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prowilliamson

2011-10

Finanze delinquante I / Finanza delincuente I / Verbrecherisches finanzwesen I / Finanza criminale I

Finanze delinquante I

Commentaire Eleison CCXXIV

L´effondrement imminent de la finance globale, et/ou l’avènement de la finance globale en route vers le gouvernement global, grâce à cet effondrement programmé, devrait amener les esprits à réfléchir: Comment en sommes-nous arrivés à ce désastre?  Comment en sortir?  Si Dieu Tout-puissant n’a rien eu à voir dans une crise si grave, alors évidemment il n’est pas chose sérieuse, il n’est plus qu’une façon plus ou moins agréable de passer une partie de son dimanche. D’un autre côté si Dieu est aussi important que le pensaient de toute évidence les constructeurs des cathédrales médiévales, alors ne pas avoir tenu compte de ce Dieu aura eu un rôle central à jouer dans le triomphe actuel de la finance sur la réalité.

En effet, c’est bien au Moyen-Age que nous devons remonter si nous voulons comprendre d’où vient le désastre actuel. Autant la Foi commençait à baisser après le haut Moyen-Age, autant les hommes devinrent de plus en plus intéressés par Mammon, l’autre grand moteur de leur vie (Mt.VI, 24). De cette manière l’argent, dont la nature est d’être le serviteur de l’échange de biens et de services réels, fût décroché de la nature pour devenir la finance moderne, maîtresse de l’économie globale. Un pas décisif dans ce processus menant directement aux actuelles montagnes de dettes impossibles à rembourser, tous azimuths, et qui reduisent le monde en esclave des banquiers visibles, ou plutôt de leurs maîtres invisibles, fut l’extension post-médiévale du système de réserves fractionnaires des banques.

Quand l’argent est au service de l’économie, un Etat prudent s’assure que sa quantité totale d’argent en circulation augmente ou diminue suivant la quantité totale de biens réels à être échangés dans cette économie, de telle manière que la valeur de l’argent reste stable. Trop d’argent poursuivant trop peu de biens se traduira dans une inflation qui fera baisser la valeur de l’argent. Trop peu d’argent poursuivi par trop de biens fera que la valeur de l’argent augmentera par déflation. Que l’argent voie sa valeur modifiée dans un sens ou l’autre, il s’en suivra une déstabilisation dans tous les échanges de biens. Or si les banques, dans lesquelles les épargnants déposent leur argent réel ne sont obligées à conserver qu’une fraction de cet argent réel en réserve pour garantir une quantité beaucoup plus grande de papier-monnaie qu’ils peuvent mettre en circulation par les prêts, alors en mettant en circulation cette papier-monnaie en trop grande ou trop petite quantité, ils peuvent jouer sur la valeur de la monnaie et réaliser des fortunes en prêtant de l’argent bon marché et en demandant en retour de l’argent cher. Et de cette manière les financiers enlèvent le contrôle à l’Etat.

Pire, si le système de réserves fractionnaires des banques permet aux banques de déconnecter l’argent de la réalité et de le fabriquer à volonté, et si elles peuvent exiger ne serait-ce qu’un petit intérêt composé sur leur argent fabriqué, alors logiquement elles peuvent – et c’est bien ce qui se passe ! -- siphonner toute la valeur réelle d’une économie, réduisant la plupart des épargnants en emprunteurs et la plupart des emprunteurs en esclaves désespérés de leur dette ou de leur hypothèque. Ils prendront soin seulement de ne pas tuer tout à fait les poules qui pondent les œufs d’or qui font leur bénéfice. La sagesse divinement inspirée du législateur Moïses mettait un frein au pouvoir de tout prêteur en supprimant toutes les dettes tous les sept ans (Deut.XV,1-2), et en faisant retourner toute propriété à son premier propriétaire tous les 50 ans (Levit. XV,10) !

Et pourquoi Moïse, grand homme de Dieu et pour cela homme d’une profonde « spiritualité », s’occupait-il lui-même de questions tellement matérielles? Parce que comme un mauvais système économique peut mener l’homme au désespoir, vers l’Enfer, loin de Dieu – regarder autour de vous, aujourd’hui mais surtout demain -- ainsi un bon système économique rend possible une sage prospérité qui en aucune façon ne rend un culte a Mammon, mais rend plus facile de confier en la bonté de Dieu, de l’adorer et de l’aimer. L’homme est âme et corps.

Moïse aurait sûrement écrasé le système de réserves fractionnaires des banques, comme il a fait écraser le Veau d’Or!

Kyrie eleison.

Finanza delincuente I 
  
Commentario Eleison CCXXIV

El colapso inminente de la finanza global y/o el advenimiento de la finanza global que lleva al gobierno global, colapso que ha sido designado para tal fin, tendría que inducir a las almas a reflexionar: ¿Cómo nos metimos en este lío y cómo salimos de él? Si una crisis tan grave no tiene nada que ver con Dios Todopoderoso, entonces evidentemente, Dios no es tan grave y se deja reducir a un agradable pasatiempo dominical. Por otro lado, si Dios es tan importante como lo pensaban evidentemente los constructores de las catedrales medievales, entonces olvidarle a El habrá tenido un lugar central en el triunfo actual de la finanza sobre la realidad.
En verdad, uno debe remontarse a la Edad Media para entender de donde ha venido el desastre actual. A medida que la Fe comenzó a decaer después de la alta Edad Media, los hombres se volvieron cada vez mas interesados en Mammon, el otro gran motor de sus vidas (Mt.VI, 24). Así, el dinero, cuya naturaleza es ser el sirviente del intercambio de bienes reales y servicios, fue arrancado de la Naturaleza para transformarse en la finanza moderna, dueña de la economía global. Un paso clave en este proceso que condujo directamente a las montañas actuales de deuda impagable en todas las direcciones, fue la expansión post medieval de la llamada reserva fraccionaria bancaria, que reduce el mundo a la esclavitud de los banqueros visibles, o mas bien de sus invisibles jefes.

Cuando el dinero está al servicio de la economía, un Estado prudente asegurará que la cantidad total del dinero en circulación suba y baje acorde con la cantidad total de bienes reales a ser intercambiados en esta economía, de tal manera que el valor del dinero permanecerá estable. Demasiado dinero buscando comprar demasiado pocos bienes significará que el valor del dinero cae por inflación. Demasiado poco dinero perseguido  por una cantidad demasiado grande de bienes significará que el valor del dinero subirá por deflación. En un sentido u otro, el cambio del valor del dinero desestabiliza todo intercambio de bienes. Ahora, si los bancos en los cuales los clientes (ahorristas) depositan un dinero real, necesitan guardar solamente una fracción de ese dinero real en reserva para respaldar una cantidad mucho mayor de papel moneda que podrán poner en circulación, entonces, poniendo demasiado dinero o demasiado poco en circulación, ellos pueden jugar con el valor del dinero y hacer fortunas prestando dinero barato y recuperándolo como dinero caro. Asi, los financieros pueden sacarle el control al Estado.

Peor, si la reserva fraccionaria bancaria permite a los bancos desconectar el dinero de la realidad y fabricarlo a voluntad, y si ellos pueden cobrar aunque sea un pequeño interés compuesto de su dinero fabricado, entonces lógicamente ellos pueden -¡y lo hacen!- bombear todo el valor real de una economía, transformando a la mayoría de los que depositan en deudores y a la mayoría de los deudores en desesperanzados esclavos de su deuda o hipoteca, y cuidando solamente de no matar completamente la gallina de los huevos de oro para su provecho ¡La sabiduría divinamente inspirada del legislador Moisés ponía frenos al poder de todos los prestamistas cancelando todas las deudas cada siete años (Deut.XV,1-2) y devolviendo toda propiedad a su dueño original cada 50 años (Levit.XV,10) !
¿Y por que Moisés, gran hombre de Dios y por ello hombre de profunda “espiritualidad”, se preocupaba él mismo por cuestiones tan materiales? Porque como las malas economías pueden llevar a los hombres a la desesperación, hacia el Infierno, lejos de Dios – miren a su alrededor hoy y sobre todo mañana -- asi, buenas economías hacen posible una sabia prosperidad que de ninguna manera rinde culto a Mammon, sino que mas bien facilita el confiar en la bondad de Dios y rendirle culto y amarle. El hombre es alma y cuerpo.

¡Moisés seguramente hubiera derribado la reserva fraccionaria bancaria, como derribó al Becerro de Oro!

Kyrie eleison
 

Verbrecherisches finanzwesen I

Eleison kommentare CCXXIV

Der drohende Zusammenbruch des weltweiten Finanzwesens bzw. die Errichtung einer Weltregierung durch das globale Finanzsystem aufgrund dieses Zusammenbruchs sollte uns zum Nachdenken bringen: Wie gelangten wir überhaupt in diese katastrophale Lage, und wie können wir ihr wieder entrinnen? Wenn der allmächtige Gott bei dieser schweren Krise keine Rolle gespielt haben sollte, so wäre er offenbar nicht ernstzunehmen und würde nur einen sonntäglichen Wohlfühl-Zeitvertreib darstellen. Sollte andererseits Gott wirklich so wichtig sein, wie beispielsweise die einstigen Erbauer der mittelalterlichen Kathedralen offensichtlich annahmen, dann kommt unserer Gottesvernachlässigung eine zentrale Bedeutung zu beim heutigen Triumph des Finanzwesens über die Wirklichkeit.

In der Tat müssen wir auf das Mittelalter zurückgreifen, um die Ursachen der heutigen Katastrophe zu verstehen. Als nach dem Hochmittelalter der Glaube abzunehmen begann, interessierten die Menschen sich immer stärker für den Mammon – dieser anderen großen Antriebskraft in ihrem Leben (Matthäus 6,24). Das Geld, welches seinem Wesen nach dem Austausch von realen Gütern und Dienstleistungen dienen soll, wurde damit von der Natur abgekoppelt und zum modernen Finanzwesen verwandelt, dem Herrn der Weltwirtschaft. Bei diesem Vorgang übernahm die nachmittelalterliche Ausbreitung des Mindestreserve-Bankwesens eine Schlüsselrolle und führte direkt zu den Bergen der heutigen, überall vorhandenen, unbezahlbaren Schulden. Somit wird die Welt an die sichtbaren Bankiers versklavt, oder besser gesagt an deren unsichtbare Lenker.

Soll das Geld der Wirtschaft dienen, so wird ein weiser Staat sicherstellen, daß die im Umlauf sich befindende Geldmenge mit der Gesamtmenge an realen Gütern, welche in dieser Wirtschaft ausgetauscht werden, zu- und abnimmt. Auf diese Weise bleibt der Geldwert stabil. Steht allerdings zu viel Geld für zu wenige Güter, so verliert das Geld an Wert und wir kommen in eine Inflation. Stehen umgekehrt zu viele Güter für zu wenig Geld, so überhöht der Geldwert sich und wir erreichen eine Deflation. Beide Varianten bringen durch ihren wechselnden Geldwert den Warenaustausch aus dem Gleichgewicht. Wenn nun diese Banken, in welche die Anleger echtes Geld hinterlegen, nur einen Bruchteil dieses echten Geldes als Reserve halten müssen und dadurch eine deutlich größere Menge an Papiergeld abdecken und in Umlauf bringen dürfen, dann können die Banken durch Erhöhung oder Drosselung der umlaufenden Geldmenge mit dem Wert des Geldes spielen und ein Vermögen erbeuten, indem sie billiges Geld verleihen, aber teures Geld zurückverlangen. Auf diese Weise übernehmen die Finanziers die Kontrolle des Staates.

Noch schlimmer wird es, wenn das Mindestreserve-Bankwesen den Banken ermöglicht, das Geld völlig von der Wirklichkeit abzukoppeln und es nach Gutdünken selber zu fabrizieren, und wenn noch dazu die Banken selbst nur geringe Zinseszinsen auf solches Spaßgeld erheben dürfen. So  werden sie logischerweise in den Stand versetzt, alle wirklichen Werte aus einer Wirtschaft herauszusaugen – was sie auch tun. Die Anleger werden dadurch zu Kreditnehmern und die meisten Kreditnehmer zu hoffnungslosen Schuld- bzw. Hypotheken-Sklaven degradiert. Die Banken sorgen dann nur aus Eigennutz dafür, daß die goldene Eier legende Gans nicht ganz zugrundegeht. Demgegenüber bremste der Gesetzgeber Moses in seiner göttlich eingegebenen Weisheit alle Verleiher, indem einerseits alle sieben Jahre sämtliche Schulden gelöscht (Deuteronomium 15,1-2) und andererseits alle 50 Jahre jedes Eigentum an seinen ursprünglichen Besitzer zurückgegeben wurde (Levitikus 15,10).

Doch warum behandelte Moses – dieser große Mann Gottes und daher ein Mensch von tiefer „Spiritualität“ – überhaupt solche materialistischen Angelegenheiten? Weil eine schlechte Volkswirtschaft die Menschen zur Verzweiflung und damit in Richtung Hölle treiben kann – sehen Sie sich doch nur um, heute, vor allem aber morgen –, während eine gute Volkswirtschaft einen vernünftigen Wohlstand ermöglicht, welcher keinesfalls einer Verehrung des Mammon gleichkommt, sondern den Menschen erleichtert, an die Güte Gottes zu glauben, ihn anzubeten und ihn zu verehren. Denn der Mensch besteht aus Geist und Körper.

Mit Sicherheit hätte Moses das Mindestreserve-Bankwesen zerschlagen, so wie er das Goldene Kalb zerschlug !

Kyrie eleison.

Finanza criminale I

Commenti eleison CCXXIV

L’imminente collasso della finanza globale, e/o l’avvento di una finanza globale in vista di un governo globale in funzione del quale è stato architettato tale collasso, potrebbe far pensare: come siamo caduti in questo pasticcio e come si può venirne fuori? Se Dio onnipotente non ha svolto alcun ruolo in una crisi tanto pesante, ovviamente Egli non è una cosa seria, ma solo un piacevole passatempo della Domenica. Se invece Egli è così importante come una volta pensavano evidentemente i costruttori delle cattedrali medievali, il fatto di averLo trascurato sarà stato un elemento centrale nel trionfo odierno della finanza sulla realtà.

In effetti, occorre riandare al Medio Evo per comprendere da dove viene il disastro odierno. Quando la Fede incominciò a venir meno dopo l’alto Medio Evo, gli uomini divennero sempre più interessati a Mammona, l’altro elemento portante della loro vita (Mt. VI, 24). Fu così che il denaro, nato per servire agli scambi di beni reali e servizi, abbandonò la sua propria natura per diventar la finanza moderna, padrona dell’economia globale. Un passaggio chiave di questo processo fu la diffusione dopo il Medio Evo del sistema bancario a riserva frazionata, che ha condotto direttamente all’odierna montagna di debiti indifferenziati e insolubili, con il mondo schiavizzato dai banchieri visibili o meglio dai loro invisibili controllori.

Quando il denaro è al servizio dell’economia, uno Stato virtuoso si assicura che la quantità totale di moneta circolante aumenti o diminuisca in corrispondenza con la quantità totale di beni reali che sono scambiati in quella data economia, così che il suo valore rimanga stabile. Troppo denaro a caccia di pochi beni fa sì che il suo valore diminuisca con l’inflazione. Troppo poco denaro ambito da troppi beni fa sì che il suo valore aumenti con la deflazione. In entrambi i casi il cambio del suo valore destabilizza lo scambio di tutti i beni. Ora, se alle banche, dove i clienti depositano soldi veri, basta mantenere solo una parte di questi soldi come riserva su cui appoggiare una più grande quantità di carta moneta da poter mettere in circolazione, esse, facendone circolare troppo o troppo poco, possono giuocare col valore del denaro e fare una fortuna prestando denaro costato poco ed esigendo il ritorno di denaro costoso. Tale che i finanzieri possono assumere il controllo dello Stato.

Peggio ancora, se il sistema bancario a riserva frazionata consente alle banche di sganciare il denaro dalla realtà e di fabbricarne a volontà, e se possono caricare interessi composti anche lievi sul loro denaro irreale, logicamente sono in grado di succhiare – e lo fanno! – tutto il valore reale di una economia, riducendo la maggior parte dei depositanti in debitori e la maggior parte dei debitori in schiavi di un debito impagabile o di una ipoteca schiacciante, con la sola precauzione di non uccidere la gallina dalle uova d’oro di cui beneficiano. La saggezza divinamente ispirata del legislatore Mosè gli fece porre dei freni sul potere di chi fa dei prestiti, cancellando tutti i debiti ogni sette anni (Dt. XV, 1-2) e restituendo tutte le proprietà agli originari possessori ogni 50 anni (Lv. XV, 10)!

E perché Mosè, uomo di Dio e quindi uomo dalla profonda “spiritualità”, si è occupato di tali questioni materiali? Perché come la cattiva economia può portare l’uomo alla disperazione, verso l’Inferno, lontano da Dio – basta guardarsi intorno, oggi ma soprattutto domani -- così la buona economia rende possibile una avveduta prosperità che in nessun modo adora Mammona, ma piuttosto rende più facile affidarsi alla bontà di Dio e adorarLo e amarLo. L’uomo è fatto di anima e corpo.

Sicuramente Mosè avrebbe fracassato il sistema bancario a riserva frazionata, come fracassò il Vitello d’Oro!

Kyrie eleison.


Les païens vertueux / Paganos virtuosos / Tugendhafte heiden / Pagani virtuosi

Les païens vertueux 

Commentaire Eleison CCXXIII

Après avoir lu (EC221) comment la musique de Brahms est la preuve d’une certaine grandeur d’âme, un jeune lecteur brésilien demande si la mèche qui fumait encore en lui ne fumait pas mieux qu’elle ne le fait dans un catholique tiède (cf.Mt.XII, 20). Le contraste tend à mettre en lumière la vertu du païen et à mettre en question la vertu des catholiques tièdes et paresseux. Bien sûr la vertu païenne est digne de louange et la tiédeur catholique est digne de blâme, mais cela soulève une plus grande question: combien au juste est-il important d’être un catholique croyant?  Combien importante est la vertu de foi?  La réponse ne se laisse pas infléchir : elle est aussi importante que l’éternité est longue.

Que la foi soit une vertu d’une valeur suprême, cela est évident à la lecture des Evangiles. Que de fois Notre Seigneur après avoir opéré un miracle de guérison physique ou spirituelle, dit au miraculé que c’est sa foi qui a obtenu pour lui le miracle, par exemple dans le cas de Marie Madeleine (Lc.VII,50). Toutefois l’Ecriture montre tout aussi clairement que cette foi méritoire est quelque chose de plus profond qu’une connaissance explicite de la vraie religion. Ainsi les centurions Romains peuvent n’avoir connu que peu ou rien de la vraie religion de leur époque, l’Ancien Testament, et cependant de l’un d’eux Notre Seigneur dit qu’il n’avait pas rencontré de foi aussi grande en Israel (Mt.VIII,10), un autre parmi eux reconnaît comme le Fils de Dieu le Jésus crucifié auquel les experts en religion n’ont réservé que moquerie (Mt.XXVII,41), tandis qu’un troisième, Cornélius, marque le chemin pour tous les Gentils qui entreront dans la vraie Eglise (Act.X,XI). Qu’est ce qu’avaient ces centurions païens que les prêtres, les scribes et les anciens n’avaient pas, ou n’avaient plus ?

Du début à la fin de leur vie, tous les hommes sur cette terre, païens aussi bien que non-païens, sont constamment confrontés avec une variété de choses bonnes, toutes venant en dernier ressort de Dieu, et de choses mauvaises, venant de la malice des hommes. Mais Dieu lui-même est invisible tandis que les hommes mauvais sont trop visibles, de telle sorte qu’il n’est que trop facile de ne pas croire dans la bonté ou même dans l’existence de Dieu. Toutefois, les hommes au coeur droit croiront dans la bonté de la vie en ne donnant au mal qu’une importance relative, tandis que les hommes au cœur mauvais déprécieront le bien qui est tout autour d’eux. Les hommes dans l’une catégorie comme dans l’autre peuvent n’avoir aucune connaissance explicite de la religion, mais tandis que les hommes au cœur droit, tels les centurions, s’empareront d’elle aussitôt qu’elle traverse leur chemin, ceux dont le cœur est mauvais la mépriseront, plus ou moins. C’est ainsi que dans leur innocence André et Jean suivirent immédiatement le Messie (Jn.I, 37-40), tandis qu’il fallut plus de temps et d’arguments au lettré Gamaliel (Act.V, 34-39). Disons donc qu’au cœur de la vertu explicite et éclairée de la foi se trouvent une confiance implicite dans la bonté de la vie et le sens d’un certain Etre se trouvant derrière elle, confiance qui peut être minée par une doctrine erronée, ou ébranlée par exemple par le scandale.

Si nous revenons au cas de Brahms, la question devient alors, a-t’il eu au moins cette confiance implicite dans la bonté de la vie et de l’Etre derrière elle? Assurément la réponse est non, car il passa toute la seconde moitié de sa vie dans ce qui était alors la capitale de la musique, la Vienne catholique. Là, la beauté de sa musique doit avoir conduit bon nombre de ses amis et même des prêtres à le pousser vers l’épanouissement explicite de cette beauté dans la profession et la pratique de la religion de Vienne, mais tous ces appels il doit les avoir refusés. Par conséquent, il ne semble que trop possible qu’il n’ait pas sauvé son âme…  Dieu le sait.

Quoiqu’il en soit, c’est Dieu que nous remercions pour sa musique. Parole merveilleuse de Saint Augustin : «Toute vérité nous appartient à nous autres catholiques». Pareillement toute beauté, même créée par des païens!

Kyrie eleison

Paganos virtuosos 
  
Commentario Eleison CCXXIII

Al  leer (EC 221) como la música de Brahms es prueba de cierta grandeza de alma, un joven lector brasileño pregunta si la mecha que aún humea en él, no humea mejor que en un Católico tibio (ver Mt. XII,20). El contraste apunta a resaltar la virtud del pagano y a cuestionar la virtud de los Católicos "tibios, perezosos". Por supuesto la virtud pagana es digna de alabanza y la tibieza Católica de censura, pero eso genera una pregunta mayor: ¿Hasta que punto es importante ser un Católico creyente?  ¿Cuán importante es la virtud de la fe?  La respuesta debe quedar en pie, es tan importante como larga es la eternidad.

Que la virtud de fe sea de supremo valor resulta evidente a partir de los Evangelios. ¿Cuán a menudo Nuestro Señor despues de haber realizado un milagro de curación física o espiritual dice al beneficiado que su fe es la que obtuvo para ella el milagro, como es el caso de María Magdalena (Lc.VII,50). Sin embargo la Escritura deja igualmente claro que esta meritoria fe es algo mas profundo que el simple conocimiento explícito de la religión. Por ejemplo, los centuriones Romanos pueden haber conocido poco o nada de la verdadera religión en sus días, el Antiguo Testamento, sin embargo de uno de ellos Nuestro Señor dice no haber encontrado una fe tan grande en Israel (Mt.VIII,10), otro de ellos reconoce como al Hijo de Dios al Jesús crucificado del cual los expertos en religión no hicieron mas que burlarse (Mt.XXVII,41), mientras un tercero, Cornelio, marcó el sendero para todos los gentiles que entrarán en la verdadera Iglesia (Hech.X,XI).  ¿Qué tenían estos centuriones paganos que los sacerdotes, escribas y ancianos no tenían, o habían perdido?

Desde el principio hasta el fin de la vida de todos los hombres en la tierra, tanto los paganos como los no paganos, están confrontados constantemente a una variedad de cosas buenas, todas provenientes en última instancia de Dios, y de cosas malas provenientes de la maldad de los hombres. Pero Dios mismo es invisible mientras que los hombres malos son demasiado visibles, de manera que es demasiado fácil no creer en la bondad o aún en la existencia de Dios. Con todo, los hombres de recto corazón creerán en la bondad de la vida a la vez que desestimarán relativamente, pèro no absolutamente, al mal, mientras los hombres de mal corazón desestimarán lo bueno que está alrededor de ellos. Ahora bien, los dos pueden no tener alguno conocimiento explícito de la religión, pero mientras que los hombres de recto corazón, como los centuriones, sujetarán ese conocimiento tan pronto como cruza su camino, los de mal corazón, al contrario, lo despreciarán, mas o menos. Asi, los inocentes Andrés y Juan se sujetaron inmediatamente al Mesías (Jn.I,37-40), mientras que el letrado Gamaliel necesitó mas tiempo y argumentos (Hech.V,34-39). Digamos pues que en el corazón de la virtud explícita y esclarecida de fe, se encuentra una implícita confianza en la bondad de la vida y en algún Ser detrás de ella, una confianza que puede ser socavada por una doctrina errónea o quebrantada, por ejemplo, por el escándalo.
 
Si volvemos al caso de Brahms, la pregunta entonces viene a ser, ¿Tenía al menos esta confianza implícita en la bondad de la vida y en el Ser detrás de ella? Con seguridad la respuesta es no, porque pasó la segunda mitad de su vida en lo que era en ese entonces la ciudad capital de la música, la Católica Viena. Allí la belleza de su música debe haber llevado a muchos de sus amigos y hasta a sacerdotes a incitarlo a la realización explícita de esta belleza que existe en la profesión y en la práctica de la religión de Viena, pero él debe haber rechazado todos estos tales llamados. Por consiguiente parecería muy posible que no haya salvado su alma…Sólo Dios lo sabe.

De todas maneras agradecemos a Dios por su música. Como dijo maravillosamente San Agustín, "Toda verdad nos pertenece a nosotros Católicos." ¡Equivalentemente toda belleza, aún la creada por paganos!

 
Kyrie eleison

Tugendhafte heiden

Eleison kommentare CCXXIII

Der Eleison-Kommentar Nummer 221 stufte die Musik von Johannes Brahms als Beweis für eine bestimmte Seelengröße ein. Daraufhin fragte ein junger Leser aus Brasilien, ob der glimmende Docht bei Brahms nicht vielleicht stärker glimmte als bei einem lauwarmen Katholiken (vergleiche Matthäus 12,20). Dieser Gegensatz soll auf der einen Seite die Tugend der Heiden aufzeigen, und auf der anderen Seite die Tugend des "warmen, faulen" Katholiken in Frage stellen.


Selbstverständlich ist die heidnische Tugend lobenswert, während die katholische Lauheit tadelnswert ist. Allerdings steht dahinter eine größere Frage: Wie wichtig ist es grundsätzlich, ein gläubiger Katholik zu sein? Und wie wichtig ist die Tugend des Glaubens?  Die Antwort kann nur lauten: Die Glaubenstugend ist so wichtig wie die Ewigkeit lang ist.
 
Die Evangelien zeigen eindeutig, daß der Glaube eine Tugend von allerhöchstem Wert ist.  Wenn unser Herr ein Wunder in der Form einer körperlichen oder geistigen Heilung gewirkt hatte, so sagte Er den Betroffenen häufig, daß sie dieses Wunder wegen ihres Glaubens erhalten hatten, beispielsweise bei Maria Magdalena (Lukas 7,50). Die Hl. Schrift zeigt allerdings ebenso deutlich, daß dieser verdienstvolle Glaube etwas tiefergehendes ist als nur ein ausdrückliches Kennen der Religion. Beispielsweise können die römischen Zenturionen über den damals wahren Glauben, das Alte Testament, nur wenig bis nichts gewußt haben. Dennoch sagt unser Herr über einen solchen Zenturio, daß Er in ganz Israel keinen solchen großen Glauben gefunden hat (Matthäus 8,10). Ein anderer Zenturio erkennt im gekreuzigten Jesus Christus den Sohn Gottes, während Ihn die religiösen Fachmänner nur verhöhnten (Matthäus 27,41). Ein dritter Zenturio namens Cornelius bahnt den Weg für alle Heiden, welche in die wahre Kirche eintreten werden (Apostelgeschichte 10,11). Worüber verfügten diese heidnischen Zenturionen, was die Priester, Schriftgelehrten und Ältesten nicht oder nicht mehr hatten?

Heiden wie Nicht-Heiden werden während ihres gesamten Erdenlebens ständig mit einer Vielzahl an guten Dingen konfrontiert, welche letztendlich alle von Gott stammen, und sie werden bösen Dingen begegnen, welche der Schlechtigkeit der Menschen entspringen. Doch weil Gott unsichtbar ist, während die bösen Menschen allzu deutlich sichtbar sind, fällt es leicht, die Güte oder sogar Existenz Gottes anzuzweifeln.  Allerdings glauben die Menschen guten Willens an das Gute im Leben und geringschätzen das Böse relativ (nicht absolut). Die Menschen schlechten Willens hingegen geringschätzen das Gute um sie herum. Nun mögen beide Gruppen von Menschen keine ausdrückliche Kenntnis von der Religion haben, doch während die gutherzigen Menschen (wie diese Zenturionen) die Wahrheit ergreifen sobald sie ihnen begegnet, verspotten die Menschen schlechten Herzens sie mehr oder minder. Daher nahmen der treuherzige Andreas und Johannes den Heiland sofort an (Johannes 1,37-40), während der gelehrte Gamaliel viel mehr Zeit und Überzeugungskraft benötigte (Apostelgeschichte 5,34-39). Wir können daher sagen, daß der ausdrücklichen und wissentlichen Glaubenstugend im Kern ein vorbehaltloses Vertrauen in die Güte des Lebens und in das dahinterstehende Wesen innewohnt. Dieses Vertrauen kann allerdings durch falsche Lehren untergraben und beispielsweise durch den Skandal erschüttert werden.

Kommen wir auf Brahms zurück. Die Frage lautet also, hat er wenigstens dieses vorbehaltlose Vertrauen in die Güte des Lebens und in das dahinterstehende Wesen gehabt?  Sicher lautet die Antwort nein, denn Brahms verbrachte die gesamte zweite Hälfte seines Lebens in der damaligen Hauptstadt der Musik: im katholischen Wien. Die Schönheit seiner Musik muß zahlreiche Freunde und sogar Priester bewogen haben, Brahms zum ausdrücklichen Vollzug dieser Schönheit aufgefordert zu haben – durch Bekenntnis und Ausübung der Religion Wiens. Doch Brahms muß alle diese Appelle abgelehnt haben. Deswegen scheint es allzu möglich zu sein, daß er seine Seele nicht hat retten können. Gott weiß es.

Nichtsdestotrotz danken wir Gott für Brahms’ Musik. Wie der Hl. Augustinus auf wunderbare Weise sagte: "Jede Wahrheit gehört uns Katholiken." Das gilt ebenso für jede Schönheit, selbst wenn sie von Heiden gefertigt ist!

Kyrie eleison

Pagani virtuosi

Commenti eleison CCXXIII

Leggendo (CE 221) come la musica di Brahms sia la prova di una certa grandezza d’animo, un giovane lettore brasiliano chiede se il lucignolo fumigante in lui non sia più fumigante di quello di un cattolico tiepido (cfr. Mt. XII, 20). Il confronto è indicato per evidenziare la virtù del pagano e dubitare della virtù dei cattolici tiepidi. Naturalmente la virtù pagana è lodevole e la tiepidezza cattolica è biasimevole, ma dietro sta una questione più grande: quant’è importante essere un credente cattolico?  Quant’è importante la virtù della fede?  Bisogna rispondere che è tanto importante per quanto è grande l’eternità.

Che la fede sia una virtù dal valore supremo è evidente dai Vangeli. Quante volte Nostro Signore, dopo aver operato una guarigione fisica o spirituale, dice al miracolato che è stata la sua fede ad ottenere il miracolo per lui, per esempio con Maria Maddalena (Lc. VII, 50). E la Scrittura chiarisce anche che questa fede meritoria è qualcosa di più profondo di una esplicita conoscenza religiosa. Per esempio, i centurioni romani potevano avere una conoscenza limitata o nulla della vera religione di allora, il Vecchio Testamento, eppure di uno di essi Nostro Signore dice che non ha trovato fede più grande in Israele (Mt. VIII, 10), un altro di essi riconosce il Figlio di Dio in  Gesù crocifisso, che i dottori della religione avevano misconosciuto e deriso (Mt. XXVII, 41), mentre un terzo, Cornelio, traccia la strada per tutti i Gentili che entreranno nella vera Chiesa (Atti X e XI). Cosa avevano questi centurioni pagani che mancava o che non avevano più i sacerdoti, gli scribi e gli anziani?

Dall’inizio alla fine della vita tutti gli uomini su questa terra, pagani e non pagani, sono costantemente posti di fronte ad una varietà di cose buone, tutte provenienti in definitiva da Dio, e di cose cattive, provenienti dalla malvagità degli uomini. Ma Dio è invisibile, mentre gli uomini malvagi sono fin troppo visibili, così che è fin troppo facile non credere nella bontà o perfino nell’esistenza di Dio. Tuttavia, gli uomini dal cuore buono crederanno nella bontà della vita mentre svaluteranno, relativamente, ma non assolutamente, il male, laddove gli uomini dal cuore cattivo svaluteranno il bene che sta intorno a loro. Ora, ciascuno dei due può non avere alcuna conoscenza esplicita della religione, ma mentre gli uomini dal cuore buono, come i centurioni, la faranno propria non appena la incroceranno sulla loro strada, quelli dal cuore cattivo la disprezzeranno, poco o troppo. Così gli ingenui Andrea e Giovanni si riuniranno immediatamente al Messia (Gv. I, 37-40), mentre il sapiente Gamaliele ci metterà più tempo a persuadersi (Atti V, 34-39).  Diciamo quindi che al cuore della esplicita ed espressa virtù della fede sta una implicita fiducia nella bellezza della vita e nell’Essere che comunque sta dietro di essa, una fiducia che può essere inficiata dalla falsa dottrina e scossa dallo scandalo, per esempio.

Tornando al caso di Brahms, quindi, la domanda è: aveva almeno questa fiducia implicita nella bellezza della vita e nell’Essere che sta dietro di essa? Sicuramente la risposta è no, perché egli trascorse l’intera seconda parte della sua vita in quella che era allora la capitale della musica, la Vienna cattolica. Lì la bellezza della sua musica deve aver indotto numerosi amici e perfino dei sacerdoti a spingerlo perché completasse esplicitamente tale bellezza con la professione e la pratica della religione di Vienna, ma egli deve aver rifiutato tutti questi appelli. Così che sembra fin troppo possibile che egli non abbia salvato la sua anima… Dio lo sa.

Nondimeno, ringraziamo Dio per la sua musica. Come diceva meravigliosamente Sant’Agostino: “Ogni verità appartiene a noi cattolici”. Parimenti ogni bellezza, anche se prodotta da pagani!

Kyrie eleison

Kirie Eleison

L’orgueil des ancêtres / El orgullo de los ancestros / Ahnenstolz / Orgoglio ancestrale

 L’orgueil des ancêtres 

Commentaire Eleison CCXXII

Au deuxième volume de sa vie de Jésus publié au début de l’année, le Pape Benoît XVI s’est exprimé sur la mort de Jésus de façon à permettre aux journalistes de conclure hâtivement qu’il ne faut plus imputer aux juifs la responsabilité du déicide, c’est-à-dire d’avoir mis à mort Dieu. Pire encore, le 17 mai le directeur exécutif du Secrétariat pour les Affaires
Œcuméniques et Interreligieuses de la Conférence Episcopale des Etats-Unis a affirmé qu’à aucun moment de l’histoire on ne peut accuser les juifs de déicide sans se mettre hors de la communion de l’Eglise catholique. A l’encontre de ce que beaucoup de gens veulent croire aujourd’hui, il est temps de rappeler, même brièvement, ce qu’enseignait toujours l’Eglise sur le meurtre judiciaire de Jésus.

D’abord le meurtre de Jésus fut vraiment un « déicide », c’est-à-dire meurtre de Dieu, parce que Jésus fut une des trois Personnes divines qui outre sa nature divine avait assumé une nature humaine. Qu’est-ce qui fut tué sur la Croix ? Seulement la nature humaine. Mais qui fut tué sur la Croix dans sa nature humaine ? Personne d’autre que la deuxième Personne divine, c’est-à-dire Dieu. Donc c’est bien Dieu qui a été tue, autrement dit, c’est le déicide qui a eu lieu.

Ensuite Jésus est mort en croix pour nous sauver tous, tous les hommes pécheurs, de nos péchés, et dans ce sens-ci il est vrai que tous les hommes furent et sont le but de sa mort. Mais uniquement les juifs (chefs et peuple) ont été les principaux agents du déicide parce que dans les Evangiles il saute aux yeux que le non-juif le plus impliqué, Ponce Pilate, n’aurait jamais condamné à mort Jésus si les chefs juifs n’avaient d’abord incité le peuple juif à réclamer sa mise en croix (Mt. XXVII, 20). Certes, les chefs éduqués étaient plus coupables que le peuple ignorant, dit St. Thomas (Somme III, 47, 5), mais tous ensemble ils ont hurlé pour que le sang de Jésus descende sur eux et sur leurs enfants (Mt.XXVII, 25).

En troisième lieu, le Pape Léon XIII au moins a estimé qu’il y a une vraie solidarité entre les juifs qui ont crié pour que Jésus meure et la collectivité des juifs des temps modernes. Dans son Acte de Consécration de la Race Humaine, n’a-t-il pas imposé à l’Eglise universelle à partir de la fin du 19me siècle de prier Dieu pour qu’il regarde enfin avec miséricorde « les enfants de ce peuple qui fut jadis votre préféré ; que sur eux aussi descende, mais aujourd’hui en baptême de vie et de Rédemption, le sang qu’autrefois ils appelaient sur leurs têtes. » ?

Mais Léon XIII est loin d’être le seul à avoir relevé cette solidarité entre les juifs de tous les temps. Aujourd’hui ne réclament-ils pas eux-mêmes la terre de Palestine en faisant valoir que c’est le Dieu de l’Ancien Testament qui la leur a donnée ? De tous les temps y a-t-il jamais eu sur la face de la terre une race-peuple-nation plus orgueilleuse de son
identité à travers les siècles ? Elevés à l’origine par Dieu pour servir de crèche à son Messie, lorsqu’il est venu, hélas, ils ont refusé collectivement de le reconnaître. Collectivement aussi, ce qui veut dire qu’il y a toujours de nobles exceptions, ils sont restés fidèles à ce refus, en sorte qu’ils ont changé de religion. Celle d’Abraham, de Moïse et de l’Ancien Testament ils l’ont remplacée par celle d’Anne, de Caïphe et du Talmud. Tragiquement, c’est leur formation messianique même aux mains de Dieu qu’ils tordent pour rejeter sans cesse celui qu’ils tiennent pour un faux messie.

L’Eglise a toujours enseigné qu’à la fin du monde ils se convertiront (cf. Rom. XI, 26-27), mais d’ici là il semble fatal qu’ils continueront d’agir, collectivement, en ennemis du vrai Messie.

Comment le Pape peut-il subvertir des vérités si anciennes?

Kyrie eleison

El orgullo de los ancestros 
  
Commentario Eleison CCXXII

En el segundo volumen acerca de la vida de Jesús publicado hace varios meses, el Papa Benedicto XVI hizo comentarios que les  permitió a los periodistas saltar a la conclusión de que los Judíos ya no deben de señalárseles como responsables de  deicidio, esto es el asesinato de Dios. Peor aún, el 17 de Mayo el director ejecutivo del Secretariado de la Comisión  Episcopal de Relaciones Ecuménicas e Inter-religiosas de los EUA dijo que uno no puede acusar a la gente Judía de deicidio  en ningún momento de la historia sin dejar de estar en comunión con la Iglesia Católica. En oposición a lo que mucha gente  hoy en día quiere pensar, es tiempo de recordar aunque sea brevemente, lo que la verdadera Iglesia siempre solía enseñar  acerca de la asesinato judicial de Jesús.

En primer lugar, el asesinato de Jesús fue verdaderamente “deicidio”, el asesinato de Dios, porque Jesús era una de las tres  Personas divinas que en adición a su naturaleza divina había tomado una naturaleza humana. ¿Qué se murió en la Cruz?  Únicamente la naturaleza humana. Pero ¿a quién se le asesinó en la Cruz en su naturaleza humana? Ni más ni menos que a la  segunda divina Persona, esto es, a Dios.

En segundo lugar, Jesús murió en la Cruz para salvarnos a todos nosotros, seres humanos pecadores, de nuestros pecados, y en  este sentido todos los hombres fueron y siguen siendo el fin de su muerte. Pero únicamente los Judíos (líderes y pueblo)  fueron los agentes primarios del deicidio, porque es obvio de los Evangelios que el Gentil más involucrado, Poncio Pilato,  nunca hubiera condenado a Jesús a muerte si los líderes Judíos no hubieran levantado entre la gente el clamor para su  crucifixión (Mateo XXVII, 20). Ciertamente los líderes doctos eran más culpables que el pueblo ignorante, dice Sto. Tomás de  Aquino (Suma III, 47, 5), pero todos en unísono aclamaron para que su sangre cayera sobre de ellos y sobre de sus hijos  (Mateo XXVII, 25).

En tercer lugar, al menos el Papa León XIII consideró que había una verdadera solidaridad entre los Judíos que clamaban en  ese entonces para que Jesús fuese asesinado, y la colectividad de los Judíos de los tiempos modernos. ¿Acaso no en su Acto  de Consagración del Genere Humano al Sagrado Corazón de Jesús hizó a la totalidad de la Iglesia, desde finales del siglo 19  y en adelante, rezar a Dios para que tornara sus “ojos de misericordia hacia los hijos de esa raza, alguna vez el pueblo  elegido de Dios: desde tiempos remotos clamaron sobre de ellos la Sangre del Salvador; descienda ahora sobre ellos un  bautismo (como un lavado) de redención y de vida”?

Pero León XVIII de ninguna manera está solo al observar dicha continuidad entre los Judíos a través de los siglos. ¿Acaso no  reclaman ellos mismos hoy en día la tierra de Palestina basados en que es suya por el derecho otorgado por Dios en el  Antiguo Testamento? ¿Ha habido en la faz de la tierra alguna raza-pueblo-nación tan orgullosamente auto-identificante a  través de todos los tiempos? Originalmente elevados por Dios para acunar al Mesías, Dios mío, cuando él vino se rehusaron  colectivamente a reconocerlo. Colectivamente también, con lo que se puede entender que siempre existen nobles excepciones,  han permanecido fieles a ese rechazo, por lo que cambiaron su religión de la de Abraham y Moisés y del Viejo Testamento a  aquella de Anás, Caifás y del Talmud. Trágicamente, su mismo entrenamiento divino para el Mesías los lleva a rechazar a  aquel que les parece un falso mesías. Hasta que se conviertan al final del mundo, como la Iglesia siempre lo ha enseñado  (cf. Rom. XI, 26-27), parecen estar obligados a elegir seguir actuando, colectivamente, como enemigos del verdadero Mesías.

¿Como es posible que Bendito XVI pierda verdades tan antiguas?

Kyrie eleison

 Ahnenstolz

Eleison kommentare CCXXII

Vor etlichen Monaten veröffentlichte Papst Benedikt XVI. seinen zweiten Buchband über das Leben Jesu. Darin macht er Bemerkungen, welche den Journalisten den Schluß erlaubten, daß die Juden nicht mehr länger für den Gottesmord verantwortlich gemacht werden dürfen, d.h. für die Tötung von Gott. Am 17. Mai 2011 ging der Leiter des Sekretariats für ökumenische und
interreligiöse Angelegenheiten der US - Bischofskonferenz sogar noch einen Schritt weiter und sagte, daß man zu keinem Zeitpunkt der Geschichte das jüdische Volk des Gottesmordes beschuldigen dürfe, ohne aus der Gemeinschaft der katholischen Kirche ausgestoßen zu werden. Angesichts der Umstände und trotz dessen, was viele heutige Menschen glauben wollen, ist es höchste Zeit, die beständige Lehre der Kirche über den Justizmord an Jesus Christus in Erinnerung zu rufen, sei es auch noch so kurz.

Erstens war die Ermordung von Jesus Christus wirklich ein „Gottesmord“, d.h. die Ermordung Gottes, denn Jesus Christus ist eine der drei Personen Gottes und hatte zusätzlich zu seiner göttlichen Natur auch eine menschliche Natur angenommen. Was wurde am Kreuz umgebracht? Nur die menschliche Natur Christi. Doch wer wurde in seiner menschlichen Natur am Kreuz
umgebracht? Niemand anders als die zweite göttliche Person, also Gott.

Zweitens starb Jesus Christus am Kreuz, um uns sündhafte Menschen alle von unseren Sünden zu befreien, und in dieser Hinsicht waren und sind alle Menschen der Zweck seines Todes. Doch nur die Juden (Führer und Volk) waren die Haupttäter des Gottesmordes, denn das Evangelium sagt, daß der am meisten beteiligte Nichtjude, Pontius Pilatus, Jesus Christus niemals zum Tode verurteilt hätte, wenn nicht die jüdischen Führer das jüdische Volk dahingehend mobilisiert hätten, lautstark seine Kreuzigung zu verlangen (Matthäus 27,20). Sicherlich waren die gelehrten jüdischen Führer schuldiger als das ungelehrte jüdische Volk, wie der Hl. Thomas von Aquin sagt (Summa III, 47, 5), aber sie alle zusammen schrien, daß Christi Blut über sie und ihre Kinder kommen solle (Matthäus 27,25).

Drittens stellte wenigstens Papst Leo XIII. einen echten Schulterschluß fest zwischen den damals zur Ermordung Christi aufrufenden Juden einerseits, und der Gesamtheit der Juden der modernen Zeiten andererseits. Schließlich ließ der Papst in seinem Sühnegebet, wo das Menschengeschlecht an das Heiligste Herz Jesu Christi geweiht wird, die gesamte Kirche zu Gott beten, vom 19. Jahrhundert an aufwärts: „Blicke voll Erbarmen auf die Kinder jener Rasse, welche ehemals das auserwählte Volk Gottes war. Möge das Blut des Erlösers, das sie einst selber auf sich herabgerufen hatten, nun als Bad der Erlösung und des Lebens über sie fließen.“

Doch sieht bei weitem nicht nur Papst Leo XIII. eine Kontinuität zwischen den Juden über die Jahrhunderte hinweg. Erheben denn nicht sie selber heute Anspruch auf das Land Palästina mit der Begründung, es sei ihres kraft des Gottes aus dem Alten Testament? Oder hat es jemals eine Rassen- und Religions-Nation gegeben, welche im Laufe der Jahrhunderte auf stolzere Weise selbstidentifizierend geblieben ist? Ursprünglich bereitete Gott die Juden darauf vor, dem Erlöser die Wiege zu bereiten – aber ach!, als er dann wirklich kam, verweigerten sie in ihrer Gesamtheit ihm die Anerkennung. Ebenfalls halten sie in ihrer Gesamtheit – immer mit edlen Ausnahmen – bis heute an dieser Zurückweisung des Erlösers fest, und sie änderten ihre Religion von der des Abraham und Moses und des Alten Testamentes in die Religion des Annas, Kaiphas und des Talmud. Tragischerweise treibt gerade ihre messianische Vorbereitung durch Gott sie seither dazu an, mit der Zurückweisung jener Person fortzufahren, welche sie für einen falschen Messias halten. Bis sie am Ende der Zeit bekehrt werden, wie die Kirche immer gelehrt hat (Römer 11,26-27), scheinen sie an die Rolle gebunden zu sein, Feinde des wahren Messias zu sein.

Wie kann der Papst überhaupt solche uralte Wahrheiten verlorengehen lassen?

Kyrie eleison

Orgoglio ancestrale

Commenti eleison CCXXII

Nel suo secondo volume sulla vita di Gesù, pubblicato alcuni mesi fa, Papa Benedetto XVI ha fatto un commento che ha permesso ai giornalisti di saltare alla conclusione che gli Ebrei non devono più essere ritenuti responsabili di deicidio, cioè dell’uccisione di Dio. Peggio, il 17 maggio, il Direttore esecutivo del Segretariato per il dialogo ecumenico e gli affari interreligiosi della Conferenza Episcopale degli Stati Uniti, ha detto che nessuno può accusare gli Ebrei di deicidio in nessun momento storico, senza ricadere nell’esclusione dalla comunione con la Chiesa cattolica. Contrariamente a quanto vuol credere oggi molta gente, è opportuno ricordare, sia pure brevemente, quello che la vera Chiesa ha sempre usato insegnare sull’omicidio giudiziario di Gesù.

In primo luogo, l’uccisione di Gesù fu un vero “deicidio”, cioè l’uccisione di Dio, perché Gesù era una delle tre Persone divine che in aggiunta alla sua natura divina assunse una natura umana. Quale di esse è stata uccisa sulla Croce? Solo la natura umana. Ma chi è stato ucciso sulla Croce nella sua natura umana? Nessun altro che la seconda Persona divina, cioè Dio.

In secondo luogo, Gesù è morto sulla Croce per salvare dai nostri peccati tutti noi esseri umani peccatori, e in questo senso tutti gli uomini furono e sono il fine della sua morte. Ma solo gli Ebrei (capi e popolo) furono i principali agenti del deicidio, poiché dai Vangeli è evidente che il “gentile” più coinvolto, Ponzio Pilato, non avrebbe mai condannato a morte Gesù se i capi degli Ebrei non avessero incitato il popolo ebraico a reclamare la sua crocifissione (Mt. XXVII, 20).

Certo che i dotti capi furono più colpevoli del popolo ignorante – dice San Tommaso d’Aquino (Summa III, 47, 5) – ma tutti gridarono insieme: “Il suo sangue ricada sopra di noi e sopra i nostri figli” (Mt. XXVII, 25).

In terzo luogo, almeno Papa Leone XIII considerava che ci fosse una reale solidarietà tra gli Ebrei che reclamarono l’uccisione di Gesù e la collettività ebraica dei tempi moderni. Col suo Atto di Consacrazione del Genere Umano al Sacro Cuore di Gesù, l’intera Chiesa non ha pregato Dio, dalla fine del XIX secolo in poi, perché volga “i suoi occhi misericordiosi verso i figli di quella razza, un tempo popolo scelto da Dio: i cui progenitori richiamarono su di essi il Sangue del Salvatore, sui quali Esso possa ora scendere come un lavacro di redenzione e di vita”?

Ma Leone XIII non è certo il solo a ribadire tale continuità che accomuna gli Ebrei di tutti i secoli. Non sono essi stessi a rivendicare oggi la Palestina sulla base del fatto che sarebbe la loro per un diritto derivato dal Dio del Vecchio Testamento? C’è mai stata sulla faccia della terra una razza-popolo-nazione più orgogliosamente identitaria nel corso dei secoli? Originariamente elevati da Dio a culla del Messia, ahimé, quand’Egli arrivò essi, collettivamente, si rifiutarono di riconoscerlo. Ancora collettivamente, che significa che vi sono sempre delle nobili eccezioni, essi sono rimasti fedeli a questo rifiuto, al punto da cambiare la loro religione da quella di Abramo, di Mose e del Vecchio Testamento, in quella di Anna, di Caifa e del Talmud. Tragicamente, la loro stessa educazione messianica voluta da Dio li conduce a continuare a rifiutare colui che essi ritengono sia un falso messia. Fintanto che non si convertiranno, alla fine del mondo, come la Chiesa ha sempre insegnato che faranno (Cf. Rom. XI, 26-27), essi sembrano destinati a scegliere di agire, collettivamente, come nemici del vero Messia.

Come mai el Papa può perdere verità tanto antiche?

Kirie Eleison

Theisme des athées? / ¿Teísmo de los ateos? / Glaube der atheisten? / Teismo degli atei?

¿Theisme des athées?

Commentaire Eleison CCXXI

Il y a une phrase fascinante du compositeur allemand, Joannes Brahms (1833-1899), qui montre comment un homme peut n´avoir aucune foi religieuse du tout, et malgré cela reconnaître du moins qu´il existe un ordre objectif. Une telle reconnaissance est une ancre dans la réalité et elle a donné à Brahms l´accès à une grande beauté qui se reflète dans sa musique. La crise d´innombrables âmes modernes réside dans le fait qu´elles sont convaincues qu´il n´existe absolument rien d´objectif. Elles se trouvent emprisonnées à l´intérieur de leur propre subjectivité, ce qui constitue une prison assez dénudée, avec une musique de suicides!

En 1878 Brahms écrivit pour un violoniste hors pair, son ami Joseph Joachim (1831-1907), l´une de ses œuvres les plus belles et les plus aimées (« Aimez-vous Brahms ? » -- oui !) -- le Concert pour violon en Ré majeur. Après avoir écouté Joachim l´interpréter, il dit : «Mmm!...-- oui…il peut être joué de cette façon-là ». En d´autres mots, alors que Brahms était en train de composer le Concert, il l´avait entendu dans son oreille intérieure joué d´une certaine manière, mais il reconnaissait que l´interprétation quelque peu différente  que quelqu´un d´autre pourrait donner de sa composition serait, elle aussi, légitime.

Or il est évident qu´il y a des façons de jouer le Concert que Brahms n´aurait pas acceptées, mais tant qu’un violoniste, tout en interprétant sa composition selon une approche différente de la sienne, poursuivait le même but que lui-même avait visé en le composant, Brahms ne se voyait pas dans la nécessité d´insister sur sa propre interprétation. Le but objectif importait plus que l´ interprétation subjective, de telle manière que si sa composition permettait à toutes sortes d´exécutants de parvenir à ce but, alors – dans certaines limites -- 
tous étaient les bienvenus pour interpréter le Concert tel qu´ils le désiraient. L´objet passait au-dessus du sujet.Cette primauté de l’objet signifie, en dernière instance, Dieu au-dessus de l´homme, et cependant Brahms n´était pas croyant. Le compositeur Tchèque catholique, Antonin  Dvorak (1841-1904), ami et admirateur de Brahms, s´exclama une fois à son sujet «Quel grand homme! Quelle grande âme! Et il ne croit en rien! Il ne croit en rien!» En effet Brahms n´était pas Chrétien – il exclut délibérément de son Requiem Allemand toute mention de Jésus-Christ. De plus il n´admettait être croyant d´aucune sorte: il déclarait que les textes de la Bible qu´il avait utilisés pour le Requiem étaient là pour l´expression du sentiment plus que pour une quelconque profession de religion. Le sujet passait là au-dessus de l´objet. Et on peut penser qu’à cette incroyance professée de la part de Brahms correspond dans une bonne partie de sa musique le manque d´une certaine spontanéité et joie.

Mais que de beauté comme automnale y trouvons-nous, et d´ordre soigneusement agencé!  Cet agencement artistique et son reflet des beautés de la Nature, par exemple dans le Concert pour violon, rappellent le lieu où Notre Seigneur dit qu’il y a des âmes qui le nient en parole mais l´honorent en action (Mt.XXI, 28-29). Aujourd´hui, alors que la plupart des âmes le nient en parole, combien y en a-t-il qui de façon ou d´autre honorent, par exemple dans la musique ou dans la Nature, au moins l´ordre que Notre Seigneur a établi dans tout son univers. Une telle fidélité n´est d’aucune façon encore celle de la Foi catholique qui seule peut sauver, mais elle représente au moins cette mèche fumante qui ne devrait pas être éteinte (Mt.XII, 20).

Puissent les Catholiques comblés de la plénitude de la Foi faire preuve de discernement envers de telles âmes autour d´eux, et puissions nous avoir compassion des multitudes que les ennemis de Dieu ont éloignées de lui, dans la musique comme dans tout autre domaine (Mc.VIII, 2).

Kyrie eleison

¿Teísmo de los ateos? 
  
Commentario Eleison CCXXI

Hay una fascinante cita del famoso compositor alemán, Johannes Brahms (1833-1899), que muestra como un hombre puede no tener ninguna fe religiosa, y, sin embargo, reconocer aún que existe un orden objetivo. Tal reconocimiento es un ancla en la realidad y le dio a Brahms acceso a mucha belleza que se refleja en su música. La crisis de innumerables almas modernas es que están convencidas de que no existe absolutamente nada objetivo ¡Están encarceladas en su propia subjetividad que las lleva a una cárcel vacía, y a una música suicida!

En 1878 Brahms compuso para un violinista excepcional, su amigo Joseph Joachim (1831-1907), una de sus obras mas encantadoras y amadas, el Concierto en D para violín. Cuando escuchó a Joachim tocarlo, dijo, “Humm – sí…se podría ejecutar de esa manera”. En otras palabras, mientras Brahms estaba componiendo el Concierto, lo había estado escuchando mentalmente siendo ejecutado de tal y tal manera, pero reconoció que la interpretación algo diferente que otro pudiera hacer de su composición, era también legítima.

Ahora bien, indudablemente hay maneras de ejecutar el Concierto que Brahms no hubiera aceptado, pero siempre que un intérprete usare su composición aproximándose de una manera diferente al objetivo que Brahms se había fijado componiéndolo, entonces él, Brahms, no se veía en la necesidad de insistir en su propia manera de ejecutarlo. El fin objetivo importaba mas que la interpretación subjetiva, de tal manera que si al componer la obra, Brahms hubiera ofrecido a toda clase de intérpretes un acceso a ese fin, entonces – dentro de ciertos límites -- todos ellos hubieran sido aceptados por Brahms para ejecutar el Concierto de la manera que ellos quisieran. Lo objetivo por encima de lo subjetivo.

En última instancia esto significa: Dios por encima del hombre; sin embargo Brahms no era creyente. El compositor Católico Checo , Antonin Dvorak (1841-1904), amigo y admirador de Brahms, dijo una vez de él, “¡Que gran hombre! ¡Tan gran alma! ¡Y cree en nada! ¡Cree en nada!” Brahms no era Cristiano -- deliberadamente dejó de mencionar a Jesucristo en su Requiem Alemán. Ni admitió pertenecer a cualquier categoría de creyentes – dijo que en su Requiem los textos de la Biblia que había usado, lo fueron por su expresión del sentimiento mas que por cualquier profesión de religión. Lo subjetivo por encima de lo objetivo. Y a este descreímiento de parte de Brahms corresponde, uno puede opinar, la carencia de cierta espontaneidad y alegría en buena parte de su música.
¡Pero cuanta belleza casi otoñal contiene su música, y que orden cuidadosamente elaborado! Este arte musical con su reproducción de las bellezas de la Naturaleza, por ejemplo en el Concierto para violín, recuerda Nuestro Señor diciendo como hay almas que de palabra lo niegan pero que lo honran en sus actos (Mt.XXI, 28-29). Hoy día, cuando la mayoría de las almas lo niegan de palabra, cuantos habrá que de una u otra manera honran, por ejemplo en la música o en la Naturaleza, al menos el orden que Nuestro Señor implantó a través de todo su universo. Una tal fidelidad no es de ninguna manera aún la Fe Católica, necesaria para salvarse, pero es por lo menos esta mecha humeante que no tiene que ser apagada (Mt.XII,20).

Dios quiera que todos los Católicos dotados de la plenitud de la Fe tengan discernimiento a favor de tales almas alrededor de ellos, y tengamos compasión por las muchedumbres apartadas de Dios por sus enemigos, en la música asi como en todas las esferas (Mc.VIII,2).

Kyrie eleison

Glaube der atheisten? 

Eleison kommentare CCXXI

Ein faszinierendes Zitat des berühmten deutschen Komponisten Johannes Brahms (1833 - 1899) zeigt, daß selbst ein Mensch ohne jeglichen religiösen Glauben noch eine objektive Ordnung erkennen kann. Eine solche Erkenntnis stellt einen Haltegriff an der Wirklichkeit dar und gewährte Brahms den Zugriff auf eine große Schönheit, welche sich in seiner Musik widerspiegelt. Die Krise unzähliger moderner Seelen hingegen besteht gerade aus ihrer Überzeugung, daß es nichts Objektives gebe. Somit sind diese Seelen in ihrer eigenen Subjektivität gefangen – ein Zustand, der ein sehr kahles Gefängnis darstellt und zu einer Musik von Selbstmördern führt.

Für seinen Freund, den hervorragenden Geiger Joseph Joachim (1831 - 1907), komponierte Brahms im Jahre 1878 eines seiner schönsten und beliebtesten Werke, das Violinkonzert in D-Dur. Als Joachim es ihm vorspielte, sagte Brahms: „Hm, ja, auf diese Weise könnte es gespielt werden.“ Anders gesagt hörte Brahms bereits beim Komponieren des Konzerts in seinem geistigen Ohr eine ganz bestimmte Spielweise dafür. Trotzdem anerkannte er die etwas andere Spielart seines Werkes durch einen anderen Musiker.

Zweifelsohne hätte Brahms gewisse Arten, sein Konzert auszuführen, nicht akzeptiert. Doch solange ein Künstler durch eine andere Art und Weise sich dem gleichen Ziel näherte, das auch Brahms beim Komponieren im Sinn gehabt hatte, sah er keine Notwendigkeit, auf seiner eigenen Spielweise zu beharren. Das objektive Ziel war wichtiger als die subjektive Vorgehensweise. Solange also Brahms durch seine Komposition den jeweiligen Künstlern das Erreichen dieses Ziel ermöglichte, durften sie in gewissen Grenzen das Konzert gerne auf ihre Art spielen. Das Objekt steht über dem Subjekt.

Letztendlich heißt aber dieser Vorrang des Objekts, daß Gott über dem Menschen steht, aber Brahms war immerhin kein Gläubiger. Der katholische tschechische Komponist Antonin Dvorak (1841 - 1904), welcher mit Brahms befreundet war und ihn bewunderte, sagte einmal über ihn: „Was für ein großer Mann! Was für eine große Seele er hat! Aber er glaubt an nichts! Er glaubt nichts!“ In der Tat war Brahms kein Christ. In seinem deutschen Requiem vermied er absichtlich jedwede Erwähnung von Jesus Christus. Außerdem gab er nie zu, an irgendetwas zu glauben. So behauptete er beispielsweise, daß die für sein Requiem verwendeten Texte der Heiligen Schrift lediglich dem Ausdruck von Gefühlen dienen sollten, aber keiner Überzeugung und keinem Glauben. Hier steht also das Subjekt über dem Objekt. Und dürfen wir nicht meinen, daß Brahms’ Bekenntnis zum Unglauben für eine gewisse in seiner Musik oft fehlende Ungezwungenheit und Freude verantwortlich ist ?

Dennoch enthält Brahms’ Musik eine Art herbstlicher Schönheit und eine sorgfältig ausgearbeitete Anordnung. Diese Handwerkskunst und dieser Widerhall natürlicher Schönheit, beispielsweise in seinem Violinkonzert, erinnert an ein Wort unseres Herrn, wo Er sagt, daß manche Seelen Ihn zwar durch das Wort leugnen, aber durch die Tat noch ehren (Matthäus 21,28-29). In der heutigen Zeit leugnen fast alle Seelen unseren Herrn durch das Wort. Wieviele Menschen gibt es doch, welche auf die eine oder andere Weise – beispielsweise durch Musik oder durch die Natur – wenigstens jene Ordnung noch ehren, mit der unser Herr sein gesamtes Weltall ausgestattet hat ? Diese Art zu glauben ist natürlich noch lange nicht der alleinseligmachende katholische Glaube, doch sie stellt wenigstens jenen glimmenden Docht dar, welcher noch nicht ausgelöscht werden soll (Matthäus 12,20).

Mögen alle mit der Fülle des Glaubens gesegneten Katholiken solche Seelen um sich herum wahrnehmen. Und erbarmen wir uns jener Scharen von Menschen, welche durch die Feinde Gottes von Ihm weggeführt werden – in der Musik wie in allen Bereichen (Markus 8,2).

Kyrie eleison

Teismo degli atei?

Commenti eleison CCXXI


C’è un’affascinante citazione del famoso compositore tedesco Johannes Brahms (1833-1899), che dimostra come un uomo possa non avere affatto una fede religiosa e tuttavia riconoscere che esista un ordine oggettivo. Tale riconoscimento realizza un aggancio con la realtà e fu esso che permise a Brahms di accedere a tutta quella bellezza che egli espresse con la sua musica. La crisi di innumerevoli anime moderne sta nel fatto che esse sono convinte che non ci sia alcunché di oggettivo. Esse sono imprigionate nella loro stessa soggettività, che genera una squallida prigione e una musica da suicidi!Nel 1878, Brahms scrisse per un violinista d’eccezione, il suo amico Joseph Joachim (1831-1907), uno dei suoi lavori più belli e più amati, il Concerto per violino op. 77. Quando lo sentì suonare da Joachim, disse: “Humm – si… si può suonare anche così”. In altre parole, mentre Brahms componeva il Concerto, con l’orecchio della mente lo aveva percepito in un modo o in un altro, ma adesso riconosceva che l’uso diverso che qualcun altro poteva fare di esso era ugualmente legittimo.

Indubbiamente, ci sono modi di eseguire il Concerto che Brahms non avrebbe accettato, ma quando un esecutore usa la sua composizione riuscendo a cogliere in modo diverso lo scopo da lui stesso perseguito nel comporla, ecco che Brahms non insiste più sul modo suo proprio. Lo scopo oggettivo conta più dell’approccio soggettivo, tale che se con la sua composizione egli riesce a dare la possibilità a ogni tipo di esecutore di cogliere lo stesso scopo, allora – entro certo limiti – essi sono tutti i benvenuti quando suonano il Concerto a modo loro. Oggetto al di sopra del soggetto.

In ultima analisi questo significa che Dio è al di sopra dell’uomo, eppure Brahms non fu un credente. Il compositore cattolico ceco, Antonin Dvorak (1841-1904), amico e ammiratore di Brahms, una volta disse di lui: “Che grand’uomo! Che anima grande! E non credeva in niente! Non credeva per niente!” Di fatto Brahms non era cristiano – nel suo Requiem Tedesco egli lasciò fuori deliberatamente ogni menzione di Gesù Cristo. E ammetteva di non avere alcun tipo di credenza – egli diceva che i testi biblici che aveva usato nel Requiem erano lì per la loro capacità di esprimere il sentimento, piuttosto che per una professione religiosa. Qui il soggetto è al di sopra dell’oggetto. Ed è a questa professata miscredenza di Brahms che si può addebitare la mancanza di una certa spontaneità e gioia in gran parte della sua musica.

Ma quanta bellezza velata essa contiene, e che cura artigianale per l’ordine! Questa maestria e questa riflessione delle bellezze della natura, come per esempio nel Concerto per violino, richiamano alla mente Nostro Signore che dice che vi sono anime che lo negano a parole, ma lo onorano con i fatti (Mt. XXI, 28-29). Oggi che quasi tutte le anime lo negano a parole, quante ve ne sono che in qualche modo, per esempio nella musica o in natura, onorano almeno l’ordine che Nostro Signore ha stabilito dappertutto nel suo universo. Tale fedeltà non è ancora per niente la fede cattolica, la sola che possa salvare, ma almeno costituisce quel lucignolo fumigante che non deve essere estinto (Mt. XII, 20).

Facciamo che tutti i cattolici dotati della pienezza della Fede abbiano attenzione per queste anime che li circondano e si abbia compassione per la moltitudine di coloro che vengono allontanati da Dio dai suoi nemici, nella musica come in tutti i domini (Mc. VIII, 2).

Kirie Eleison

X Anniversaire / X Aniversario / Zehnter jahrestag / X Anniversario

X Anniversaire

Commentaire Eleison CCXX

Le dixième anniversaire du 9/11 est venu et passé le 11 Septembre, il y a trois semaines. Apparemment dans les media des USA il y eut un tel torrent de sentimentalité à cette occasion que les pluies torrentielles récentes de la côte Est des Etats Unis ont paru, en comparaison, une simple ondée. Toutefois, avant que le seul fait d’aborder ce sujet ne devienne «antisémite», demandons-nous avec un commentateur américain d’une intelligence et d’une intégrité indiscutables, ce que fut exactement la réalité de cet évènement.

Ce commentateur, le Dr. Paul Craig Roberts, avait annoncé il y a quelques mois qu’il cessait d’écrire. Il était découragé par le manque de lecteurs intéressés par la vérité. Heureusement il n’a pas trop tardé à revenir sur sa décision. C’est un homme qui dit la vérité comme on en rencontre trop peu autour de nous. "Aux Etats Unis le Respect de la Vérité est Mort", tel est le titre de son article du 12 Sept., publié sur infowars.com. Comme il le suggère, la perte de la vérité est le drame réel, aussi bien du 9/11 que des dix années suivantes, non seulement aux USA mais de fait dans le monde entier.      

Le Dr. Roberts possède lui-même une formation scientifique, et comme tel il dit être totalement convaincu par les évidences scientifiques présentées lors de la réunion sur les évènements du 9/11 tenue du 8 au 11 Sept. 2011 à l’Université Ryerson à Toronto, au Canada. Au cours de quatre journées de conférences, des scientifiques, chercheurs, architectes et ingénieurs de renom présentèrent le résultat de leurs recherches sur les évènements du 9/11 (leurs découvertes sont peut-être encore accessibles sur  http://www.ustream.tv/channel/thetorontohearings). Le Dr. Roberts écrit que leurs recherches «ont démontré que dans le cas du bâtiment WTC7 il s’agissait d’une démolition contrôlée classique, et que ce sont des dispositifs incendiaires et explosifs qui ont provoqué l’effondrement des Tours Jumelles. Il n’y a plus aucun doute à ce sujet. Quiconque déclare le contraire ne dispose d’aucune base scientifique pour l’affirmer. Ceux qui croient à la versión officielle croient en un miracle qui défie les lois de la physique".

Le Dr. Roberts fait état de quelques-unes seulement des nombreuses preuves scientifiques présentées au Canada, par exemple la découverte récente de nanothermite -- mélange d’aluminium pulvérisé et d’un oxyde métallique formant un explosif très fort -- dans la poussière produite par l’effondrement des Tours. Mais, écrit-il, «la révélation d’une telle malveillance est si écrasante que la plupart des lecteurs y trouveront un défi à leur force mentale et émotionelle». La propagande du gouvernement et les medias «presstitués» ont une telle emprise sur les esprits que la plupart croient que seuls les «maniaques de la conspiration» peuvent douter de la version officielle des gouvernements. Les faits, la science, et l’évidence ne comptent pour rien (c’est l’expérience de quelqu’un d’autre que je connais!). Le Dr. Roberts cite un professeur de Droit de Chicago et d’Harvard qui a même proposé que ceux qui s’appuient sur les faits pour douter de la propagande du gouvernement, devraient être réduits au silence!

Selon une parole célèbre de G. K. Chesterton, lorsque les gens cessent de croire en Dieu, ils ne croient pas en rien du tout, ils croiront n’importe quoi. Le plus grave, c’est que parmi les milliards de ceux qui perdent la vérité du 9/11 se trouvent des catholiques qui ne peuvent ou ne veulent pas voir l’évidence que le 9/11 est un travail " fait maison", des catholiques qui ne peuvent ou ne veulent pas voir la dimensión proprement religieuse du triomphe mondial d’un tel lavage de cerveau, d’un tel mensonge que représente la version officielle du 9/11. Que de tels catholiques prennent garde. Cela peut paraître une exagération insensée de dire qu’ils risquent de perdre la Foi, mais n’avons-nous pas l’exemple effrayant de Vatican II ? N’avons- nous pas assez proches de nous les années 1960 au cours desquelles un nombre considérable de catholiques voyaient avec tant de sympathie le monde moderne qu’ils en sont arrivés à penser que leur Eglise devrait s’adapter a lui ? Le Concile Vatican II n’en fut-il pas le résultat ?  Et celui-ci qu’a t-il fait de leur Foi?

Kyrie eleison

X Aniversario 
  
Commentario Eleison CCXX

El décimo aniversario del 9/11 vino y se fue el 11 de Septiembre, hace tres semanas. Aparentemente en los medios norteamericanos hubo tal torrente de sensiblería en esta ocasión que las lluvias torrenciales recientes en la costa este parecieron, en comparación, un pequeño aguacero. Sin embargo, antes que el sólo hecho de hablar de este tema se vuelva "antisemítico", preguntémonos con un comentarista norteamericano de innegable inteligencia e integridad, exactamente lo que fue la realidad de este evento.

El comentarista es el Dr. Paul Craig Roberts, quien anunció hace varios meses su retiro como escritor. El había desistido por la carencia de lectores interesados en la verdad. Afortunadamente su retiro no duró mucho tiempo. El dice la verdad y hay demasiado pocos como él por ahí. "En América el Respeto por la Verdad está Muerto" es el título de su artículo del 12 de Septiembre publicado en infowars.com. Como él lo sugiere, la pérdida del sentido de la verdad es el drama real, tanto del 9/11 como de los diez años subsiguientes, no solamente en los Estados Unidos, sino de hecho en el mundo entero.

El Dr. Roberts tiene una formación científica y como tal dice que fue totalmente convencido por las pruebas científicas presentadas en la reunión del 8 al 11 de Septiembre que tuvo lugar en la Universidad Ryerson, Toronto, Canadá, sobre los eventos del 9/11. Durante estos cuatro días de conferencias, distinguidos científicos, estudiosos, arquitectos e ingenieros, presentaron el fruto de sus investigaciones sobre los eventos del 9/11 (sus conclusiones tal vez todavía se pueden encontrar en http://www.ustream.tr/channel/thetorontohearings). El Dr. Roberts escribe que las investigaciones de ellos "han probado que el edificio WTC7 fue una clásica demolición controlada y que dispositivos incendiarios y explosivos derrumbaron las Torres Gemelas. No queda ninguna duda al respecto. Cualquiera que declare lo contrario no tiene bases científicas que lo respalden. Los que creen en la versión oficial creen en un milagro que desafía las leyes de la física".

El Dr. Roberts cita algunas de las muchas pruebas científicas presentadas en Canadá, por ejemplo el descubrimiento reciente de nano-termita (mezcla de aluminio pulverizado y un óxido metálico de un explosivo) en el polvo producido por el derrumbe de las Torres. Escribe pero que "la intención criminal asi revelada es tan contundente que la mayoría de los lectores la encontrarán como un desafío a su fortaleza emocional y mental". La propaganda del gobierno y los "presstitutos" medios tienen tal agarre sobre nuestras mentes que la mayoría de la gente seriamente piensa que solamente "los locos de la teoría de la conspiración" pueden poner en duda la versión del gobierno. Los hechos, la ciencia y la evidencia ya no cuentan mas para nada (¡Alguien que conozco sufrió por esto!). El Dr. Roberts cita a un Profesor de Derecho de Chicago y Harvard proponiendo incluso que ¡basarse en los hechos para dudar de la propaganda gubernamental es algo que tiene que ser silenciado!

G. K. Chesterton dijo una vez una frase famosa, que cuando la gente deja de creer en Dios, ya no creen en nada, sino creerán en cualquier cosa. Lo más grave de todo es que entre los muchos millones de perdedores de la verdad del 9/11, están los Católicos que no pueden o no quieren aceptar la evidencia de que el 9/11 fue un trabajo hecho en casa, que no pueden o no quieren ver las dimensiones verdaderamente religiosas del triunfo mundial que tal mentira como la del 9/11 representa para lavarnos la cabeza. Que tales Católicos tengan cuidado. Puede parecer una insensata exageración decir que ellos corren peligro de perder la Fe, pero, ¿No tenemos el ejemplo aterrador de lo que acaba de ocurrirnos con el Concilio Vaticano II? ¿Acaso no fue en la década de 1960 cuando un muy grande número de Católicos miraron con tanta simpatía al mundo moderno que pensaron que su Iglesia tendría que adaptarse a él? ¿No fue el Vaticano II el resultado? ¿Que hizo éste con la Fe de ellos?

Kyrie eleison

 

 Zehnter jahrestag 

Eleison kommentare CCXX

Vor drei Wochen, am 11. September 2011, war der zehnte Jahrestag des ,,9/11"-Ereignisses von New York. Der Jahrestag kam und ging. Doch die US-Medien produzierten bei dieser Gelegenheit, so heißt es, einen solchen Platzregen an Sentimentalitäten, daß dagegen die jüngsten sintflutartigen Regenfälle an der Ostküste wie ein leichter Schauer wirkten. Bevor die folgende Frage aufzuwerfen als ,,anti-semitisch" erklärt wird, wollen wir mit der Hilfe eines US-amerikanischen Kommentators von unbestreitbarer Intelligenz und Rechtschaffenheit fragen, wie die Wirklichkeit hinter diesem 9/11-Ereignis aussieht.   

Der Kommentator heißt Dr. Paul Craig Roberts. Zwar kündigte er vor einigen Monaten seinen Rückzug als Schriftsteller an, weil er so entmutigt war von der mangelnden Zahl an Lesern, welche an der Wahrheit interessiert sind. Doch glücklicherweise dauerte sein Ruhestand nicht sehr lange. Er ist eben ein Wahrheitsverkünder, und von diesen gibt es viel zu wenige. Sein Artikel vom 12. September heißt ,,In den USA ist die Achtung vor der Wahrheit verlorengegangen" (,,In America Respect for Truth is Dead"), und er wurde im Internet auf www.infowars.com veröffentlicht. Das eigentliche Drama bei 9/11 und in den folgenden zehn Jahren, so schreibt Roberts, ist der Verlust der Wahrheit. Dies gilt nicht nur für die USA, sondern tatsächlich für die ganze Welt.  

Dr. Paul Roberts besitzt eine wissenschaftliche Bildung und sagt deswegen, daß er vollständig überzeugt ist von den wissenschaftlichen Beweisen, welche auf einem Treffen an der Ryerson-Unversität im kanadischen Toronto über die 9/11-Ereignisse vorgestellt wurden. Bei diesem Treffen, das vom 8. bis 11. September 2011 dauerte, stellten ausgewiesene Wissenschaftler, Gelehrte, Architekten und Ingenieure die Früchte ihrer Forschung über die 9/11-Ereignisse vor (ihre Ergebnisse dürften noch verfügbar sein auf www.ustream.tv/channel/thetorontohearings). Roberts schreibt, daß diese Forschungen ,,beweisen, daß der dritte Wolkenkratzer, das sogenannte WTC7-Gebäude, durch eine standardmäßige, kontrollierte Sprengung zerstört wurde und daß Brandstifter und Sprengstoffe die beiden angrenzenden Zwillingstürme sprengten. Das steht zweifelsfrei fest. Wer das Gegenteil behauptet, steht nicht auf wissenschaftlichem Grund. Jene, welche die offizielle Geschichte annehmen, glauben an ein Wunder, das gegen die Gesetze der Physik verstößt."  

Roberts zitiert einige der vielen in Kanada vorgestellten wissenschaftlichen Beweise. Zum Beispiel die jüngste Entdeckung des militärischen Spezialsprengstoffes Nano-Thermit im Trümmerstaub der eingestürzten Türme. Gleichzeitig schreibt Roberts allerdings, daß ,,die Enthüllung der Bösartigkeit von 9/11 so erdrückend ist, daß dies für die meisten Leser eine Herausforderung für ihre emotionale und seelische Stärke sein wird." Die Regierungspropaganda und die ,,Press-tituierten Medien" haben das Denken der Menschen so fest im Griff, daß die meisten ernsthaft glauben, nur ,,Verschwörungs-Fanatiker" würden die offizielle 9/11-Regierungsgeschichte in Frage stellen. Tatsachen, Wissenschaften und Beweise zählen gar nichts mehr (ein mir Bekannter hat das am eigenen Leib erfahren!). Roberts zitiert einen Jura-Professor aus Chicago und Harvard, welcher sogar fordert, daß alle faktenbasierten Zweifler an der staatlichen Propaganda ausgeschaltet werden sollen!  

Von Gilbert K. Chesterton stammt der berühmte Satz: Wenn die Menschen aufhören an Gott zu glauben, so glauben sie nicht etwa an nichts, sondern an alles mögliche. Von den Millionen Menschen, die bei 9/11 zu den Wahrheitsverlierern gehören, sind also am schlimmsten die Katholiken dran, welche die Beweise dafür nicht sehen können oder wollen, daß 9/11 eine ,,Marke Eigenbau" ist (englisch ,,Inside Job", d.h. ein von den eigenen Leuten ausgeführtes Verbrechen). Diese Katholiken können oder wollen auch nicht das eigentlich religiöse Ausmaß des weltweiten Siegeszug einer solchen bewußtseinsverändernden Lüge wie 9/11 erkennen. Solche Katholiken mögen sehr aufpassen. Zu sagen, daß sie ihren Glauben zu verlieren drohen, mag vielleicht wie eine wilde Übertreibung klingen. Aber haben wir nicht das erschreckende Beispiel des Zweiten Vatikanum zeitlich gerade hinter uns? Warfen in den 1960er Jahren nicht viel zu viele Katholiken einen so wohlwollenden Blick auf die moderne Welt, daß sie schließlich glaubten, ihre Kirche sollte an diese Welt angeglichen werden? War nicht Vatikanum II das Ergebnis dieses Vorgangs? Und was hat Vatikanum II mit dem Glauben dieser Katholiken angestellt? 
 

Kyrie eleison

X Anniversario

Commenti eleison CCXX

Il decimo anniversario dell’11 settembre è venuto e se n’è andato con l’11 settembre, tre settimane fa. A quanto pare, nei media americani, per l’occasione, si è verificato un tale diluvio di sentimentalismo da far apparire le recenti piogge torrenziali sulla costa orientale come un acquazzone. Comunque, prima che diventi "antisemita" anche solo il sollevare la questione, chiediamoci, con un commentatore americano di indiscusse intelligenza e integrità, cosa sia stato in realtà questo evento.  

Il commentatore è il dottor Paul Craig Roberts, che diversi mesi fa aveva annunciato di volersi ritirare come scrittore, perché scoraggiato dalla mancanza di lettori interessati alla verità. Fortunatamente il suo ritiro non è durato a lungo. Egli è uno scrittore amante della verità e ce ne sono troppo pochi in giro. Il 12 settembre, su infowars.com, ha pubblicato un articolo dal titolo: "In America Respect for Truth is Dead". Come egli suggerisce, il dramma reale dell’11 settembre sta nella perdita della verità, sia su allora sia sui dieci anni successivi, non solo negli USA, ma in realtà in tutto il mondo.

Il dottor Roberts ha una formazione scientifica e come tale asserisce di essere rimasto del tutto convinto dalle prove scientifiche sull’11 settembre 2001 presentate in un convegno tenutosi alla Ryerson University di Toronto, in Canada, dall’8 all’11 settembre scorsi. Nel corso dei 4 giorni, eminenti scienziati, studiosi, architetti e ingegneri hanno presentato il frutto delle loro ricerche sugli eventi dell’11 settembre (i risultati sono forseancora accessibili su http://www.ustream.tv/channel/thetorontohearings). Roberts scrive che tali ricerche "provano che per l’edificio 7 del WTC si è trattato di una normale demolizione controllata e che le Torri Gemelle sono state abbattute da esplosivi e ordigni incendiari. Non v’è alcun dubbio su questo. Chiunque dichiara il contrario non ha alcuna base scientifica per sostenerlo. Coloro che credono nella versione ufficiale dimostrano di credere ad un miracolo che sfida le leggi della fisica."  

Roberts cita alcune delle tante prove scientifiche presentate in Canada, per esempio la recente scoperta di nano-termite nelle polveri prodotte dalla caduta delle Torri. Ma scrive che "la cattiveria cosi revelata è tantodirompente che per la maggior parte dei lettori si tratterà come di una sfida alla loro capacità emotiva e intellettiva". La propaganda governativa e i "Presstitute media" hanno una tale presa sulle menti, che la maggior parte delle persone crede seriamente che la versione governativa sia contrastata solo dalla "follia della cospirazione".  I fatti, la scienza, le prove non contano più niente (qualcuno che conosco ce n’è  rimasto male!). E ancora Roberts cita un docente di diritto di Harvard e di Chicago che propone perfino di far tacere tutti gli scettici nei confronti della propaganda governativa!  

G. K. Chesterton una volta disse che quando la gente smette di credere in Dio, non è vero che non crede più a niente; crede a tutto. Tra i molti milioni che hanno perso la verità sull’11 settembre, peggio di tutti sono messi i cattolici, che non possono o non vogliono vedere l’evidenza che l’11 settembre è una faccenda interna, che non possono o non vogliono vedere la dimensione veramente religiosa del trionfo mondiale di quella incredibile menzogna rappresentata dall’11 settembre. Che stiano attenti! Potrà sembrare una eccessiva esagerazione dire che rischiano di perdere la Fede, ma non c’è vicino a noi il terrificante esempio del Vaticano II? Non fu proprio negli anni ’60 che fin troppi cattolici dimostrarono di avere una così simpatetica visione del mondo moderno da pensare che la loro Chiesa avrebbe dovuto adattarsi ad esso? Non ne uscì il Vaticano II? E cosa causò esso alla loro Fede?

Kirie Eleison