internet e che Padre Lombardi, portavoce della Santa Sede, ha definito un “appello personale”. Da allora, la lettera ha suscitato parecchi commenti. Si tratta chiaramente dell’ultima mossa della campagna romana volta a mettere la FSSPX al guinzaglio e a porre fine alla sua quarantennale resistenza alla rivoluzione conciliare. Come ha detto Mons. de Galarreta nell’ottobre 2011, anche se la FSSPX rifiuta le offerte di Roma, questa tornerà sempre alla carica. Ed infatti. Ma vediamo brevemente cos’ha da dire Mons. Di Noia a Sua “Eccellenza e Cari fratelli sacerdoti della Fraternità Sacerdotale San Pio X”:-

Egli comincia con l’ammonire i dirigenti della FSSPX, in particolare Don Schmidberger, Don Pfluger e Mons. Fellay (in questo ordine), per aver rilasciato delle interviste così critiche su Roma, da rimettere in questione il fatto che la FSSPX voglia realmente la riconciliazione con Roma. Prosegue dicendo che le differenze dottrinali tra la FSSPX e Roma sono irrisolvibili come sempre. Quindi, che c’è bisogno di un nuovo approccio che faccia perno sull’unità.

L’unità della Chiesa è ostacolata da quattro vizi e promossa da quattro opposte virtù: umiltà, mansuetudine, pazienza e carità. Coloro che sono contro l’unità della Chiesa sono nemici di Dio. Ciò di cui abbiamo bisogno è amore. Al bando quindi la “retorica aspra e controproducente”. Che la FSSPX adempia il suo carisma della formazione di sacerdoti, ma di sacerdoti che siano docili nei confronti del Magistero ufficiale, che predichino la fede e non facciano polemica, e che trattino i problemi teologici, non di fronte ai laici impreparati, ma con le competenti autorità a Roma. Il Papa è il giudice supremo di tali difficili questioni. In conclusione, Benedetto XVI vuole la riconciliazione. Ogni amarezza dev’essere superata. Nelle parole di Nostro Signore: “Che siano una cosa sola” (fine della lettera dell’Arcivescovo.)

Si noti di passaggio che, com’è tipico dell’uomo moderno e dei modernisti, l’Arcivescovo mette in sordina la questione essenziale della dottrina, così che l’interesse principale di questa lettera sta altrove: l’Arcivescovo, come ha osato indirizzarla a tutti i sacerdoti della Fraternità senza prima aver concordato la cosa con la direzione della FSSPX? Avrà dovuto farlo, perché è da questa direzione che la lettera è stata inoltrata a tutti i sacerdoti della FSSX! Ecco quindi un indizio tra molti altri che vi sono dei contatti fra Roma e la FSSPX che vengono nascosti al pubblico. Ma la domanda che sorge è: qual è il motivo per cui la direzione della FSSPX ha dato all’Arcivescovo modernista un accesso tanto privilegiato e pericoloso, a tutti i sacerdoti della FSSPX? Vuole che anch’essi diventino modernisti? Bisogna supporre che no! Ma potrebbe voler aiutare Roma per la “riconciliazione”.

Trasmettendo l’amorevole appello dell’Arcivescovo, la direzione della FSSPX ha mandato un messaggio morbido a tutti i sacerdoti della FSSPX, senza che nessuno possa accusarla di essere essa stessa morbida. Piuttosto, la lettera romana permetterà di far vedere a tutti, quanto siano dolci i Romani. Vero è che essa contiene un gentile rimprovero ai capi della FSSPX, ma questo servirà a dimostrare quanti essi siano saldi nella difesa della fede! Soprattutto la lettera servirà da banco di prova per testare le reazioni dei sacerdoti. Cosa stanno pensando? Roma e Menzingen hanno bisogno di calcolare quando possono spingere in avanti la “riconciliazione”, in maniera da portarsi dietro una larga maggioranza di sacerdoti e non alienarsene così tanti da permettere la continuazione della resistenza organizzata alla nuova religione del Nuovo Ordine Mondiale.

Cari sacerdoti della FSSPX, se non volete essere fagocitati dal Nuovo Ordine di Roma, io vi consiglio gentilmente di reagire. Fate sapere ai vostri Superiori, con tutta la discrezione che volete, ma senza mezzi termini, che voi non volete avere niente, ma proprio niente, a che fare con la Roma conciliare, fino a quanto essa non abbandonerà chiaramente il Concilio.

Kyrie eleison.

DI NOIA, ANNOYER

Eleison Comments CCXCII

Two months ago the Vice-president of Rome’s Pontifical Commission Ecclesia Dei addressed to the Superior General of the Society of St Pius X and to all its priests a letter of several pages, accessible on the Internet, which Fr. Lombardi as spokesman for the Holy See called a “personal appeal”. The letter has been raising comments ever since. It is clearly the latest move in Rome’s campaign to bring the SSPX to heel, and put an end to its 40-year resistance to the Conciliar Revolution. As Bishop de Galarreta said in October of 2011, even if the SSPX turns down Rome’s offers, still Rome will keep coming back. Sure enough. But let us see briefly what Archbishop Di Noia has to say to “Your Excellency and dear Priestly Brothers of the Society of St Pius X”:–

He begins by admonishing Society leaders, notably Fr Schmidberger, Fr Pfluger and Bishop Fellay (in that order) for giving interviews so critical of Rome as to call in question whether the SSPX really wants reconciliation with Rome. Moreover, doctrinal differences are as intractable as ever between the SSPX and Rome. So he calls for a new approach, focusing on unity instead.

Church unity is hindered by four vices and promoted by the four opposing virtues of humility, mildness, patience and charity. Dividers of the Church are enemies of God. All we need is love. Away then with “harsh and unproductive rhetoric”. Let the SSPX fulfil its charism of forming priests, but priests who will be docile to the official Magisterium, who will preach the Faith and not polemics, and who will treat theological problems not in front of untrained layfolk but with the competent authorities in Rome. The Pope is the supreme judge of such difficult questions. In conclusion, Benedict XVI does want reconciliation. Bitterness must be healed. In Our Lord’s words, “Let them be one.” (End of the Archbishop’s letter.)

Notice in passing how, typically for modern man and for modernists, the Archbishop brackets out the essential question of doctrine, but this letter’s main interest lies elsewhere: how could the Archbishop have dared to address it to all SSPX priests without prior collusion with SSPX HQ? It served him by forwarding the letter to all SSPX priests! Here is one indication amongst many others that there are contacts between Rome and SSPX HQ that are kept from public view. But the question then arises, what motive can SSPX HQ have had to give to the modernist Archbishop such privileged and dangerous access to all SSPX priests? Does it want them to become modernists also? Surely not! But it may well want to help Rome towards “reconciliation”.

By transmitting the Archbishop’s loving appeal, SSPX HQ gets the sweet message through to all SSPX priests without anybody being able to accuse HQ itself of going soft. On the contrary, the Roman letter makes them all see how nice the Romans are. True, there is a gentle rebuke to the SSPX leaders for not being nice, but that will serve to show how these are standing firm in defence of the Faith! Above all, the letter will have served as a trial balloon, to test the priests’ reactions. What are they thinking? Both Rome and Menzingen need to calculate at what point to go ahead with a “reconciliation” such as will carry with it a large majority of the priests, and not alienate so many that organized resistance to the New World Order religion will continue.

Dear SSPX priests, if you do not want to be swallowed alive by New Order Rome, I gently advise you to react. Let your Superiors know, as discretely as you like but in no uncertain terms, that you want nothing, but nothing, to do with Conciliar Rome, until it clearly abandons the Council


Kyrie eleison.

DI NOIA, IMPORTUNADOR

Comentários Eleison CCXCII

Há dois meses o vice-presidente da Comissão Pontifícia Ecclesia Dei endereçou ao Superior Geral da Fraternidade São Pio X e a todos os padres uma carta de várias páginas (disponível na Internet), a qual o porta-voz da Santa Sé, Padre Lombardi, chamou de “apelo pessoal”. A carta suscitou comentários desde então. Ela é claramente o último movimento da campanha de Roma para arrastar a FSSPX, e pôr um fim à resistência de 40 anos à Revolução Conciliar. Como o Bispo de Galarreta disse em outubro de 2011, mesmo que a FSSPX não aceitasse a oferta de Roma, ainda assim Roma continuaria a voltar. Com certeza. Mas vejamos brevemente o que o Arcebispo Di Noia tem a dizer a “Sua Excelência e caros Irmãos Sacerdotais da Fraternidade São Pio X”:
Ele começa admoestando os líderes da Fraternidade, notadamente o Pe. Schmidberger, o Pe. Pfluger e o Bispo Fellay (nessa ordem), tanto por darem entrevistas tão críticas sobre Roma como por questionarem se a FSSPX realmente quer a reconciliação com Roma. Além disso, as diferenças doutrinais seguem intratáveis como sempre entre a FSSPX e Roma. Então ele clama por uma nova abordagem, focando, em vez disso, na unidade.

A unidade da Igreja é impedida por quatro vícios e promovida pelas quatro virtudes opostas da humildade, mansidão, paciência e caridade. Os que dividem a Igreja são inimigos de Deus. Tudo de que precisamos é amor. Fora então com a “retórica áspera e improdutiva”. Deixe-se a FSSPX realizar seu carisma de formar sacerdotes, mas sacerdotes que sejam dóceis ao Magistério oficial, que pregarão a Fé e não polêmicas, e que tratarão de problemas teológicos não na frente de leigos inexperientes, mas com autoridades competentes de Roma. O Papa é o supremo juiz de tais questões difíceis. Em suma, Bento XVI quer uma reconciliação. A amargura deve ser curada. Nas palavras de Nosso Senhor, “Que eles sejam um” (fim da carta do Arcebispo).

Note-se de passagem que, tipicamente para o homem moderno e para os modernistas, o Arcebispo põe entre parênteses a questão essencial da doutrina, mas o principal interesse desta carta reside em outro lugar: como poderia o Arcebispo ter ousado enviá-la a todos os padres da FSSPX sem um prévio conluio com o QG da FSSPX? Este serviu a ele ao repassar a carta a todos os sacerdotes! Eis aí uma indicação entre muitas outras de que há contatos entre Roma e o QG da FSSPX que são mantidos longe da vista do público. Mas então se levanta a questão: que motivo pode ter tido o QG da FSSPX para dar ao Arcebispo modernista um acesso tão privilegiado e perigoso a todos os padres da FSSPX? Querem que eles se tornem modernistas também? Certamente que não! Mas podem bem querer ajudar Roma rumo à “reconciliação”.

Ao transmitir o afetuoso apelo do Arcebispo, o QG da FSSPX leva a doce mensagem a todos os padres da FSSPX sem que ninguém seja capaz de acusar o próprio QG de estar amolecendo. Pelo contrário, a carta do Romano faz com que eles todos vejam como os Romanos são agradáveis. É verdade, há uma reprimenda gentil aos lideres da FSSPX por não serem agradáveis, mas isso serve para mostrar como estes se mantém firmes na defesa da Fé! Acima de tudo a carta terá servido como um balão de ensaio, para testar as reações dos padres. O que eles estão pensando? Ambos, Roma e Menzingen, precisam calcular até que ponto irão adiante com a “reconciliação”, e também como levarão com isso a grande maioria dos padres, e não se indispor com tantos, pois a resistência à religião da Nova Ordem Mundial continuará.

Caros padres da FSSPX, se os senhores não querem ser engolidos vivos pela Nova Ordem de Roma, eu gentilmente aviso aos senhores que reajam. Deixem que seus Superiores saibam, tão discretamente quanto quiserem, mas em termos não incertos, que os senhores não querem ter nada, mas nada a ver com a Roma Conciliar, até que ela claramente abandone o Concílio.    

Kyrie eleison.

Tradução: Mosteiro da Santa Cruz

DI NOIA, POPICHOVAČ

Komentář Eleison CCLXCII

Před dvěma měsíci adresoval místopředseda římské papežské komise Ecclesia Dei generálnímu představenému Bratrstva sv. Pia X. a všem jeho kněžím dopis o několika stranách, jenž je přístupný na internetu, a který P. Lombardi jako mluvčí Svatého stolce nazval „osobní výzvou“. Od té doby tento dopis vyvolává komentáře. Jasně jde o poslední tah v kampani Říma přivést FSSPX k poslušnosti a ukončit jeho čtyřicetiletý odpor vůči koncilnímu Římu. Jak řekl biskup de Galarreta v říjnu 2011, i když FSSPX odmítne římské nabídky, Řím se bude stále vracet. Vskutku. Podívejme se však krátce, co musí arcibiskup Di Noia říci „Vaší Excelenci a milému Kněžskému bratrstvu sv. Pia X.“:

Začíná pokáráním vůdců Bratrstva, především P. Schmidbergera, P. Pflugera a biskupa Fellayho (v tomto pořádku) za to, že poskytují tak kritické rozhovory vůči Římu, jako by chtěli zpochybnit, zda FSSPX opravdu chce smíření s Římem. Mimo to věroučné rozdíly mezi FSSPX a Římem jsou tak neřešitelné jako vždy. Vyzývá tedy k novému přístupu, který se má na místo toho soustředit na jednotu.

Jednotu Církve brzdí čtyři neřesti a podporována je čtyřmi protikladnými ctnostmi pokory, mírnosti, trpělivosti a křesťanské lásky. Ti, kteří Církev rozdělují, jsou nepřáteli Boha. Vše co potřebujeme, je láska. Pryč tedy s „hrubým a neplodným řečněním“. Ať FSSPX naplňuje své charisma formování kněží, ale kněží, kteří budou poslušní oficiálního Magisteria, kteří budou učit Víru a nikoliv polemiky, a kteří budou o teologických problémech jednat nikoliv před neškolenými laiky, ale s kompetentními autoritami v Římě. Papež je nejvyšším soudcem takových obtížných otázek. Nakonec Benedikt XVI. přece chce smíření. Zahořklost musí být zahojena. Slovy Našeho Pána: „Aby jedno byli.“ (Konec arcibiskupova dopisu.)

Všimněte si mimochodem, jak typicky pro moderního člověka a pro modernisty, dává arcibiskup do závorek podstatnou otázku věrouky. Hlavní zájem tohoto dopisu však leží jinde: jak se arcibiskup mohl opovážit adresovat jej všem kněžím FSSPX, aniž by tu předtím existovala tajná dohoda s vedením FSSPX? To mu posloužilo při přeposílání dopisu všem kněžím FSSPX! Zde je jeden z mnoha dalších náznaků, že existují kontakty mezi Římem a vedením FSSPX, které jsou skrývány před pohledem veřejnosti. Pak však vyvstává otázka, jaký může mít vedení FSSPX motiv dát modernistickému arcibiskupovi takový privilegovaný a nebezpečný přístup ke všem kněžím FSSPX? Chce, aby se také stali modernisty? Jistě ne! Může však docela dobře chtít pomoci Římu ke „smíření“.

Předáním arcibiskupovy láskyplné výzvy dostává vedení FSSPX toto nasládlé poselství ke všem kněžím FSSPX, aniž by kdokoliv mohl vedení samotné obvinit, že měkne. Právě naopak dopis Říma jim všem ukazuje, jak milí ti Římané jsou. Pravda, je tu mírná výtka vůči vůdcům FSSPX, že nejsou hodní, to však bude sloužit jako ukázka toho, jak jsou tito pevní při obraně Víry! Především tento dopis poslouží jako pokusný balónek k otestování reakce kněží. Co si myslí? Jak Řím, tak Menzingen musí odhadnout, v jakou chvíli pokročit ve „smíření“ takovém, aby s sebou přineslo velkou většinu kněží a neztratilo podporu tolika, že by organizovaný odpor vůči Novému světovému pořádku pokračoval.

Milí kněží FSSPX, jestliže nechcete být pohlceni Nový římským pořádkem zaživa, jemně vám radím, abyste reagovali. Nechejte své představené tak diskrétně, jak chcete, nikoliv však žádnými nejistými výrazy, vědět, že nechcete mít nic, ale opravdu nic, co dočinění s koncilním Římem, dokud jasně neopustí koncil.

Kyrie eleison.nul nabídku svého kolegy. Opět jsem se odvolal.

Kyrie eleison.

Zdroj:  HTTP://rexcz.blogspot.cz

 

 

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