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prowilliamson

2010-01

Du bon sens en economie / Economía sensata / Gesunde volkswirtschaft / Il buon senso in economia

Du bon sens en economie

Quand trop de puissants personnages sont directement intéressés à ce que les économistes soient confus eux-mêmes et maintiennent les autres dans la confusion, c’est un soulagement que de rencontrer (sur jsmineset.com) un peu de bon sens tel que l’expriment les «Sept Commandements » de l’Austrian School of Economics (L’Ecole Autrichienne d’Economie).

Les deux premiers « Commandements » sont élémentaires. Les cinq autres condamnent cinq manières pour les Etats d’aujourd’hui, sous la pression politique sans doute, de tenter d’échapper à ce que les deux premiers imposent. Voici ces commandements, chacun avec son commentaire.

1) « Tu dois gagner de l’argent ».Avec le continuel besoin humain de faire des dépenses en nourriture, vêtements et logement, chaque individu, chaque famille, et chaque Etat doit de façon ou d’autre gagner de l’argent. Or, ils ne peuvent le faire qu’en produisant et en fournissant des biens ou des services que les autres membres de la communauté (ou les autres Etats) sont prêts à acheter.

2) « Tu ne dépenseras pas plus que tu ne gagnes ».Aucune personne, aucune famille, aucun Etat ne peut durablement dépenser plus qu’il ne gagne. Ou alors la dette s’envole jusqu’au moment fatidique où les créditeurs refusent de prêter plus. A ce moment-là, soit il faut rembourser la dette, ce qui est douloureux, soit il faut ne pas l’honorer, ce qui peut être désastreux.

3) « Un Etat ne doit pas promulguer trop de règles ». Un Etat doit édicter des lois qui protègent et favorisent le bien commun, mais si des règles trop nombreuses entravent l’activité productive des citoyens, alors au lieu de l’encourager elles la restreignent, ce qui lèse le bien commun.

4) « Un Etat ne doit pas prélever trop d’impôts ».De même, trop de taxes perçues sur l’activité productive entravent, voire paralysent, cette activité au point même où un excès d’impôts aboutit à une diminution des entrées d’impôts.

5) « Un Etat ne doit pas chercher à sortir d’une récession en augmentant ses dépenses ». Dans une récession où les citoyens diminuent à la fois leur épargne et leurs dépenses, aucun gouvernement ne devrait avoir recours à un accroissement de ses propres dépenses pour en sortir. Et ceci parce que cet argent supplémentaire dépensé provient soit d’un prêt supplémentaire (voir 2), soit de taxes supplémentaires (voir 4), ou bien d’une envolée de la planche à billets (voir 6). Ces trois alternatives ont chacune des limites strictes.

6) « Un Etat ne doit pas chercher à sortir d’une récession en recourant à la planche à billets ». Aucun gouvernement ne peut sortir d’une récession rien qu’en imprimant plus de billets de banque ou en fabriquant de l’argent électroniquement. Car, à moins que cette augmentation d’argent fabriqué ne corresponde à une augmentation comparable de la production de biens et de services, un trop-plein d’argent liquide disponible pour une même quantité de biens tire inexorablement les prix vers une hyperinflation qui peut même finir par détruire toute valeur de la monnaie.

7) « Un Etat ne doit pas chercher à sortir d’une récession par l’emploi public ». Ce qui revient à dire qu’un gouvernement ne doit pas résoudre le chômage rien qu’en recrutant plus de bureaucrates fonctionnaires non productifs (voir 1), ou en payant de plus en plus d’indemnités de chômage (voir 5).

Cependant, si les peuples « démocratiques » adorent Mammon à tel point qu’ils votent toujours, élections après élections, pour les mêmes politiciens à la solde des serviteurs de Mammon, qui peuvent-ils blâmer si ce n’est eux-mêmes de se retrouver sous la férule de ces hommes d’argent ? Et si, en fin de compte, le résultat de tout cela est une grande misère pour tous ces peuples, n’est-ce pas la marque de la justice immanente de Dieu qui les punit par là où ils ont péché ? Par ailleurs, leurs agissements ont-ils laissé à Dieu d’autres moyens de leur faire comprendre qu’Il ne leur a pas donné la vie que pour la production, l’économie, l’argent et, même, l’Ecole Autrichienne d’Economie ? Et que ces choses sont bien nécessaires à leur place, mais qu’au-dessus et bien au-delà d’elles il y a un Paradis éternel et un Enfer éternel ?

Kyrie eleison.

 

Economía sensata

Cuando demasiadas personas poderosas tienen un interés personal en el que los "economistas" estén confundidos y nos confundan, es un alivio encontrarse (en jsmineset.com) con el sentido común de los "Siete Mandamientos" de la Escuela Austriaca de Economía.

Los primeros dos, listados a continuación, son elementales.Los últimos cinco condenan cinco maneras en las que, hoy en día, muchos gobiernos de Estado están intentando evitar la obediencia de los primeros dos, sin duda por presiones políticas. Aquí los presento, cada uno con un comentario:--

1) "Debes de tener ganancias". Con la continua necesidad de todo hombre de gastar en comida, vestido y vivienda, cada persona, familia y Estado debe, de alguna manera, de ganar dinero. Únicamente pueden obtener una ganancia produciendo o proveyendo a los otros miembros de la comunidad (u otros Estados) con bienes o servicios que ellos están dispuestos a comprar.

2) "No deberás de gastar más de lo que ganas". Ninguna persona, familia o Estado puede seguir gastando, indefinidamente, más de lo que gana. De otra manera acumulará la deuda hasta el punto en que los acreedores le pongan fin. Es entonces cuando la deuda debe de ser finalmente liquidada, lo que es doloroso, o el deudor puede declararse en incumplimiento de pago, lo que podría resultar desastroso.

3) "Ningún Estado puede formular demasiadas reglas." Un Estado debe formular reglas para propiciar el bien común, pero si éste restringe la actividad productiva de los ciudadanos al establecer demasiadas reglas, dañará al bien común al restringir en lugar de promover dicha actividad.

4) "Ningún Estado puede gravar demasiado." De igual manera, demasiados impuestos requeridos por el Estado sobre la actividad productiva entorpecerá, o inclusive paralizará, dicha actividad, así es que un exceso de cargas fiscales puede terminar por disminuir el ingreso por impuestos recaudado por el Estado.

5) "Ningún Estado puede salir de una recesión aumentando sus gastos." Durante una recesión cuando la mayoría de los ciudadanos de un Estado ganan y gastan menos, ningún gobierno puede resucitar esa ganancia y ese gasto simplemente gastando más él mismo, ya que para obtener ese dinero extra para poder gastarlo, debe de pedir prestado (ver 2) o imponer más impuestos (ver 4) o imprimir dinero de la nada (ver 6). Cada una de estas alternativas tiene límites estrictos.

6) "Ningún Estado puede salir de una recesión imprimiendo billetes." Ni puede un gobierno solucionar una recesión fabricando dinero extra para gastar meramente imprimiendo más y más billetes o apretando más teclas de la computadora, debido a que a menos que exista un incremento en la producción de bienes equivalente al incremento en el suministro de dinero, demasiado dinero en el intento de comprar los mismos productos provocará una alza en los precios hasta el punto en que la híper-inflación puede eventualmente terminar por destruir el dinero totalmente.

7) "Ningún Estado puede salir de la recesión empleando él mismo." Ni puede un Gobierno resolver el desempleo simplemente contratando a los desempleados como burócratas gubernamentales no-productivos (ver 1), o pagando cada vez más cheques para subsidiar a los desempleados (ver 5).

Sin embargo, si la gente "democrática" adora tanto a Mamon (dios de la codicia) y por lo tanto continúa votando por políticos que han sido comprados por los siervos de este dios, ¿a quién pueden culpar sino a sí mismos si estos maestros del dinero se apoderan de sus gobiernos? Y si el resultado será una miseria viviente para la misma gente, ¿no será que el Señor Dios los habrá castigado justo en donde han pecado? Y ¿le habrán dejado alguna otra manera de hacerlos entender que El no les dio vida únicamente para producir, para la economía y el dinero, ni siquiera para la Escuela Austriaca? ¿O el de hacerles entender que estas cosas son necesarias en su justo lugar, pero que antes que nada y sobre todo que existe un Cielo eterno y un Infierno eterno?

Kyrie eleison.

Gesunde volkswirtschaft

Wenn allzuviele mächtige Leute meinen, ihr ureigenes Interesse bestehe darin, daß verwirrte Volkswirtschaftler auch andere verwirren sollen, dann ist es eine Erleichterung feststellen zu dürfen, wie die "Sieben Gebote" der "Österreichischen Schule" für Volkswirtschaft den gesunden Menschenverstand bewahrt haben (siehe www.jsmineset.com ). Die ersten beiden Gebote sind grundlegend. Die letzten fünf Gebote verwerfen fünf Wege, auf denen viele Regierungen heute versuchen - zweifellos aufgrund politischen Drucks - , den ersten beiden Geboten zu entkommen.Hier sind diese "sieben Gebote", jedes mit einem Kommentar versehen: -

1.) "Du mußt verdienen". Da alle Menschen dauernd Nahrung, Kleidung und Obdach brauchen, müssen die einzelnen Menschen, die Familien und der Staat etwas verdienen. Sie können nur dadurch verdienen, daß sie für die anderen Glieder der Gemeinschaft (oder für andere Staaten) Waren oder Dienstleistungen, welche diese anderen zu kaufen bereit sind, produzieren oder bereitstellen.

2.) "Du sollst nicht mehr ausgeben, als Du verdienst". Kein Mensch, keine Familie und kein Staat darf auf Dauer mehr ausgeben, als er verdient. Andernfalls muß er Schulden anhäufen, bis die Gläubiger Einhalt gebieten. Dann muß der Schuldner die Schulden entweder zurückzahlen, was schmerzlich ist, oder er gerät in Verzug, was katastrophale Auswirkungen haben kann.

3) "Kein Staat darf zu viele Regeln machen". Für das Gemeinwohl muß der Staat Regeln aufstellen, doch wenn allzuviele Bestimmungen die Produktionstätigkeit der Bürger einschränken, dann schadet dies dem Gemeinwohl, weil dadurch die Leistungsfähigkeit eingeschränkt anstatt gefördert wird.

4) "Kein Staat darf zu hohe Steuern erheben". Werden auf die Produktionstätigkeit zu hohe staatliche Steuern erhoben, behindert das die Leistungsfähigkeit, ja kann sie sogar lähmen. Deswegen wird eine übermäßige Besteuerung die Steuereinnahmen des Staates sogar verringern.

5) "Kein Staat kann durch seine eigene Ausgabenerhöhung einer Rezession entrinnen". In einer Rezession verdienen die meisten Bürger weniger und geben auch weniger aus. Kein Staat kann dieses Verdienen und Ausgeben bloß dadurch wiederbeleben, daß er selber mehr ausgibt. Denn um das zusätzliche Geld für seine Ausgaben zu erlangen, muß er entweder Geld borgen (siehe 2) oder mehr Steuern erheben (siehe 4) oder Geld aus Luft drucken (siehe 6). Allen drei Alternativen sind enge Realitätsgrenzen gesetzt.

6) "Kein Staat kann durch Gelddrucken einer Rezession entrinnen". Keine Regierung kann durch Drucken von mehr Geld eine Rezession verhindern, indem sie immer mehr Banknoten druckt oder durch den Druck auf Computer-Tasten immer mehr virtuelles elektronisches Geld erzeugt. Nur die erhöhte Produktion von Gütern rechtfertigt den Anstieg der Geldmenge. Andernfalls wird zu viel Geld zu wenige Güter "jagen", den Preisanstieg erzwingen und so die Gefahr herbeiführen, daß eine Hyperinflation das gesamte Geld sogar vernichtet.

7) "Kein Staat kann durch Mehreinstellung einer Rezession entrinnen". Keine Regierung kann das Problem der Arbeitslosigkeit dadurch lösen, daß sie die Arbeitslosen als nicht-produktive Regierungsbürokraten anstellt (siehe 1), oder immer mehr Arbeitslosengelder ausbezahlt (siehe 5).

Wenn allerdings Menschen in den "Demokratien" den Gott des Geldes anbeten und deshalb immer mehr die von den Mammon-Dienern gekauften Politiker ins Parlament wählen, wem können dann diese Menschen die Schuld geben wenn nicht sich selber, daß reine Geldmenschen ihre Regierungen übernehmen? Und wenn solche Völker daraufhin ins Elend fallen, wird dann der Herrgott sie nicht genau damit bestraft haben, womit sie sündigten? Und werden sie Gott einen anderen Weg gelassen haben, um ihnen zu zeigen, daß er nicht für Produktion, Wirtschaft, Geld oder sogar die "Österreichische Schule" den Menschen das Leben schenkt? Wie anders kann Gott ihnen wieder beibringen, daß diese Dinge am rechten Platz zwar notwendig sind, daß es aber darüber hinaus noch weit wichtigere Realitäten gibt: einen ewigen Himmel und eine ewige Hölle?

Kyrie eleison.

Il buon senso in economia

Quando troppi personaggi potenti hanno tutto l’interesse che gli "economisti" siano confusi e confondano, è un sollievo incontrare (su jsmineset.com) il buon senso dei "Sette Comandamenti" dell’Austrian School of Economics (Scuola Austriaca dell’Economia). I primi due, come si vedrà dall’elenco seguente, sono elementari. Gli altri cinque condannano cinque modi con cui oggi molti governi, indubbiamente su pressioni politiche, stanno cercando di sfuggire a quanto fissato dai primi due.Ecco questi comandamenti, ciascuno con un commento:

1. "Devi guadagnare". Con il continuo bisogno degli uomini di spendere per il cibo, il vestiario e l’alloggio, ogni persona, famiglia e Stato deve in qualche modo guadagnare. Questo possono farlo solo producendo o fornendo agli altri membri della società (o agli altri Stati) dei beni o dei servizi che questi sono disposti comprare.

2. "Non devi spendere più di quanto guadagni". Nessuno: persona, famiglia o Stato, può andare avanti indefinitamente spendendo più di quanto guadagna. Diversamente si accumuleranno debiti fino al punto che i creditori si rifiuteranno di fare più credito. A quel punto o si restituisce il debito, che è cosa dolorosa, o non lo si onora, che può essere cosa disastrosa. 3. "Nessuno Stato può imporre troppe regole". Uno Stato deve imporre regole per il bene comune, ma se l’attività produttiva dei cittadini viene limitata con troppe regole, tale attività verrà impedita piuttosto che promossa, determinando un danno al bene comune.

4. "Nessuno Stato può imporre troppo tasse". Anche l’eccessiva tassazione dello Stato sull’attività produttiva la ostacola, e anche la paralizza, così che un eccesso di tassazione sfocia in una diminuzione delle entrate fiscali dello Stato.

5. "Nessuno Stato può aumentare le spese per uscire da una recessione". Nel corso di una recessione, dove la maggior parte dei cittadini di uno Stato contemporaneamente guadagna e spende meno, nessun governo può rafforzare il guadagno e la spesa semplicemente spendendo di più esso stesso, perché per ottenere il denaro da spendere extra deve o ricorrere al prestito (vedi il punto 2) o ricorrere alle tasse (vedi il punto 4) o stampare moneta dal nulla (vedi il punto 6). Alternative che hanno tutte e tre dei limiti ristretti. 6. "Nessuno Stato può uscire dalla recessione stampando moneta". Né un governo può superare la recessione fabbricando sempre più banconote o premendo i tasti di un computer, perché, a meno che non vi sia un aumento della produzione di beni corrispondente alla crescita dell’offerta di moneta, il troppo denaro contante a fronte della stessa quantità di beni porterebbe all’aumento dei prezzi fino all’iper-inflazione, che potrebbe infine distruggere la stessa moneta.

7. "Nessuno Stato può uscire dalla recessione con sua propria occupazione". Né un governo può rimediare alla disoccupazione assumendo semplicemente dei disoccupati, creando così dei funzionari improduttivi (vedi il punto 1) o pagando sempre più indennità di disoccupazione (vedi il punto 5).

Tuttavia, se i popoli "democratici" adorano Mammona tanto da continuare a votare per i politici che servono Mammona, chi potranno biasimare, se non loro stessi, se i loro governi sono in mano di questi uomini schiavi dei soldi? E se il risultato consisterà poi nella miseria per questi stessi popoli, non si sarà trattato della punizione di Dio per il loro peccato? Gli hanno forse lasciato altre vie per far loro comprendere che non hanno ricevuto la vita da Lui solo per la produzione, l’economia, il denaro o perfino l’Austrian School? O per far loro comprendere che queste cose sono necessarie al loro proprio livello, ma che al di sopra e al di là di esse vi è un Paradiso eterno e un eterno Inferno?

Kyrie eleison.

Erreur papale I / Error papal I / Päpstlicher Irrtum I / Errore del Papa I

Erreur papale I

Il y a deux semaines, le Pape Benoît XVI, en parlant des relations entre la Rome de Vatican II et la Fraternité Saint-Pie X (FSSPX), a une nouvelle fois montré combien l’erreur Conciliaire est puissante et subtile. C’était dans une allocution prononcée devant la session plénière du 15 janvier dernier de la Congrégation Romaine de la Doctrine de la Foi (autrefois le Saint-Office). Les trois premiers paragraphes de son discours (long de 12 paragraphes) devraient être cités en entier, mais, faute de place ici, voici un résumé le plus fidèle possible.

1. Votre Congrégation partage le ministère spécial du Pape pour conserver l’unité de l’Eglise en gardant la doctrine Catholique. Cette unité dépend de l’unité de la Foi dont le Pape est le plus éminent défenseur. Sa tâche première est de confirmer dans la Foi le troupeau qui lui est confié et de le maintenir dans l’unité. 2. Votre autorité enseignante, comme celle du Pape, implique l’obéissance à la Foi de sorte qu’il n’y ait qu’un seul troupeau et un seul Pasteur. 3. A tout instant, l’Eglise doit rassembler tous les Chrétiens pour qu’ils soient ensemble des témoins de la Foi : « J’accorde une confiance toute particulière à votre engagement pour que, dans cet esprit, vous puissiez résoudre tous les problèmes doctrinaux qui restent en suspens de sorte que la FSSPX puisse atteindre la pleine communion avec l’Eglise. »

Le problème ici est bien plus que de savoir si, oui ou non, la FSSPX est « dans la pleine communion avec l’Eglise ». Il y va plutôt de toute la relation qu’il y a entre l’unité et la Foi. En réalité, l’unité Catholique dépend essentiellement de la Foi Catholique. Un Catholique est d’abord défini par ce en quoi il croit. D’où il découle que dans tout endroit où il n’y a pas de Foi Catholique, il n’y aura pas de catholiques à unir, tandis que là où il y a par contre la Foi Catholique, il y aura tout ce qu’il faut pour fonder l’unité Catholique. En fait, le Pape le dit (1) : « l’Unité est principalement l’unité dans la Foi », mais ensuite (1, 2, 3), il relie l’unité et la Foi comme si elles sont d’une importance égale, au point même de les rendre presque interdépendantes, alors que la vraie unité est totalement dépendante de la vraie Foi. S’il ne pensait pas ainsi, comment pourrait-il arriver à sa conclusion, citée en entier ci-dessus (3), où il donne l’impression de pousser sa Congrégation à résoudre les problèmes doctrinaux afin d’établir l’unité entre Rome et la FSSPX ?

Or le devoir du Vicaire du Christ n’est pas d’unir Rome et la FSSPX à tout prix, pour ainsi dire, mais de les unir dans la Foi Catholique telle qu’elle nous a été donnée par le Christ. Si donc il y a une différence doctrinale entre Rome et la Fraternité Saint-Pie X (il y en une, et elle est de taille !), alors son premier souci devrait être de déterminer laquelle des deux a la Foi Catholique et laquelle ne l’a pas. Puis, il devrait unir toute l’Eglise autour de celle des deux qui a la Foi Catholique, même s’il se trouve que c’est la pauvre p’tiote FSSPX ! « P’tiote », ou petite, tellement elle est insignifiante sauf par sa Foi !

Hélas, Benoît XVI est plus Conciliaire qu’il n’est Catholique. Or ce Concile, en plaçant l’homme avant Dieu, a constamment miné la doctrine Révélée par Dieu, à savoir la Foi, au nom de l’unité œcuménique des hommes. Voilà pourquoi, à moins d’un miracle, Benoît XVI est incapable de saisir la véritable signification de la prise de position doctrinale de la FSSPX. En même temps, combien de Catholiques ne seront pas facilement trompés par la transition en douceur par laquelle il passe de beaucoup de Vérité explicite (1et 2) à sa subversion implicite (3) ? Peu ! L’erreur est d’autant plus puissante qu’elle est conçue et exprimée de façon subtile ! Nous devons prier pour ce miracle.

Kyrie eleison.


Error papal I

Cuando hace dos semanas el Papa Benedicto XVI hablaba acerca de las relaciones entre la Roma del Vaticano II y la Sociedad de San Pío X (FSSPX), mostró una vez más lo sutil y poderoso que es el error Conciliar. El 15 de enero El introducía una sesión plenaria de la Congregación para la Doctrina de la Fe (anteriormente conocida como el Santo Oficio). Los primeros tres párrafos de su discurso, conformado en total de doce párrafos, necesitarían citarse en su totalidad, pero tendremos que conformarnos con un resumen, tan fiel como sea posible.

1. Su Congregación participa del ministerio especial del Papa que, atraves su cuida de la doctrina Católica, asegura la unidad de la Iglesia. Esa unidad depende de la unidad en la Fe, de la que el Sucesor de Pedro es el primer custodio y defensor. Confirmar a los hermanos en la fe, manteniéndoles unidos, constituye su primer y fundamental deber. 2. Su autoridad para enseñar, al igual que la del papa, involucra a la obediencia de la Fe, para que haya un solo rebaño, debajo del único Pastor. 3. En todo momento la Iglesia debe alcanzar el testimonio común de la fe de todos los cristianos, "En este espíritu confío en particular en su compromiso para que se superen los problemas doctrinales que aún permanecen, para alcanzar la plena comunión con la Iglesia, por parte de la Fraternidad San Pío X."

El problema aquí va muchomás allá de si la FSSPX está o no en "plena comunión con la Iglesia". El problema es la totalidad de la relación que se hace entre la unidad y la Fe. En realidad, la unidad Católica depende esencialmente de la Fe Católica. A un Católico se le define primeramente por lo que cree, por lo tanto ahí donde no hay Fe Católica tampoco puede haber Católicos por unir, y ahí donde existe esa Fe, ahí se encuentra la base esencial de la unidad Católica. Ahora, el Papa ciertamente dice (1) que en efecto "la Unidad es de hecho primordialmente unidad en la Fe," pero generalmente (1, 2, 3), conecta a la unidad y a la Fe como si estuviesen en el mismo plano, casi como si fueran interdependientes una de la otra, cuando sabemos que la unidad verdadera depende por completo de la Fe verdadera. ¿De qué otra manera podría llegar a su conclusión del punto (3), citada anteriormente en su totalidad, donde da la impresión de que le ordenó a su Congregación que se superen los problemas doctrinales para alcanzar la unidad entre Roma y la FSSPX.?

Sin embargo el deber del Vicario de Cristo no es el de unir a Roma y a la FSSPX a cualquier costo, por decirlo así, sino el unirlas en la Fe Católica como nos fue dada por Cristo. Si existe entonces una diferencia doctrinal entre Roma y la FSSPX (¡la hay, y es enorme!), en consecuencia su problema primordial es el de definir cuál de las dos tiene la Fe Católica, y cuál no la tiene. Y entonces deberá de reunir a toda la Iglesia en torno de la que tenga la Fe, ¡aún cuando ésta resulte ser la pobrecita FSSPX! "Pobrecita", porque es insignificante, ¡a excepción de su Fe!

¡Señor! Benedicto XVI es más Conciliar que Católico. Ahora bien, el Concilio al poner al hombre delante de Dios, constantemente socavaba la doctrina Revelada de Dios, o la Fe, en nombre de la unidad ecuménica de los hombres. Esa es la razón por la cual Benedicto XVI es incapaz de entender, a excepción de un milagro, el significado de la postura doctrinal tomada por la FSSPX. Mientras tanto, ¿cuántos Católicos no corren el riesgo de ser engañados por la suavidad de Su transición, de tanta Verdad (en los puntos 1 y 2) a su perdición (en el punto 3)? ¡Muy pocos! ¡El error es tan poderoso como es sutilmente concebido y expresado! Debemos orar por el milagro.

Kyrie eleison.


Päpstlicher Irrtum I

Als Papst Benedikt XVI. vor zwei Wochen über die Beziehungen zwischen dem Rom des Zweiten Vatikanum und der Priesterbruderschaft St. Pius X. sprach, wurde einmal mehr deutlich, wie feingesponnen und schwerwiegend der konziliare Irrtum ist. Der Papst hielt die Rede am 15. Januar 2010 auf einer Plenarsitzung der römischen Kongregation für die Glaubenslehre (früher das Heilige Offizium genannt). Von den zwölf Absätzen der päpstlichen Rede sollten die ersten drei vollständig zitiert werden, doch muß aus Platzmangel eine möglichst getreue Zusammenfassung genügen:

1) Ihre Kongregation nimmt am besonderen Dienste des Papstes teil, die Einheit der Kirche durch die Wahrung der katholischen Lehre zu gewährleisten. Diese Einheit der Kirche hängt von der Einheit im Glauben ab, dessen erster Verteidiger der Papst ist. Seine oberste Aufgabe besteht darin, die Brüder im Glauben zu stärken und unter ihnen die Einheit zu wahren. 2) Ihr Lehramt beinhaltet - wie das des Papstes - den Gehorsam gegenüber dem Glauben, so daß es nur eine Herde unter dem einen Hirten gebe. 3) Zu allen Zeiten muß die Kirche die Christen dazu bewegen, gemeinsam den Glauben zu bekennen. "In diesem Sinne vertraue ich besonders auf Ihren Einsatz, die verbleibenden Lehrprobleme zu beseitigen, welche die Priesterbruderschaft daran hindern, die volle Gemeinschaft mit der Kirche zu erreichen."

Das Problem an dieser Stelle reicht allerdings viel weiter als nur die Frage, ob die Priesterbruderschaft nun in "voller Gemeinschaft mit der Kirche" sei. Das eigentliche Problem ist das Verhältnis zwischen der Einheit und dem Glauben der Kirche. In Wirklichkeit hängt die katholische Einheit im wesentlichen vom katholischen Glauben ab. An erster Stelle macht der Glaube das Wesen des Katholiken aus: Dort, wo kein katholischer Glaube vorhanden ist, kann es keine Katholiken geben, die eine Einheit bildeten. Dort jedoch, wo dieser katholische Glaube überhaupt existiert, ist die wesentliche Grundlage für die katholische Einheit gegeben. Nun sagt der Papst zwar (1), daß "tatsächlich die Einheit in erster Linie aus der Einheit im Glauben besteht", aber er verbindet die Einheit und den Glauben allgemein so (1, 2, 3), als ob beide Größen auf der gleichen Stufe stünden, und beinahe entsteht der Eindruck, als ob beide von einander abhingen. In Wirklichkeit beruht die echte Einheit vollständig auf dem wahren Glauben. Doch der Papst kommt zu der von uns vollständig zitierten Schlußfolgerung (3), wo er anscheinend seine Kongregation anweist, sie solle um der Einheit zwischen Rom und der Priesterbruderschaft willen die Glaubensprobleme zu überwinden suchen.

Nun besteht allerdings die Pflicht des Stellvertreters Christi nicht darin, Rom und die Priesterbruderschaft um jeden Preis - sozusagen - zu vereinen, sondern sie im katholischen von Jesus Christus geoffenbarten Glauben zusammenzubringen. Wenn ein Unterschied in der Glaubenslehre zwischen Rom und der Priesterbruderschaft existiert (diesen Unterschied gibt es und er ist riesig!), dann ist die wichtigste Aufgabe des Papstes, eindeutig zu prüfen, wer von beiden Gruppen den katholischen Glauben wirklich besitzt. Dann muß der Papst die gesamte Kirche um jene Gruppe sammeln, die den katholischen Glauben hat, auch wenn das die arme winzige Priesterbruderschaft sein sollte! Ja, sie ist winzig und arm, weil sie abgesehen von ihrem katholischen Glauben ganzunbedeutend ist.

Ach, Benedikt XVI. ist mehr konziliar als katholisch eingestellt! Nun aber hat das Konzil den Menschen über Gott gestellt und deswegen im Namen der ökumenischen Einheit der Menschen die geoffenbarte Lehre Gottes, den Glauben der Kirche, fortwährend untergraben. Deshalb ist Benedikt XVI. unfähig zu begreifen - außer durch ein Wunder -, was die nach der wahren Glaubenslehre ausgerichtete Haltung der Priesterbruderschaft wirklich bedeutet. Doch wieviele Katholiken sind dagegen gefeit, vom sanften und freundlichen Übergang des Papstes von viel Wahrheit (1, 2) zur Unterhöhlung der Wahrheit (3) getäuscht zu werden? Nur wenige! Der Irrtum ist so schwerwiegend, wie er fein ersonnen und ausgedrückt ist! Wir müssen für das erwähnte Wunder beten.

Kyrie eleison.

Errore del Papa I

Parlando due settimane fa sulle relazioni tra la Roma del Vaticano II e la Fraternità Sacerdotale San Pio X (FSSPX), Papa Benedetto XVI ha dimostrato ancora una volta quanto sia sottile e poderoso l’errore Conciliare. Il 15 gennaio egli si è rivolto alla Plenaria della Congregazione per la Dottrina della Fede (prima conosciuta come Sant’Uffizio). I primi tre paragrafi di questo indirizzo di saluto, composto da dodici paragrafi, andrebbero citati per intero, ma dobbiamo limitarci ad una sintesi quanto più fedele è possibile.

1. La vostra Congregazione partecipa dello speciale ministero del Papa di garantire l’unità della Chiesa salvaguardando la dottrina Cattolica. Questa unità dipende dall’unità nella Fede di cui il Papa è il primo difensore. Confermare i fratelli nella Fede e tenerli uniti è il suo primo compito. 2. La vostra autorità d’insegnamento, come quella del Papa, comporta l’ubbidienza alla Fede, così che vi sia un unico gregge sotto l’unico Pastore. 3. In ogni tempo la Chiesa ha voluto che tutti i cristiani testimoniassero insieme la Fede. "In questo spirito confido in particolare nell’impegno del Dicastero perché vengano superati i problemi dottrinali che ancora permangono per il raggiungimento della piena comunione con la Chiesa da parte della Fraternità S. Pio X."

Il problema qui è molto più che se la FSSPX sia o no in "piena comunione con la Chiesa". Il problema sta nella relazione tra l’unità e la Fede. In realtà l’unità Cattolica è essenzialmente dipendente dalla Fede Cattolica. Un cattolico si definisce primariamente per quello che egli crede, quindi laddove non c’è la Fede Cattolica non possono esserci Cattolici da unire, e laddove vi è questa Fede vi è la base essenziale per l’unità Cattolica. Ora, in effetti qui (1) il Papa dice che "L’unità è infatti primariamente unità di fede", ma generalmente (1, 2, 3) egli collega unità e Fede come se fossero su un piano di parità, quasi fossero interdipendenti, mentre invece la vera unità è interamente dipendente dalla vera Fede. Se non fosse questo il suo pensiero, come farebbe a giungere alla sua conclusione (3), che abbiamo riportato testualmente, dove dà l’impressione di sollecitare la sua Congregazione a superare i problemi dottrinali per giungereall’unità tra Roma e la FSSPX?

Eppure, il dovere del Vicario di Cristo non è quello di unire Roma e la FSSPX ad ogni costo, per così dire, ma quello di unirli nella Fede Cattolica, cosìcome insegnata da Cristo. Se quindi vi è una differenza dottrinale tra Roma e la FSSPX (e vi è, ed è enorme!), il suo primo problema è di vedere chi dei due ha la Fede Cattolica e chi non ce l’ha. Ed allora egli dovrà unire tutta la Chiesa intorno a chi dei due ha questa Fede, anche se questa fosse la povera infima FSSPX! Infima, se si vuole, perché essa è insignificante salvo la sua Fede!

Ahimè, Benedetto XVI è più Conciliare che Cattolico. Ma il Concilio, anteponendo l’uomo a Dio, ha costantemente minato la dottrina Rivelata da Dio, o la Fede, in nome dell’unità ecumenica degli uomini. È questo il motivo per cui Benedetto XVI non è in grado di cogliere, a meno di un miracolo, l’importanza della posizione dottrinale della FSSPX. Ma quanti cattolici non verranno ingannati con facilità dalla morbidezza del suo passaggio da tanta Verità (in 1, 2) alla sua sovversione(in 3) ? Pochi! L’errore è tanto potente per quanto è sottilmente concepito ed espresso! Dobbiamo pregare per un miracolo.

Kyrie eleison.

Du celibat non desiré / Celibato indeseado / Ungewolltes Zölibat / Celibato indesiderato

Du celibat non desiré

La fête de la Sainte Famille du dimanche passé semble être un bon moment pour aborder la question d’un lecteur qui porte sur un point du Commentaire Eleison d’il y a trois semaines, à savoir qu’un homme qui n’est pas marié est un « zéro » et qu’une femme non mariée est « moins que zéro ». Ce lecteur me demandait : qu’en est-il d’un homme ou d’une femme qui aimerait être marié mais qui pour certaines raisons ne l’a pas pu ? Et ce lecteur d’ajouter que les personnes qui ne se marient pas n’ont pas nécessairement toutes la vocation religieuse.

J’ai commencé par répondre que cet état non-naturel de solitude n’est devenu que trop naturel à notre époque. La vie moderne, surtout dans les grandes villes, aboutit non seulement à ce que des mariages qui devraient avoir lieu ne se réalisent pas, mais aussi à ce que ceux qui ont eu lieu se dissolvent. C’est là un des châtiments, parmi d’autres, du libéralisme qui, en glorifiant l’individualisme, provoque une inaptitude à vivre dans l’état marital. Le libéralisme promeut aussi la libération de tout lien, et le mariage n’est rien si ce n’est pas un lien. « Et de là découlent l’effondrement du taux de natalité des nations occidentales et le suicide de ce qui fut l’Europe Catholique. C’est profondément triste et profondément grave. »

Je continuais ma réponse ainsi : « Bien entendu, dire que tous les hommes non mariés sont des « zéros », c’est une façon un peu vive de rappeler que, premièrement, nous sommes tous devant Dieu de minuscules créatures, et, deuxièmement, les hommes ne sont pas aussi grands habituellement qu’ils le croient. Deux proverbes russes disent qu’un homme sans femme est comme un jardin sans haie (pour l’entourer), ou comme un homme qui sortirait dehors en janvier (en Russie) sans couvre-chef.

« De même, dire qu’une femme sans mari est une « moins que zéro », c’est une façon provocante aussi de rappeler que, premièrement, contrairement à l’épouvantable erreur semée partout aujourd’hui par les ennemis de Dieu, les femmes sont le complément et pas la copie des hommes. Et, deuxièmement, que les femmes dépendent plus profondément des hommes que ceux-ci d’elles - en témoigne le châtiment d’Eve en Gen. III, 16 : « Vous serez sous la puissance de votre mari, et il vous dominera. » Mais toute provocation dans le « zéro » et le « moins que zéro » n’est là que pour mettre en relief qu’une fois réunis (voir EC 128) homme et femme forment désormais un huit, ce qui illustre graphiquement à quel point leur union dans le mariage est naturelle et puissante. »

Hélas, beaucoup de prêtres de nos jours rencontrent des filles qui ne demandent pas mieux que de se marier, mais qui ont bien du mal à trouver un jeune homme qui leur semble apte à être leur époux. Les jeunes hommes ressemblent trop souvent à des lavettes, lessivés qu’ils sont par le libéralisme qui dissout cet esprit male dont Dieu les a dotés pour qu’ils soient des chefs de famille. Le libéralisme n’atteint pas aussi facilement les instincts profonds et les émotions naturelles que Dieu a départis aux femmes, encore que s’il y arrive, le résultat peut être bien plus terrible.

En conclusion, j’ai évoqué la Huitième Station du Chemin de Croix, où Notre Seigneur console les femmes affligées de Jérusalem (St Luc XXIII, 28-31). Il les avertit que le châtiment à venir de la Jérusalem déicide est tel qu’elles en viendront à envier les femmes qui n’ont pas eu de maris ou de familles. Ce n’est pas une raison pour ne pas se marier de nos jours, mais ce passage des Evangiles pourrait consoler toute personne laissée en dehors du mariage par la Providence, et qui aurait aimé fonder une famille. Les menaces qui s’annoncent à l’horizon sont une énorme raison de mettre plus que jamais... une confiance sans limites dans la Providence infaillible de Dieu ...

Kyrie eleison.

 

Celibato indeseado

La Fiesta de la Sagrada Familia celebrada el domingo pasado puede ser un momento propicio para citar la pregunta de un lector, la cual surgió de lo que se dijo en el "Comentarios Eleison" de hace tres semanas referente a que, en términos generales, un hombre soltero es un "cero a la izquierda" mientras que una mujer soltera es "aún menos, un cero incompleto, una U". ¿Qué decir entonces de un hombre o una mujer que hubieran deseado casarse pero que, por cualquier razón, no pudieron hacerlo o simplemente no lo hicieron? No todo el que no contrae matrimonio tiene vocación religiosa, comentó el lector.

Comencé por comentarle que la soledad antinatural es demasiado normal hoy en día. La vida moderna, especialmente en las grandes ciudades, no solamente orilla a la gente a que no se den los matrimonios que deben realizarse, sino que también da pie para que muchos matrimonios realizados terminen por separarse. Este es uno de los castigos, entre muchos otros, del liberalismo el cual al glorificar el individualismo engendra una falta de aptitud para vivir en matrimonio. El liberalismo también glorifica la libertad de todas las ataduras, y atadura es exactamente lo que es la unión matrimonial. "De ahí las tasas de nacimiento colapsadas de las naciones Occidentales y el suicidio de la Europa que alguna vez fue Católica. Todo esto es inmensamente triste e inmensamente serio."

Continué: "Obviamente el llamar a todos los hombres ’ceros’ es una manera folclórica de decir que en primer lugar, todos somos ante Dios criaturas diminutas y que en segundo lugar, los hombres no son, ni por error, los grandiosos que piensan que son. (Dos proverbios Rusos dicen que un hombre sin una mujer es como un jardín sin una cerca (que lo rodee), o como un hombre que sale de su casa en el mes de enero (en Rusia) ¡sin una gorra de piel!) El decir a continuación que las mujeres son ’aún menos que cero’ es de igual manera una manera provocativa de decir que primeramente, y contrario a lo que hoy en día aseveran despectivamente los enemigos de Dios acerca de su complementariedad, las mujeres no son como los hombres, y que en segundo lugar, son profundamente más dependientes de los hombres que los hombres de las mujeres - observen el castigo de Eva en el Génesis III, 16: ’...y estarás bajo el poder de tu marido, y él tendrá domino sobre ti.’ Pero el clasificar varón y mujer como ’cero’ y ’aún menos que cero, una U’ no tiene como fin primario el provocar una contienda, sino que al unir al hombre y a la mujer para formar un ocho, se demuestra gráficamente el poder natural de la unión del matrimonio."

Pero ¡desgraciadamente!, hoy en día muchos sacerdotes conocen a mujeres jóvenes a las que les hubiera encantado casarse, pero que no han podido encontrar un hombre que les parezca adecuado para fungir como esposo. Los hombres jóvenes en general son como estropajos, deslavados por el liberalismo que disuelve sus mentes, aquellas mentes con las cuales Dios quería que guiaran a sus familias. Por otro lado, el liberalismo no deshace tan fácilmente los instintos y emociones que Dios otorga por naturaleza a las mujeres, aunque cuando lo logra, los resultados pueden ser aún más fatales.

En conclusión, me referí a la Octava Estación del Viacrucis, en donde Nuestro Señor consuela a las mujeres de Jerusalén que estaban llorando (Lc. XXIII, 27-31): les advirtió que pronto estaba por caer sobre el Jerusalén deicida un castigo tan grave, que llegarían a envidiar a las mujeres que nunca tuvieron esposo ni familia. En nuestro tiempo, esa no es razón suficiente como para no casarse, pero bien podría ser un consuelo para cualquier persona a la cual la Providencia no le ha otorgado en matrimonio aún cuando lo hubiese deseado, ya que en un futuro no muy lejano, está para caer sobre nosotros.... una razón tremenda para disponernos a confiar más que nunca en esa Providencia Divina que jamás nos defrauda...

Kyrie eleison.

 

Ungewolltes Zölibat

Das "Fest der Heiligen Familie" vom letzten Sontag dürfte ein geeigneter Anlaß sein, um auf die Frage eines Lesers zu den "Eleison Kommentaren" vor drei Wochen einzugehen: Damals schrieben wir, daß normalerweise ein unverheirateter Mann eine "Null", und eine unverheiratete Frau noch weniger als eine "Null" sei. Der Leser fragte, wie es denn mit einem Mann oder einer Frau aussieht, welche vielleicht gerne geheiratet hätten, aber aus gewissen Gründen entweder nicht heiraten konnten oder nicht geheiratet haben. Nicht jeder, der unverheiratet bleibt, hat eine Berufung, fügte der Leser an.

Meine Antwort begann damit, daß in der heutigen Welt die unnatürliche Einsamkeit allzu normal geworden ist. Die moderne Lebensweise - besonders das Leben in der Großstadt - verhindert nicht nur Ehen, die geschlossen werden sollten, sondern es zerstört auch sehr viele geschlossene Ehen. Das ist eine der vielen Strafen des Liberalismus, welcher durch seine Verherrlichung des Individualismus auch die Unfähigkeit erzeugt, im Stand der Ehe zu leben. Der Liberalismus verherrlicht ebenfalls die "Freiheit" von allen Banden, das Eheband aber ist ein sehr starkes Band. "Das führt zur zusammenbrechenden Geburtenrate der westlichen Nationen und zum Selbstmord des ehemals katholischen Europas. Es ist alles außerordentlich traurig und ernst."

Ich fuhr fort: »Alle Männer als "Nullen" zu bezeichnen ist natürlich eine sehr blumige Art zu sagen: Erstens sind wir vor Gott alle verschwindend kleine Geschöpfe. Zweitens sind die Männer bei weitem nicht so großartig, wie sie denken. (Zwei russische Sprichworte sagen, daß ein Mann ohne ein Weib wie ein Garten ohne Einfriedung ist, bzw. wie ein im Freien weilender Mann im russischen Januar ohne Pelzmütze!) Weiterhin, die Frauen als "weniger als Nullen" zu bezeichnen, ist ebenfalls eine provokative Redeweise, die besagt: Erstens, obwohl die Feinde Gottes heute überall auf schreckliche Weise die eigentlich weiblichen Eigenschaften herabsetzen, welche den Mann ergänzen, haben die Frauen doch nicht die gleichen Eignungen wie die Männer. Zweitens hängen die Frauen auf eine tiefergehende Weise von den Männern ab als umgekehrt die Männer von den Frauen - vergleichen wir Evas Bestrafung in Genesis III, 16: "Du sollst unter der Gewalt des Mannes stehen, und er soll Herr über Dich sein." Dennoch soll meine Rede von den "Nullen" und den "Weniger als Nullen" in erster Linie nicht provozieren, sondern auf die von den beiden entsprechenden Teilen zusammengefügten Ziffer "Acht" hinweisen, um die natürliche Kraft des Ehebandes graphisch hervorzuheben.«

Ach, wie viele Priester treffen heutzutage auf junge Frauen, die gerne heiraten würden, aber kaum einen jungen und zum Ehemann geeigneten Partner finden können. Allzuoft scheinen die jungen Männer faktisch Waschlappen zu sein, die vom Liberalismus ausgewaschen sind - dieser löst ihre Vernunft auf, die ihnen doch Gott zum Führen gegeben hatte! Nicht mit der gleichen Leichtigkeit zerstört der Liberalismus die Instinkte und Gefühle, welche Gott den Frauen von Natur aus mitgegeben hat - doch wenn der Liberalismus auch dieses Zerstörungswerk zustandebringt, dann können die Ergebnisse sogar noch schrecklicher sein.

Schlußendlich verwies ich auf die achte Kreuzwegstation, wo unser Herr Jesus Christus die weinenden Frauen von Jerusalem tröstete (Lk. XXIII, 28-31) : Solch eine Bestrafung - warnte er - werde bald auf das Jerusalem der Gottesmörder herabkommen, so daß diese Frauen jene beneiden werden, welche nie einen Ehemann oder eine Familie hatten. In unserer Tagen ist diese Warnung kein Grund, die Heirat zu unterlassen; doch sie mag ein Trost für all jene sein, welche zwar gerne geheiratet hätten, aber von der Vorsehung keine Ehe zugedacht bekamen. Denn das Unheil, welches in nicht allzuferner Zukunft auf uns herabkommt, ist... ein außerordentlich triftiger Grund, mehr als je zuvor auf Gottes unfehlbare Vorsehung zu vertrauen...

Kyrie eleison.

 

Celibato indesiderato

L’appena trascorsa festa della Sacra Famiglia può essere il momento adatto per parlare della domanda di un lettore a proposito di quanto affermato nel Commento Eleison di tre settimane fa, dove è detto che, di regola, un uomo non sposato è uno "zero", mentre una donna non sposata è "meno che zero". Il lettore chiede: che dire di un uomo o di una donna che avrebbero voluto sposarsi, ma che per un qualche motivo non potevano o non l’hanno potuto fare? E aggiunge che non tutte le persone che non si sposano hanno una vocazione religiosa.

Comincio col rispondere che oggi l’innaturale solitudine è fin troppo normale. La vita moderna, specialmente quella delle grandi città, causa non solo il mancato matrimonio di coloro che vorrebbero sposarsi, ma anche la dissoluzione di molti matrimoni effettuati. Si tratta di uno dei tanti castighi del liberalismo che, glorificando l’individualismo, genera una inattitudine a vivere la condizione matrimoniale. Il liberalismo esalta anche la libertà da tutti i legami, e il vincolo matrimoniale non è altro che un legame. "Cosi sta arrivando il crollo del tasso di natalità nelle nazioni occidentali e il suicidio di quella che una volta era l’Europa Cattolica. Tutto ciò è così immensamente triste e immensamente grave."

Continuo dicendo: Ovviamente definire tutti gli uomini non sposati "zero" è un modo colorito per dire, per prima cosa, che davanti a Dio siamo tutti minuscole creature, e secondariamente che gli uomini non sono così grandi come pensano di essere. (Due proverbi russi dicono che un uomo senza una donna è come un giardino senza la siepe (di protezione), o come un uomo a cui a gennaio (in Russia) manca un cappello di pelliccia!). Dire poi che le donne non sposate sono "meno di zero" è un modo altrettanto provocatorio per dire, per prima cosa che, contrariamente a quanto oggi si afferma da parte dei nemici di Dio che disprezzano in modo pesante la loro complementarietà, le donne non sono le stesse degli uomini, e secondariamente che dipendono dagli uomini più profondamente di quanto questi dalle donne - si veda la punizione di Eva in Genesi III, 16: "Verso tuo marito sarà il tuo istinto, ma egli ti dominerà". Ma loscopo primo dello"zero" e del "meno che zero" non eradi provocare bensì di servire ad indicare che messi insieme costruiscono un otto, in modo da mostrare graficamente la naturale forza del matrimonio.

Ahimé, oggi un sacerdote incontra molte giovani donne che vorrebbero sposarsi, ma che difficilmente trovano un giovane che ha la stoffa del marito. Troppo spesso i giovani appaiono senza carattere, sviliti dal liberalismo che dissolve quella facoltà della ragione che, secondo il piano di Dio, deve farnedeicapifamiglia. Il liberalismo non annulla altrettanto facilmente gli istinti e le emozioni che Dio pone naturalmente nella donna, ma quando questo accade il risultato può essere ancora più terribile.

In conclusione, faccio riferimento all’ottava stazione della Via Crucis, dove Nostro Signore consola il pianto delle donne di Gerusalemme (Lc. XXIII, 27-31): avvertendo che la punizione si abbatterà presto sulla deicida Gerusalemme, tale che farà invidiare le donne che non hanno mai avuto marito o famiglia. Ai giorni nostri questo non può essere una scusa per non sposarsi, ma può essere una consolazione per chi, volendo sposarsi, la Provvidenza non ha voluto che lo facesse, poiché quello che si annuncia in un futuro non troppo lontano... costituisce una ragione tremenda per affidarsi interamente all’infallibile Provvidenza di Dio.

Kyrie eleison.

 

Perspective du psalmiste / Perspectiva del salmista / Neujahrsaussicht des Psalmisten / Prospettive del Salmista

Perspective du psalmiste

Une nouvelle année a commencé. Qu’apportera-t-elle ? Si une catastrophe financière et économique est en route, elle n’a évidemment pas encore frappé en plein. Sera-ce pour 2010 ? Quoiqu’il en soit, elle s’approche. Au fur et à mesure que la pression monte, il deviendra de plus en plus important de bien voir dans cette pression la main de Dieu et pas seulement les machinations humaines. Voici, avec quelques commentaires pour le 21ème siècle, l’un des 150 Psaumes qui nous aident à voir les choses comme seule une âme proche de Dieu les voit. Le Psaume 27 n’a que neuf versets :

1. « C’est vers Vous Seigneur que je crierai » (et pas vers les médias ni vers les gouvernements). « Oh, mon Dieu, ne restez pas sourd à ma voix : de peur que, si vous gardez le silence, je ne devienne semblable à ceux qui descendent dans la fosse. » De nos jours, c’est un courant comme imperceptible mais très puissant qui entraîne toutes les âmes vers la fosse infernale du feu éternel. Dieu peut facilement m’aider, et il n’attend que cela, mais auparavant il faut que je me tourne vers Lui et que je lui demande son aide. Et c’est ce que fait aussitôt le Psalmiste :

2. « Exaucez, Seigneur, la voix de ma supplication lorsque je vous prie : lorsque j’élève mes mains vers votre saint temple. 3. Ne m’emportez pas avec les pécheurs : et ne me perdez pas avec ceux qui font l’iniquité, ceux qui parlent de paix avec leur prochain, et qui ont la méchanceté dans leurs cœurs. » Le Psalmiste n’est pas un sot, libéral et mou, qui prétend que tous les hommes sont gentils et ne cherchent que le bien. Il sait fort bien que beaucoup d’hommes aux paroles doucereuses sont de véritables ennemis de Dieu, assez puissants pour avoir constitué un environnement mondial, tel que le nôtre en 2010, qui menace de l’entraîner en Enfer (Cf. verset 1). Pour régler leur compte à ces hommes mauvais, c’est vers Dieu que le Psalmiste va se tourner :

4. « Rendez-leur selon leurs œuvres et selon la méchanceté de leurs inventions. Rendez-leur selon les œuvres de leurs mains : donnez-leur le salaire qu’ils méritent. 5. Puisqu’ils n’ont pas compris les œuvres du Seigneur, l’ouvrage de ses mains, vous les détruirez : et vous ne les bâtirez pas. ». Ne nous faisons aucun souci, même dans notre 21ème siècle où ses (et nos) ennemis semblent triompher : Dieu saura régler leur compte. Ils ne peuvent ni Le tromper, ni Lui échapper. De plus, Dieu se penche très certainement sur les âmes qui ont recours à Lui :

6. « Béni soit le Seigneur : car Il a exaucé la voix de ma supplication. 7. Le Seigneur est mon aide et mon protecteur : en Lui s’est confié mon cœur, et j’ai été secouru. Et ma chair a refleuri ; aussi je le glorifierai de toute mon âme. » Notez que le Psalmiste n’est pas un de ces imbéciles qui se croit tellement parfait qu’il n’a plus de besoins corporels - Dieu l’a secouru, « cœur » et « chair ». Ce n’est pas non plus un individualiste égocentrique, comme le montre sa prière pour tout le peuple de Dieu :

8. « Le Seigneur est la force de son peuple : et le protecteur des sauvés de son Oint.» (depuis la mort de Notre Seigneur sur la Croix, ces sauvés sont ceux qui ont été oints avec les sacrements Catholiques). 9. « Sauvez votre peuple, Seigneur, et bénissez votre héritage : régnez sur eux et élevez-les jusque dans l’éternité. » Aujourd’hui nous dirions, Ô Seigneur, sauvez votre Eglise Catholique !

Kyrie eleison.

 

Perspectiva del salmista

Otro año comienza. ¿Que trae? Si está en curso un desastre global en las finanzas y la economía, ciertamente no ha golpeado aún con toda su fuerza. ¿Lo hará en 2010? En cualquier caso, estará más cerca. A medida que la presión aumente, habrá de verse más y más, en esa presión, la mano de Dios y no solo las maquinaciones del hombre. He aquí, con comentarios para el siglo XXI, uno de los ciento cincuenta Salmos para ayudarnos a ver las cosas como un alma cercana a Dios las ve. El Salmo 27 tiene solo nueve versos:

1. "A tí, oh Señor, clamaré" (y no a los medios ni a los gobiernos): "no te hagas sordo a mis ruegos, Dios mio, no sea que no haciendo tu caso de mí, llegue yo a contarme con los que bajan al sepulcro"

Una poderosa corriente esta hoy arrastrando suavemente todas las almas hacia el sepulcro eterno del fuego infernal. Dios puede ayudarme facilmente, y así desea hacerlo, pero debo acudir a Él y rogar por su auxilio. El Salmista rogará

2. "Escucha, oh Señor, la voz de mi humilde súplica cuando estoy orando a ti; cuando extiendo en alto mis manos hacia tu santo templo.

3. No me arrebates de esta vida con los pecadores, ni me pierdas como a los que obran la iniquidad;- los cuales hablan de paz con su prójimo, mientras que están maquinando la maldad en sus corazones".

El Salmista no es un tonto liberal blando que pretende que todos los hombres son buenos y bien intencionados. Sabe que en muchos hombres de dulce hablar, Dios tiene inicuos enemigos que son suficientemente poderosos para preparar todo un ambiente, como el que tenemos para el 2010, que amenaza con arrastrarnos al infierno (primer verso). Para hacerles frente, hacía Dios es donde el Salmista acude

4. "Dales a estos el pago conforme a sus fechorías; y según la malignidad de sus maquinaciones.- Retribúyeles según las obras de sus manos: dales a los tales su merecido". 5. Por cuanto no han observado las obras del Señor, ni lo que ha ejecutado su poderosa mano; tu, Dios mío, los destruirás, y no los restablecerás nunca".

No tenemos nunca que preocuparnos de que Dios no se encargue de sus (y nuestros) enemigos, aún en nuestro siglo veintiuno, cuando pareciera que han triunfado. Ellos no lo engañan ni podrán escapar de Él. Aún más, ciertamente Dios cuida de quienes a Él acuden

6. "Bendito sea el Señor, pues ha oido la voz de mi humilde ruego. 7. El Señor es el que me auxilia y protege: en Él esperó mi corazón, y fui socorrido.- Y resucitó mi carne; y así le alabaré con todo mi afecto".

Nótese que el Salmista no es ni uno de estos tontos que se pretenden demasiado perfectos como para tener intereses carnales - Dios cuidó de Él, "corazón" y "carne". Ni es un individualista egocéntrico, como se nota en su ruego por todo el pueblo de Dios

8."El Señor es la fortaleza de su pueblo: Él es el que en tanto lances ha salvado a su Ungido" (lo que se extende hoy a los creyentes ungidos por los sacramentos Catolicos) 9. "Salva, oh Señor, a tu pueblo, y llena de bendiciones a tu heredad: rígelos tu, y ensálzalos por toda la eternidad".

Diriamos hoy, Salva, oh Señor, a tu Iglesia Católica.

Kyrie eleison.

 

Neujahrsaussicht des Psalmisten

Ein neues Jahr beginnt: Was wird es mit sich bringen? Obschon eine globale Finanz- und Wirtschafts-Katastrophe im Gange ist, hat sie gewiß noch nicht ihre volle Wucht erreicht. Wird sie uns im Jahre 2010 treffen? Jedenfalls kommt sie immer näher. Mit dem Ansteigen des Druckes wird es immer wichtiger sein, in diesem die Hand Gottes zu erkennen und nicht nur die Machenschaften von Menschen. Es folgt ein Psalm aus den 150 Psalmen - mit Kommentaren für das 21. Jahrhundert, damit wir die Dinge eher auf eine Art verstehen, wie eine Seele nahe bei Gott sie sieht. Psalm 27 hat nur neun Verse:

"1 Ich rufe dich an, Herr, mein Fels" (und nicht die Medien oder Regierungen!): "Sei gegen mich nicht taub, damit du dich nicht schweigend von mir wendest und ich wie jene werde, die zur Grube sanken."

Heutzutage zieht eine weiche, aber kräftige Strömung alle Seelen in Richtung Schlund des ewigen Höllenfeuers. Gott kann mir sehr leicht helfen - er sehnt sich sogar danach, es zu tun - aber ich muß mich ihm zuwenden und ihn um Hilfe anflehen. Der Psalmist fleht ihn an:

"2 Höre auf mein lautes Flehen, da ich zu Dir um Hilfe rufe, da ich meine Hände hebe zu deinem allerheiligsten Tempel.

3 Raffe mich nicht mit den Frevlern hin und mit den Übeltätern, die freundlich zwar mit ihren Nächsten reden, jedoch im Herzen Böses sinnen."

Der Psalmist ist kein weichlicher Narr, d.h. Liberaler, der vorgibt, daß alle Menschen nett seien und es gut meinen. Der Psalmist weiß, daß Gott in vielen süßholzraspelnden Menschen heimtückische Feinde hat, die mächtig genug sind, um eine ganze soziale Umgebung eingerichtet zu haben - wie wir sie 2010 vorfinden - , welche ihn in die Hölle hinunterzureißen droht (Vers 1). Um mit diesen Feinden fertig zu werden, wendet sich der Psalmist an Gott:

"4 Vergilt ihnen nach ihrem Tun und nach der Bosheit ihres Handelns! Gib ihnen nach dem Werke ihrer Hände, zahle ihnen heim, was sie verdienen!

5 Denn sie achten nicht auf das Tun des Herrn und auf das Werk seiner Hände. Er reißt sie nieder und baut sie nicht mehr auf." Wir brauchen uns niemals zu sorgen, ob Gott mit seinen (und unseren) Feinden fertig wird - selbst im 21. Jahrhundert, wo sie zu triumphieren scheinen. Weder können sie ihn täuschen, noch ihm entkommen. Überdies liegt es auf der Hand, daß Gott sich um all jene Seelen kümmert, die sich ihm zuwenden:

"6 Gepriesen sei der Herr; denn er hat mein lautes Flehen erhört!

7 Der Herr ist meine Stärke und mein Schild; auf ihn vertraut mein Herz. Hilfe wurde mir zuteil; darüber jauchzt mein Leib, und mit meinem Lied will ich ihm danken."

Beachten wir, daß der Psalmist nicht zu jenen Narren zählt, die sich für zu perfekt halten, um körperliche Belange zu haben - Gott hat sich um sein "Herz" und seinen "Leib" gekümmert. Auch ist der Psalmist kein eigensüchtiger Individualist, wie sein Gebet für das ganze Gottesvolk zeigt:

"8 Seines Volkes Stärke ist der Herr, eine rettende Schutzwehr seinem Gesalbten" (das umfaßt seit dem Kreuzestod unseres Herrn Jesus Christus alle Seelen, die mit den katholischen Sakramenten gesalbt sind.)

"9 Hilf deinem Volke und segne dein Erbe! Weide und hege sie immerdar!"

Heute würden wir sagen: Rette, o Herr, deine katholische Kirche!

Kyrie eleison.

 

Prospettive del Salmista

Inizia un altro anno. Che cosa porterà? Se sta arrivando un disastro mondiale nella finanza e nell’economia, esso non ha ancora colpito con tutta la suaforza. Lo farà nel 2010? In ogni caso si avvicina. Nel crescere della pressione sarà sempre più importante vedere la mano di Dio e non solo le macchinazioni degli uomini. Con alcuni commenti per il 21° secolo, ecco uno dei 150 Salmi che ci aiuta a vedere le cose come le vede un’anima vicina a Dio. Il Salmo 27 ha solo nove versetti:

1 "A te grido, Signore" (e non ai media né ai governi): "non restare in silenzio, mio Dio, perché, se tu non mi parli, io sono come chi scende nella fossa."

Una corrente sottile ma potentissima sta spingendo oggi tutte le anime verso la fossa del fuoco eterno dell’inferno. Dio può facilmente aiutarmi, ed Egli vuole farlo, ma io devo rivolgermi a Lui e chiedere il suo aiuto. Il Salmista lo chiede:

2 "Ascolta la voce della mia supplica, quando ti grido aiuto, quando alzo le mie mani verso il tuo santo tempio.

3 Non travolgermi con gli empi, con quelli che operano il male. Parlano di pace al loro prossimo, ma hanno il male nel cuore."

Il Salmista non è uno sciocco benevolo liberale che sostiene che tutti gli uomini sono gentilie di buone intenzioni. Egli sa che tra i molti uomini che parlano dolcemente Dio ha nemici malvagi che sono abbastanza forti da aver creato un contesto mondiale, come quello che abbiamo nel 2010, che rischia di trascinarlo in basso nell’inferno (versetto 1). Per affrontarli è a Dio che il Salmista si rivolge:

4 "Ripàgali secondo la loro opera e la malvagità delle loro azioni. Secondo le opere delle loro mani, rendi loro quanto meritano. 5 Poiché non hanno compreso l’agire del Signore e le opere delle sue mani, egli li abbatta e non li rialzi."

Non dobbiamo temere che Dio non si occuperà dei suoi (e nostri) nemici, anche nel nostro 21° secolo, quando sembra che essi abbiano trionfato. Non lo ingannano, né gli sfuggiranno. Per di più, Dio guarda sicuramente alle anime che si volgono a lui:

6 "Sia benedetto il Signore, che ha dato ascolto alla voce della mia preghiera. 7 Il Signore è la mia forza e il mio scudo, in lui confida il mio cuore; mi ha dato aiuto ed esulta la mia carne, con il mio canto gli rendo grazie."

Si noti che il Salmista non è né uno stupido angelista, che pensa di essere così perfetto da non avere interessi corporei - Dioha guardato a lui, al suo "cuore" e alla sua "carne". Né è un egocentrico individualista, come si vede dalla sua preghiera per tutto il popolo di Dio:

8 "Il Signore è la forza del suo popolo, rifugio di salvezza del suo consacrato" (con questo, dopo la morte in Croce di Nostro Signore, bisogna intendere le anime consacrate con i sacramenti Cattolici). 9 "Salva il tuo popolo e benedici la tua eredità, guidali e sostienili per sempre."

Noi oggi diremmo: Salva, o Signore, la tua Chiesa Cattolica !

Kyrie eleison.