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prowilliamson

2011-11

Solutions financieres / Soluciones financieras / Finanzlösungen / Solizioni Finanziarie

 Solutions financieres

Commaintaire Eleison CCXXVII

Nombreux sont les commentateurs de questions économiques qui actuellement écrivent ou disent que le système mondial financier est au bord de l’effondrement. Aucun d’eux n’est sûr de la date, mais un certain nombre d’entre eux annonce qu’il s’agira d’un effondrement majeur. Pourtant avant le déclenchement de la crise financière de 2008, peu de personnes la virent venir parce qu’ils menaient une vie confortable qui semblait solidement établie et qui semblait devoir durer toujours. Toutefois, si ces commentateurs ont raison, la situation échappera bientôt à tout contrôle.

Nous devrions tous nous demander ce qui n’a pas fonctionné et comment on pourrait redresser la situation. Ci-après une série de propositions pratiques qui a été adaptée d’un récent article sur le site internet Burning Platform (Plateforme en feu). On n’est pas obligé d’être d’accord avec chacune de ces propositions pour se mettre à envisager des alternatives à notre actuel système en chute libre. Il y a des propositions politiques et financières. Commençons par ces dernières:

* Nationaliser ces banques qui pour être «Trop grandes pour tomber» peuvent obliger l’Etat à venir à leur secours. Que leurs pertes retombent sur les gens responsables ou impliqués, et non sur les contribuables.
* Réinstaurer (aux USA) l’Acte Glass-Steagall pour empêcher les banques de jamais redevenir aussi grandes.
* Réinstaurer pour les règles de comptabilité la qualification du marché de telle sorte que les banques ne puissent plus prétendre que leurs actifs apparaissent beaucoup plus importants que ce qu’ils valent en réalité sur le marché.
* Régler le marché des dérivatifs de telle sorte que pareillement aucune entité financière ne puisse parvenir à être si grande qu’en cas de faillite elle menace de faire tomber tout le système (comme cela est arrivé aux Etats Unis avec AIG).
* Simplifier le système actuel si compliqué de l’impôt sur le revenu, ou le remplacer carrément par un impôt sur la consommation, et éliminer les exemptions d’impôt des grandes entreprises.

Remarquons comment de telles propositions peuvent être explicitement financières mais sont implicitement politiques, car pour être mises en pratique elles exigeraient un changement significatif dans la forme de penser politique de la société et particulièrement de ses chefs. La finance dépend de la politique. Voici les propositions plus évidemment politiques que l’on peut discuter, mais qui indiquent du moins la bonne direction:

* Pour combattre la corruption de politiciens trop confortables, imposer des limites à  leurs périodes législatives. Pour combattre la corruption dans les élections provoquée par les intérêts particuliers, empêcher l’action de tous les lobbies.
* Pour limiter le pouvoir de la banque centrale, lui enlever le contrôle de l’émission de la monnaie nationale.
* Réorganiser les bénéfices de la sécurité sociale, qui aujourd’hui sont en train de drainer à tel point les finances que demain plus personne ne pourra en profiter.       
* Remettre en valeur le renoncement pour que les gens acceptent un niveau de vie plus modeste. Au lieu de mener la société à la ruine en dépensant, qu’ils la reconstruisent en épargnant.
* Faire ce qui est possible pour remplacer la croissance suburbaine déchainée, par des communautés qui puissent se suffire davantage à elles-mêmes.
* Renoncer à l’empire mondial de façon à réduire les énormes frais militaires des Etats Unis, par exemple en rapatriant de leurs bases dans le monde entier plusieurs milliers de soldats.

Encore une fois, pour que de telles propositions puissent être mises en pratique, elles exigent un changement important dans la façon de penser des gens, en particulier des chefs. Les décisions politiques dépendent de ce qui est le plus apprécié par les gens. Pourquoi sommes-nous ici-bas sur terre ? Pour jouir de cette vie, ou pour être vraiment heureux dans l’éternité?  Y va-t-il là  d’alternatives mutuellement exclusives ?  Y-a-t’il une éternité ?  Ainsi la politique dépend de la religion, ou du défaut de religion. Aujourd’hui est-ce que même un krach financier ramènera certains au bon sens?

Kyrie eleison

 Soluciones financieras

Comentario Eleison CCXXVII

Numerosos comentaristas de cuestiones económicas están actualmente escribiendo o diciendo que el sistema financiero mundial está al borde del colapso. Ninguno de ellos está seguro del cuando, pero muchos de ellos predicen que va a ser un colapso mayor. Sin embargo, antes de la embestida de la crisis financiera en el 2008, pocas personas la vieron venir porque casi todas estaban muy cómodas en un modo de vida que parecía bien establecido y progresando por siempre. De cualquier modo, si estos comentaristas están en lo cierto, el sistema financiero  está por salirse de su eje.

Todos nosotros deberíamos estar pensando que es lo que anduvo mal y como remediarlo. Aquí abajo hay una serie de propuestas prácticas adaptadas de un artículo reciente en el sitio web Burning Platform (Plataforma en fuego). Uno no necesita estar de acuerdo con cada una de ellas para empezar a visualizar alternativas para nuestro presente sistema quebrado. Hay propuestas políticas y financieras. Empecemos por las últimas:
* Nacionalizar aquellos bancos que por ser “Demasiado grandes para fracasar” pueden obligar al Estado a ir en su rescate. Dejar que todas las pérdidas subsiguientes caigan en los responsables o involucrados, no en los contribuyentes.
* Re-instituir (en Estados Unidos) el Acta Glass-Steagall para impedir que los bancos se vuelvan otra vez tan grandes.
* Re-instituir para las reglas de contabilidad la calificación  del mercado, de manera que los bancos no puedan mas pretender que sus activos valgan mucho mas de lo que en realidad  valen en el mercado.
* Regular el mercado de derivativos de manera tal que asimismo ninguna entidad financiera pueda llegar a ser tan grande como para  amenazar con hacer caer  todo el sistema si quiebra (como pasó en Estados Unidos con AIG).
* Simplificar el presente sistema altamente engorroso de impuestos a la renta personal, o reemplazarlo por completo con un impuesto al consumidor, y eliminar las exenciones impositivas corporativas.
Nótese como tales propuestas pueden ser explícitamente financieras, pero son implícitamente políticas, porque para ponerlas en práctica precisarían un cambio significativo en la forma de pensar política de las personas y especialmente de los líderes. La finanza depende de la política.Aquí están las propuestas mas obviamente políticas, que pueden ser puestas en discusión pero al menos apuntan en la dirección correcta:
* Para combatir la corrupción de los políticos demasiado cómodos, imponer límites a sus períodos legislativos. Para combatir la corrupción en las elecciones originada por intereses especiales, suprimir todos los lobbies.
* Para cortar el poder del banco central, quitarle el control del suministro de dinero a la nación.
* Re-organizar los beneficios de la obra social estatal, que hoy en día están drenando tanto las finanzas que mañana no podrán beneficiar a nadie.
* Re-educar  a la gente para que valoren el espíritu de renuncia y acepten  un nivel de vida mas modesto, de manera que en lugar de llevar la sociedad a la destrucción por sus gastos, la construyan por su ahorro.
* Hacer lo que se pueda para reemplazar el crecimiento suburbano de las villas miseria por comunidades mas autosuficientes.
* Renunciar al imperio mundial de manera a cortar los enormes gastos militares de los Estados Unidos, por ejemplo trayendo de vuelta miles de tropas de sus bases en todo el mundo.
Aquí nuevamente, para que tales propuestas puedan ser puestas en práctica, ellas requieren grandes cambios en la forma de pensar de la gente, especialmente en la de los líderes. Las decisiones políticas dependen de lo que la gente valora mas, comparativa o absolutamente. ¿Porqué estamos vivos? ¿Para disfrutar en la tierra o para ser verdaderamente felices en la eternidad ?  ¿Uno excluye al otro ?  ¿Existe aún una eternidad ?  Asi, la política depende de la religión, o de la carencia de ella.  ¿Será que hoy aún un estallido financiero pueda llevar a algunos a lo que es razonable?
Kyrie eleison

 Finanzlösungen 

Eleison kommentare CCXXVII

Eine ganze Reihe von Wirtschaftskommentatoren schreiben und sagen derzeit, daß das Weltfinanzsystem kurz vor dem Zusammenbruch steht. Zwar kennt keiner von ihnen den genauen Zeitpunkt, aber viele dieser Kommentatoren erwarten einen großen Zusammenbruch. Vor dem Ausbruch der Finanzkrise im Jahre 2008 sahen allerdings nur sehr wenige Menschen diese kommen, weil die meisten sich mit einer Lebensart eingerichtet hatten, welche bewährt zu sein und immer weiterzugehen schien. Wenn jedoch die genannten Kommentatoren recht haben, so wird diese Lebensart nun aus ihren Angeln gehoben.    

Wir alle sollten darüber nachdenken, was schiefgelaufen ist und wie es richtig gemacht werden kann. Es folgen einige praktischen Ratschläge aus einem kürzlich auf der Internet-Seite „Burning Platform“ („Brennende Plattform“) erschienenen Artikel. Man muß nicht mit jedem Punkt des Artikels übereinstimmen, um nach Alternativen zu unserem heutigen zerrütteten System zu suchen. Die Vorschläge sind politischer und finanzieller Natur. Beginnen wir mit den letztgenannten :

* Verstaatlichung jener Banken, welche „zu groß sind, um unterzugehen“ („toobigtofail“) und somit den Staat erpressen können. Übertragung aller damit verbundenen Verluste auf jene Personen, welche für diese Bank verantwortlich oder an ihr beteiligt sind, anstatt auf die Steuerzahler.
* Wiedereinsetzung des US-amerikanischen „Glass-Steagall“-Gesetzes, welches Banken daran hindern würde, jemals wieder so groß zu werden.
* Wiedereinsetzung von Buchhaltungsrichtlinien für Neubewertungen, damit die Banken nicht mehr vorgeben können, ihre Vermögenswerte seien viel mehr wert, als sie auf dem Markt tatsächlich wert sind.
* Regulierung des Derivaten-Marktes, um beispielsweise zu große Finanzunternehmen zu verhindern, welche bei ihrem Bankrott das gesamte System mitzureißen drohen (was  beispielsweise im Falle des US-amerikanischen Versicherungskonzern AIG für „AmericanInternationalGroup“ geschah).
* Vereinfachung des derzeit sehr schwerfälligen Einkommensteuergesetzes oder gleich Ersetzung durch eine Verbrauchersteuer, und Abschaffung von Körperschafts-Steuererleichterungen.

Solche Vorschläge betreffen zwar ausdrücklich das Geldwesen, sind aber auch politischer Natur, weil ihre Realisierung eine entscheidendes politisches Umdenken der Menschen und besonders ihrer Führer voraussetzt. Die Geldwirtschaft hängt von der Politik ab. Es folgen die deutlicher politischen Vorschläge. Diese sind zwar diskussionswürdig, zeigen aber wenigstens in die richtige Richtung:

* Einführung von Amtszeitbeschränkungen zur Bekämpfung von Korruption bei allzu bequemen Politikern. Entfernung aller organisierten Interessengruppen (englisch:Lobbies) und ihrer Vertreter, zur Bekämpfung der durch Spezialinteressen korrumpierten Wahlen.
* Übertragung der Geldkontrolle an den Staat, um die Macht der Zentralbanken zu beschneiden.
* Neugestaltung der staatlichen Sozialhilfe, weil diese heute dermaßen die Staatskassen leert, daß sie morgen überhaupt niemandem mehr wird helfen können.
* Unterrichtung der Menschen dahingehend, daß sie einen weniger hohen „Lebensstandard“ akzeptieren und somit nicht mehr länger durch ihre Verschwendung die Gesellschaft ruinieren, sondern sie im Gegenteil durch ihr Sparen aufbauen.
* Größtmögliche Ersetzung der Zersiedelung durch selbstversorgende Gemeinden.
* Verzicht auf ein Weltreich (im Falle der USA) und dadurch Verringerung der immensen Militärausgaben, beispielsweise durch Zurückholen von tausenden von Truppen überall auf der Welt.

Auch hier gilt: Um solche Vorschläge in die Praxis umsetzen zu können, muß eine große Veränderung im Denken der Menschen und vor allem ihrer Führer vorausgehen. Politische Entscheidungen hängen immer davon ab, was den Menschen wichtiger oder am wichtigsten ist. Warum leben wir eigentlich? Um die Welt zu genießen, oder um auf ewig wirklich glücklich zu sein?  Ist das überhaupt eine Entweder-Oder-Frage?  Gibt es denn eine Ewigkeit?  Solche Fragen zeigen, daß die Politik von der Religion bzw. vom Abschaffen der Religion abhängt. Wird aber heutzutage selbst ein finanzieller Totalzusammenbruch noch jemanden zur Vernunft bringen können?

 Kirie Eleison

 

Soluzione finanziarie

Commentario Eleison CCXXVII

Numerosi commentatori di questioni economiche oggi scrivono o dicono che il sistema finanziario del mondo è sull’orlo del collasso. Nessuno di loro è certo sul tempo, ma molti di loro prevedono che si tratterà di un collasso pesante. Prima dell’inizio della crisi finanziaria del 2008, poche persone la presagivano, perché conducevano confortevolmente un tenore di vita che sembrava ben consolidato e destinato a durare per sempre. Tuttavia, se questi commentatori hanno ragione, esso sta per scardinarsi.

Tutti noi dovremmo riflettere su cosa è andato storto e su come si possa raddrizzarlo. Qui di seguito vi è una serie di proposte pratiche, adattate sulla scorta di un recente articolo pubblicato sul sito Burning Platform. Non è necessario concordare con ognuna di esse per considerare delle alternative al nostro attuale sistema ormai sfasciato. Si tratta di proposte politiche e finanziarie. Incominciamo con le seconde:

* Nazionalizzare quelle banche che per essere “troppo grandi per fallire” possono tenere in ostaggio lo Stato. Si lasci che le perdite ricadano sui responsabili o su chi è coinvolto, non sui contribuenti.
* Ripristinare (negli USA) il Glass-Steagall Act per impedire che in futuro le banche possano nuovamente divenire così grandi.
* Ripristinare dei limiti nelle regole contabili di mercato, così che le banche non possano più pretendere che i loro beni valgano molto di più del loro valore di mercato.
* Regolamentare il mercato dei derivati così che parimenti nessuna entità finanziaria possa diventare talmente grande da minacciare il crollo dell’intero sistema, nel momento in cui fallisce (come accaduto negli USA con l’AIG).
* Semplificare l’attuale sistema altamente farraginoso delle imposte sul reddito o sostituirlo interamente con un’imposta sui consumi, ed eliminare le agevolazioni fiscali alle imprese.

Si noti come tali proposte siano esplicitamente finanziarie, ma al tempo stesso implicitamente politiche, perché per essere attuate è necessario un significativo cambiamento del modo di pensare della gente e specialmente dei dirigenti. La finanza dipende dalla politica. Ecco quindi le proposte politiche più ovvie, passibili di discussione, ma che indicano almeno la giusta direzione:

* Combattere la corruzione dei fin troppo benestanti politici, imponendo dei limiti di mandato. Combattere la corruzione delle elezioni mossa da interessi particolari, abolendo tutte le lobby e i lobbisti.
* Limitare il potere della banca centrale, togliendole il controllo della moneta nazionale. 
* Riorganizzare le prestazioni sociali degli Stati, alle cui finanze esse attingono così tanto che domani non saranno più in grado di aiutare nessuno.
* Rieducare la gente a limitarsi e ad accettare un tenore di vita più basso, così che invece di spendere a scapito della società contribuiscano ad edificarla col risparmio.
* Fare il possibile per rimpiazzare le caotiche periferie con dei quartieri più autosufficienti.
* Rinunciare all’impero mondiale così da tagliare le enormi spese militari degli Stati Uniti, per esempio riportando a casa le migliaia di truppe presenti nelle basi sparse nel mondo.

Anche qui, per attuare tali proposte sono necessari grandi cambiamenti nel modo di pensare della gente e specialmente dei dirigenti. Le decisioni politiche si basano su ciò che ha valore per la gente. Perché siamo vivi? Per godere sulla terra o per essere veramente felici nell’eternità? È questa una domanda aut-aut? C’è un’eternità? In effetti, la politica dipende dalla religione o dalla mancanza di essa. Un crollo finanziario sarà in grado oggi di riportare qualcuno al buonsenso?

Kirie Eleison

Tuteurs de tomates II / Tutores de tomate II / Tomaten-Stangen II / Il pomodoro e il palo

 Tuteurs de tomates II

Commaintaire Eleison CCXXVI

Quand le Commentaire Eleison a cité (Eleison CCXVII) le proverbe Russe qui compare la femme et l’homme à un plant de tomates et au tuteur autour duquel ce plant s’appuie pour grimper et porter ses fruits, il a profité de la comparaison pour exposer la nature et le rôle de la femme. Une lectrice a demandé alors comment cela s’applique aux hommes.  Hélas! -- notre époque folle s’acharne a effacer tous ces traits fondamentaux de la nature humaine.

Au sujet du dessein de Dieu sur l’homme et la femme, profondément différents mais merveilleusement complémentaires, il y a bien sûr beaucoup plus à dire que ce que peut exprimer une simple comparaison tirée du potager. Dans toute Messe catholique de mariage, l’Epître compare les relations entre époux et épouse à celles du Christ et de l’Eglise. Remarquons dans ce passage (Ephésiens V, 22-23) la façon dont Saint Paul expose longuement les devoirs qui s’ensuivent pour l’époux, et brièvement ceux de l’épouse. On peut d’ores et déjà se douter que les hommes d’aujourd’hui sont en grande partie responsables des relations faussées entre l’homme et la femme contemporains. Mais laissons le mystère surnaturel pour une autre occasion, et revenons au potager, car ce sont avant tout ces fondements naturels qui sont attaqués aujourd’hui par les ennemis de Dieu et de l’homme.

Pour qu’un tuteur serve au plant de tomates deux choses sont nécessaires: il doit se maintenir droit et il doit se maintenir ferme. S’il ne se maintient droit le plant ne peut grimper, et s’il ne se maintient ferme, le plant ne peut tourner autour du tuteur pour grimper. La fermeté, peut-on dire, dépend de ce que l’homme tourne autour de son travail, tandis que sa droiture dépend de ce qu’il s’élève vers Dieu, rien de moins.

Quant à la fermeté, tant que la nature humaine n’a pas été tordue au point de n’être plus reconnaissable, partout et toujours la vie de l’homme tourne autour de son travail tandis que la vie de la femme tourne autour de sa famille, en commençant par son mari. Si l’homme fait de la femme le centre de sa vie, c’est comme si deux plants de tomates s’appuieraient l’un sur l’autre – les deux finiraient dans la boue, à moins que la femme ne prenne sur elle le rôle de l’homme, chose pour laquelle elle ne fut point faite et qu’elle doit s’évertuer à ne pas avoir à faire. Une femme sage choisit précisément un homme qui a déjà trouvé son travail et l’aime, de sorte qu’elle puisse se centrer sur lui comme lui s’est centré sur son travail.

Quant à la droiture, de même que le tuteur doit monter droit, de même un homme doit être dirigé vers le Ciel. Les chefs doivent avoir une vision qui leur permette d’inspirer et de diriger. Mgr. Lefebvre avait une vision de la restauration de la véritable Eglise. De même lorsque le Cardinal Pie (1815-1880) observa tout autour de lui un manque d’hommes au XIXème siècle, sa foi l’attribua au manque de foi. Où il n’y a pas de foi, dit-il, il n’y a pas de convictions. Sans convictions il n’y a pas de fermeté de caractère. Sans fermeté de caractère il n’y a pas d’hommes. La pensée de Saint Paul est semblable lorsqu’il dit: “La tête de tout homme est le Christ, et la tête de la femme est l’homme, et la tête du Christ est Dieu” (I Cor. XI,3). Par conséquent pour retrouver son caractère de chef, que l’homme se tourne vers Dieu et se subordonne à lui, et il sera d’autant plus facile pour une épouse de se subordonner à son mari, et pour les enfants de se subordonner aux deux.

Mais cette subordination ne doit pas s’entendre comme permettant une sorte de tyrannie, soit de l’époux sur l’épouse, soit des parents sur les enfants. Le tuteur est là pour le plant de tomates. Ce fut un sage Jésuite qui dit que le mieux qu’un homme puisse faire pour ses enfants c’est d’aimer leur mère. Ne dépendant pas de l’amour pour fonctionner comme en dépendent les femmes, les hommes peuvent facilement ne pas comprendre le besoin qu’elles ont d’aimer et d’être aimées. De fait, une petite cuillerée d’affection, et elle est bonne pour cent kilomètres encore !  Le Saint Esprit le dit d’une façon plus élégante: “Maris, aimez vos épouses, et ne soyez pas amers envers elles” (Col.III,19).

Kyrie eleison

Tutores de tomates II 

Comentario Eleison CCXXVI

Cuando el “Comentario Eleison” citó ( Eleison CCXVII) el proverbio Ruso asemejando la mujer y el hombre a una planta de tomate y al tutor alrededor del cual esa planta se apoya y trepa para llevar frutos, usó la comparación para exponer la naturaleza y el papel de la mujer. Una lectora preguntó entonces como se aplica ello a los hombres. ¡Ay! nuestra época loca está tratando de borrar todas estos fundamentos de la naturaleza humana.

Acerca del designio de Dios para el hombre y la mujer, profundamente diferentes pero sublimemente complementarios, hay por supuesto mucho mas para decir de lo que una mera comparación con la huerta puede decir. En cada Misa Católica de esponsales la Epístola compara las relaciones entre esposo y esposa a aquellas entre Cristo y su Iglesia. Digno de mención en este pasaje (Efesios V, 22-33) es como San Pablo delinea extensamente los deberes consiguientes del esposo y brevemente aquellos de la esposa. Podemos ya sospechar que los hombres de hoy día son en gran parte responsables por la pérdida de cordura entre el hombre y la mujer contemporáneos, pero dejemos el misterio sobrenatural para otra ocasión y retornemos a la huerta, porque por encima de todo, los fundamentos naturales son los que están siendo atacados hoy por los enemigos de Dios y del hombre.

Para que un tutor de tomate sirva a la planta de tomate precisa dos cosas: debe mantenerse elevado y debe mantenerse firme. Si no se mantiene elevado la planta no puede trepar, y si no se mantiene firme la planta no puede apoyarse o enrollarse alrededor del tutor. La firmeza, uno puede decir, depende del hombre enrollándose alrededor de su trabajo, mientras que la estatura depende de que alcance a Dios, nada menos.

En cuanto a la firmeza, en todos los tiempos y lugares donde la naturaleza humana no ha sido retorcida fuera de todo reconocimiento, la vida del hombre gira alrededor de su trabajo mientras que la vida de la mujer gira alrededor de su familia, comenzando por su hombre. Si el hombre hace de la mujer el centro de su vida, es como si dos plantas de tomate se apoyaran entre sí – ambas terminarán en el barro a no ser que la mujer tome el papel del hombre, para el cual no fue hecha y que, al menos, ella nunca debería desear hacer. Una mujer sabia elige por marido precisamente a un hombre que ya ha encontrado su trabajo y lo ama, de manera que mientras él está firmemente enrollado alrededor del mismo, ella puede enrollarse alededor de él.

En cuanto a la estatura, asi como el tutor debe apuntar al cielo, asi un hombre debe estar dirigido hacia el Cielo. Los líderes precisan de una visión con la cual inspirar y dirigir. El Arzobispo Lefebvre tenía una visión de la restauración de la Iglesia verdadera. Del mismo modo cuando la fe del Cardenal Pie (1815-1880) vió todo alrededor de él falta de hombría en los hombres del siglo XIX, lo atribuyó a la falta de fe en ellos. Donde no hay fe, dijo, no hay convicciones. Sin convicciones no hay firmeza de carácter. Sin firmeza de carácter, no hay hombres. San Pablo estaba pensando en lo mismo cuando dijo: “La cabeza de todo varón es Cristo, y el varón, cabeza de la mujer, y Dios, cabeza de Cristo” (I Cor.XI,3). Por consiguiente para recobrar su hombría, vuélvase el hombre a Dios ordenándose por debajo de El, y será así mucho mas fácil para una esposa ordenarse por debajo de su hombre, y para los niños por debajo de ambos.

Pero “debajo” no debe entenderse como una especie de tiranía, sea del esposo sobre la esposa o de los padres sobre los niños. El tutor está alli para la planta de tomate. Fue un sabio Jesuita que dijo que lo mejor que un hombre pueda hacer por sus niños es amar a la madre de ellos. Los hombres no amor como lo hacen las mujeres, asi es que fácilmente pueden dejar de entender como las mujeres necesitan amar y ser amadas. Una cucharita de afecto, y ella puede andar otros cien kilometros !  El Espíritu Santo lo dice mas elegantemente: “Maridos, amad a vuestras mujeres, y no las tratéis con aspereza” (Col.III,19).

Kyrie eleison

Tomaten-Stangen II

Eleison kommentare CCXXVI

Der „Eleison Kommentar“ (Eleison CCXVII) zitierte ein russisches Sprichwort, wonach Mann und Frau einer Tomatenstange und einer Tomatenpflanze gleichen. In dem Sprichwort schmiegt die Tomate sich um die Stange, klettert an ihr hoch und bringt dann Früchte. Der „Eleison Kommentar“ nutzte diesen Vergleich zur Darlegung der Natur und Rolle der Frau. Nun fragte eine Leserin, wie es wohl um den Mann bestellt sei. Leider versucht unser verrücktes Zeitalter, alle diese Grundlagen der menschlichen Natur abzuschaffen.

Natürlich gibt es über Gottes Plan von Mann und Weib – welche zwar völlig unterschiedlich sind, aber auf erhabene Weise sich ergänzen – wesentlich mehr zu sagen als ein bloßer Vergleich aus dem Garten dies könnte. In einer jeden katholischen Hochzeitsmesse wird in der Lesung die Beziehung zwischen Ehemann und Eheweib mit der Beziehung zwischen Jesus Christus und seiner Kirche verglichen (Epheser, 5,22-33). An dieser Stelle aus der Hl. Schrift ist besonders bemerkenswert, daß der Hl. Paulus die aus dem Vergleich folgenden Pflichten des Mannes ausführlich, und jene des Eheweibes nur kurz darlegt. Deswegen dürfen wir bereits vermuten, daß die modernen Männer in hohem Maße verantwortlich sind für das ungesunde Verhältnis von Mann und Frau in der Gegenwart. Doch wollen wir das übernatürliche Geheimnis bei einer späteren Gelegenheit behandeln. Kommen wir nun zurück zum Garten, denn die Feinde Gottes und des Menschen greifen heute vor allem die natürlichen Grundlagen an.

Damit die Tomatenstange der Tomatenpflanze dienen kann, muß die Stange zwei Eigenschaften besitzen: sie muß aufrecht nach oben ragen und fest verankert sein. Wenn die Stange nicht nach oben ragt, so kann die Tomatenpflanze nicht an ihr hochklettern. Und wenn die Stange nicht fest dasteht, so kann die Pflanze sich nicht an sie klammern und um sie wickeln. Wir können dies folgendermaßen übertragen: Die Stangenfestigkeit hängt davon ab, wie fest der Mann sich seiner Arbeit widmet, und die Stangenhöhe hängt von nichts geringerem ab als von der Ausrichtung des Mannes auf Gott.

Untersuchen wir zuerst die erwähnte Festigkeit: Zu allen Zeiten und an allen Orten, an denen die menschliche Natur nicht bis zur Unkenntlichkeit verstümmelt wurde, dreht sich das Leben des Mannes um seine Arbeit, während das Leben der Frau sich um ihre Familie, beginnend mit dem Mann, dreht. Wenn der Mann seine Frau zum Mittelpunkt seines Lebens macht, gleicht diese Situation zwei Tomatenpflanzen, welche sich gegenseitig aneinanderklammern. Im Ergebnis werden beide Pflanzen im Schlamm landen – es sei denn, die Frau übernimmt die Rolle des Mannes; wofür sie jedoch nie geschaffen wurde und was sie wenigstens auch nicht sich wünschen sollte. Eine kluge Frau wählt als ihren Ehemann einen aus, welcher seine Arbeit gefunden hat und diese liebt. Während also der Ehemann sich fest um seine Arbeit wickelt, kann die Frau sich um ihren Mann wickeln.

Betrachten wir sodann die Höhe: So wie die Tomatenstange in den Himmel ragen soll, so muß auch der Mann nach dem Himmel greifen. Führer brauchen eine Vision, mit welcher sie anregen und führen können. Erzbischof Lefebvre hatte die Vision von der Wiederherstellung der wahren Kirche. Kardinal Pie (1815 - 1880) entdeckte in den Männern des 19. Jahrhunderts weitgehend Unmännlichkeit und führte dieses Problem auf ihren Glaubensmangel zurück. Wo es keinen Glauben gibt, sagte er, dort gibt es auch keine Überzeugungen. Ohne Überzeugungen gibt es wiederum keine Charakterfestigkeit. Und ohne Charakterfestigkeit gibt es schließlich keine Männer. Der Gedankengang des Hl. Paulus war ähnlich, als er sagte: „Das Haupt eines jeden Mannes ist Christus; das Haupt des Weibes ist der Mann; und das Haupt Christi ist Gott.“ (1. Korintherbrief 11,3). Damit also der Mann seine Männlichkeit zurückgewinnt, soll er sich an Gott ausrichten und Ihm unterordnen. Dann wird es der Ehefrau umso leichter fallen, ihrem Manne sich unterzuordnen, und den Kindern, den Eltern sich unterzuordnen.

Allerdings führt die richtige Unterordnung zu keinerlei Tyrannei – weder zu einer Tyrannei des Ehemannes über seine Frau, noch zu einer Tyrannei der Eltern über ihre Kinder. Vielmehr ist die Stange für die Tomate da. Ein weiser Jesuit sagte einmal: Das allerbeste, was ein Mann für seine Kinder tun kann, ist, ihre Mutter zu lieben. Weil die Männer allerdings nicht in dem Maße wie die Frauen von der Liebe abhängen, können Männer leicht vergessen, daß Frauen lieben und geliebt werden müssen. Schon ein Teelöffelchen voller Zuneigung genügt, damit die Frau weitere 100 Kilometer läuft. Der Heilige Geist drückt es etwas eleganter aus: „Ihr Männer, liebt Eure Weiber und seid nicht bitter gegen sie!“ (Kolosserbrief 3,19).

 Kirie Eleison

 

Il pomodoro e il palo II

Commentario Eleison CCXXVI

Quando “Commenti Eleison” ha citato (Eleison CCXVII) il proverbio russo che paragona la donna e l’uomo ad una pianta di pomodoro che si aggrappa e arrampica su un palo per fruttificare, il paragone serviva a indicare la natura e il ruolo della donna. Una lettrice chiede come questo si applichi agli uomini. Ahimè, la nostra pazza epoca sta provando a spazzare via tutti questi elementi basilari della natura umana.

Ovviamente, sul disegno di Dio circa l’uomo e la donna, profondamente diversi, ma sublimemente complementari, c’è da dire molto di più della semplice comparazione botanica. Nella Messa cattolica per il matrimonio, l’Epistola paragona le relazioni fra marito e moglie a quelle fra Cristo e la Sua Chiesa. Degno di nota in questo passo (Efesini V, 22-33) è come San Paolo si dilunghi sui doveri del marito e parli solo brevemente di quelli della moglie. Subito si può intravedere come gli uomini odierni siano in gran parte responsabili della perdita del buonsenso fra l’uomo e la donna contemporanei. Ma lasciamo il mistero soprannaturale per un’altra occasione e ritorniamo all’orto, perché sono soprattutto i fondamenti naturali ad essere attaccati oggi dai nemici di Dio e dell’uomo.

Perché un palo possa servire ad una pianta di pomodoro, abbisognano due cose: esso deve rimanere diritto e mantenersi stabile. Se non rimane diritto, la pianta non può arrampicarsi, e se non è stabile, la pianta non può aggrapparsi o avvolgersi intorno ad esso. Possiamo dire che la stabilità dipende da come un uomo è legato al suo lavoro, mentre il rimanere diritto dipende dal suo ergersi verso Dio, nulla di meno.

Per quanto riguarda la stabilità, in ogni tempo e luogo ove la natura umana non fosse stata stravolta, la vita dell’uomo si è mossa attorno al suo lavoro, mentre quella della donna si è svolta attorno alla sua famiglia, a partire dal suo uomo. Se l’uomo fa della donna il centro della sua vita è come se due piante di pomodoro si aggrappassero l’una all’altra – entrambe finirebbero nel fango, a meno che la donna non faccia la parte dell’uomo, cosa per la quale non fu fatta e che deve fare di tutto per evitarla. Una donna saggia sceglie per marito un uomo che ha trovato il suo lavoro e che lo ama, di modo che mentre egli è saldamente ancorato ad esso, lei potrà aggrapparsi a lui.

Riguardo al rimanere diritto, come il palo deve puntare al cielo, così l’uomo deve ergersi verso il Cielo. I capi abbisognano di una visione per ispirare e guidare gli altri. La visione di Mons. Lefebvre fu la restaurazione della vera Chiesa. Similmente, quando la fede del Cardinale Pie (1815-1880) colse intorno a lui la viltà degli uomini del XIX secolo, egli l’attribuì alla loro mancanza di fede. Dove non c’è fede, egli disse, non ci sono convinzioni. E senza convinzioni non v’è fermezza di carattere, e senza fermezza di carattere non vi sono uomini. San Paolo la pensava allo stesso modo quando diceva: “di ogni uomo il capo è Cristo, e capo della donna è l’uomo, e capo di Cristo è Dio” (I Cor. XI, 3). Quindi, per recuperare la sua virilità, l’uomo deve tornare a Dio, deve sottostare a Lui, cosa che renderà più facile per la moglie sottostare al proprio uomo e per i figli sottostare ad entrambi.

Ma il “sottostare” non dev’essere inteso come una sorta di tirannia o del marito sulla moglie o dei genitori sui figli. Il palo è lì per il pomodoro. Un saggio gesuita disse che la cosa migliore che un uomo possa fare per i suoi figli è amare la loro madre. Gli uomini non sono mossi dall’amore come le donne, così che facilmente possono non capire come le donne abbiano bisogno di amare e di essere amate. Basta loro un po’ di affetto per andare molto avanti. Lo Spirito Santo lo dice in modo più elegante: “Voi, mariti, amate le vostre mogli e non inaspritevi con esse” (Col. III, 19).

Kirie Eleison

Theories de la conspiration / Teorías de la conspiración / Verschwörungstheorien / Teorie di conspirazioni

Theories de la conspiration

Commaintaire Eleison CCXXV

A la suite du récent «Commentaire Eleison» sur le déicide (CE 222), certains lecteurs pourraient s’attendre a ce que le « Commentaire Eleison » fasse souvent mention du rôle des Juifs dans les affaires du monde, mais ils risqueraient d’être déçus. Dans les 225 numéros déjà publiés, je crois que tout au plus une petite dizaine de numéros ait fait mention explicite des Juifs. Car quelque soit le problème qu’ils peuvent ou ne peuvent pas représenter, ils ne sont certainement pas le problème principal. Le principal problème, c’est cet athéisme de l’homme moderne qui est aussi la préoccupation centrale du  «Commentaire Eleison», comme j’espère que ses lecteurs le constatent.

Les théories du complot comme celle des Juifs conspirant pour dominer le monde, sont courantes, mais il y a deux exagérations entre lesquelles il est sage, mais pas toujours facile, de garder le juste équilibre.  Suivant les media la plupart de gens estiment que toutes les théories du complot sont des bêtises, et que seules les «maniaques du complot» y croient. D’autre part une petite minorité, mais aux fortes convictions, soutient que tous les événements du monde doivent leur explication à l’une ou l’autre conspiration, en particulier à une conspiration juive. C’est un écrivain célèbre de l’Eglise d’il y a 1800 ans qui a le mieux dit la vérité essentielle là-dessus.

Tertullien (160-220) a dit que la Foi catholique et le pouvoir juif sont comme les deux plateaux d’une balance: dans la mesure où la Foi catholique augmente, dans la même mesure le pouvoir juif diminue, et quand la Foi catholique baisse, le pouvoir juif monte. Mais la Foi est au-dessus du pouvoir. C’est pourquoi le problème principal n’est pas les Juifs, mais la montée ou la baisse de la Foi chez les hommes. Et c’est pourquoi il y a pour de vrai des conspirations, elles jouent un rôle important et elles ne doivent pas être sous-estimées, mais le problème central réside dans l’homme qui se détourne du vrai Dieu et de son unique véritable Eglise. En bref – et c’est le point crucial -- les Gentils ne doivent s’en prendre qu’à eux-mêmes si le pouvoir juif est si écrasant aujourd’hui.

Par conséquent, s’il y a des gens qui commencent à se rendre compte de ce que Disraeli et Woodrow Wilson insinuaient clairement sans pouvoir le dire trop ouvertement, à savoir qu’il y a un pouvoir occulte qui dirige les événements du monde, qu’ils ne perdent pas la tête en accusant comme si ce sont les seuls coupables les Illuminati, ou les Juifs, ou les Francs-Maçons, ou qui que ce soit, mais qu’ils comprennent la sagesse de cette parole de Saint Pie X: «Que chaque homme fasse son devoir, et tout ira bien». En effet notre premier devoir est envers Dieu, ainsi que l’indique le Premier Commandement,  en sorte que si nous faisions tous notre premier devoir en nous tournant vers Dieu, il serait pour Lui un simple jeu d’enfants de défaire l’actuel pouvoir de ses divers ennemis qu’Il a Lui-même permis, en n’intervenant pas pour l’empêcher.

Ainsi avant l’intervention de Notre Dame à Fatima en 1917, les ennemis de l’Eglise s’étaient complètement emparés du gouvernement du Portugal, mais quand pratiquement tout le peuple Portugais se mit à prier et faire pénitence ainsi que Notre Dame l’avait demandé, alors Elle a simplement dissous le pouvoir des ennemis de l’Eglise par une révolution sans effusion de sang. Le Portugal devint, pour une grande partie de ce 20ème siècle qui chassait Dieu et dans lequel le Communisme triomphait partout, la vitrine d’un Etat catholique.

Les plus intelligents parmi les ennemis de Dieu se rendent bien compte qu’ils Lui servent de fléau pour flageller son peuple infidèle. Si seulement les amis de Dieu comprenaient qu’ils sont opprimés par ses ennemis pour les aider à revenir vers Lui et ainsi parvenir au Ciel, alors les théories du complot s’estimeraient à leur juste valeur: ni plus, ni moins importantes qu’elles ne le sont en réalité.

Kyrie eleison..


Teorías de la conspiración

Comentario Eleison CCXXV

Después del reciente “Comentario Eleison” sobre el deicidio (EC 222), algunos lectores podrían esperar que el “Comentario Eleison” haga a menudo mención del  papel que juegan los Judíos en los asuntos del mundo, pero corren el riesgo de desilusionarse. En 225 números que ya fueron publicados, no creo que los Judíos hayan sido mencionados como tales en mucho mas de media docena de números. Porque cualquiera que sea el problema que ellos pueden o no pueden representar, ciertamente no son el problema primario. El problema primario es el ateísmo del hombre moderno, eso es la preocupación central de “Comentario Eleison” y es, espero, lo que la mayoría de los lectores encuentran.

En lo que se refiere a las teorías de las conspiraciones como la de los Judíos conspirando para dominar el mundo, hay dos exageraciones entre las cuales es sabio pero no siempre fácil conservar el equilibrio justo. La mayoría de la gente sigue a los medios de comunicación sosteniendo que todas las teorías conspiracionistas son tonterías y que los únicos que creen en ellas son los “chiflados de la conspiración”. Por otra parte una pequeña minoría de gente, pero con convicciones fuertes, sostienen que todos los eventos del mundo deben ser explicados por una u otra conspiración, especialmente una conspiración Judía. La verdad esencial fue dicha de la mejor manera por un famoso escritor de la Iglesia hace 1800 años.

Tertuliano (160-220) dijo que la Fe Católica y el poder Judío son como los dos platillos de una balanza: en la medida que la Fe Católica sube, en la misma medida el poder Judío baja, y tanto como la Fe Católica baja, tanto el poder Judío sube. Pero la Fe está sobre el poder. Es por eso que el problema primario no son los Judíos, sino el aumento o la disminución de la Fe entre los hombres. Es por eso también que hay conspiraciones: juegan un papel importante y no deben ser simplemente despreciadas, pero el problema central son los hombres que se alejan del verdadero Dios en su única verdadera Iglesia. En breve – y este es el punto central -- los Gentiles tienen solamente a si mismos para culparse si el poder Judío es hoy tan aplastante.

Por consiguiente los que empiecen a ver lo que Disraeli y Woodrow Wilson claramente insinuaron pero apenas pudieron decir abiertamente, a saber que existe un poder oscuro detrás del escenario que dirije los eventos del mundo, que ellos no pierdan su justa apreciación de la situación maldiciendo a los Illuminati, o a los Judíos, o a los Masones o a quienquiera que sea, pero que aprecien la sabiduría de las palabras de San Pío X: “Que todo hombre haga su deber, y todo irá bien”. Es porque nuestro primer deber es para con Dios, como el primer mandamiento lo indica, que si todos cumplimos con nuestro deber y hemos hecho nuestro retorno a Dios, será para El un sencillo juego de niños deshacer este actual poder de sus múltiples enemigos que El solo les dejó tener, al no intervenir desde el inicio para impedirlo.

Asi, antes que Nuestra Señora apareciera en Fátima en 1917, los enemigos de la Iglesia habían tomado el gobierno de Portugal completamente bajo su control, pero cuando prácticamente todo el pueblo Portugués rezó e hizo penitencia como Nuestra Señora lo había pedido, entonces Ella simplemente disolvió el poder de estos enemigos por una revolución incruenta. Portugal se volvió, en el ateo siglo XX con el Comunismo triunfando en todas partes, la vitrina de un Estado Católico.

Los enemigos mas inteligentes de Dios saben muy bien que le están sirviendo como un látigo para flagelar las espaldas de su pueblo descreído. Si sólo los amigos de Dios entendieran de que manera están flagelados por sus enemigos para ayudar a todas las almas a volverse hacia El y asi llegar al Cielo, entonces las teorías conspiracionistas se pondrían todas en su lugar: ni mas, ni menos importantes de lo que en realidad son.
 

Kyrie eleison

Verschwörungstheorien

Eleison kommentare CCXXV

Wenn nach der „Eleison Kommentar“-Ausgabe Nummer 222 über den Gottesmord einige Leser darauf hoffen, daß die „Eleison Kommentare“ die Rolle der Juden im Weltgeschehen oft behandeln werden, so könnten diese Leser eine Enttäuschung riskieren. Die 225 bisher erschienenen Ausgaben erwähnten die Juden namentlich höchstens ein halbes Dutzend Mal. Denn welches Problem die Juden auch sein mögen, sie sind gewiß nicht das Hauptproblem. Das größte Problem ist vielmehr die Gottlosigkeit des modernen Menschen, und ich hoffe, daß die meisten Leser dieses als zentrales Anliegen der „Eleison Kommentare“ betrachten.

Verschwörungstheorien, wie z.B. daß die Juden zur Erlangung der Weltherrschaft sich verschwören, sind gängig. Es gibt allerdings zwei Arten von Übertreibung, und es ist schwierig, aber weise, zwischen diesen beiden Arten den richtigen Ausgleich zu suchen. Auf der einen Seite gibt es eine überwältigende Mehrheit von Menschen, welche den Medien mit ihrer gewollten Blindheit folgen, wonach alle Verschwörungstheorien unsinnig seien und nur „Verschwörungs-Fanatiker“ ihnen anhängen. Auf der anderen Seite steht eine kleine, aber sehr überzeugte Minderheit, welche sagt, daß hinter allen Weltereignissen diese oder jene Verschwörung – und vor allem eine jüdische Verschwörung – stecke. Vor 1800 Jahren legte ein berühmter Kirchenautor die Wesenswahrheit am besten dar:

Tertullian (160 bis 220) sagte, daß der katholische Glaube und die jüdische Macht wie zwei Schalen einer Waage zueinander stehen: Wenn der katholische Glaube ansteigt, so sinkt die jüdische Macht, und wenn der katholische Glaube zurückgeht, dann wächst die Macht der Juden. Doch stets übertrumpft der Glaube die Macht. Deshalb sind nicht die Juden das Hauptproblem, sondern die Zu- oder Abnahme des Glaubens der Menschen. Aus diesem Grund gibt es Verschwörungen. Sie spielen eine wichtige Rolle und wir sollten sie nicht einfach verwerfen. Doch das zentrale Problem ist die Abwendung der Menschen vom wahren Gott und von seiner einzig wahren Kirche. Um also das Wesentliche auf den Punkt zu bringen: Die Nichtjuden sind selbst schuld, wenn die Macht der Juden heute so groß ist.

Wer also zu erkennen beginnt, was vor allem Disraeli und Woodrow Wilson andeuteten, aber kaum offen sagen konnten – daß nämlich hinter den Kulissen eine dunkle Macht das Weltgeschehen bestimmt –, der soll nicht sein Maß verlieren und die Illuminaten, Juden, Freimaurer oder wen auch immer verfluchen, sondern der soll die Weisheit der Worte des Hl. Pius X. erfassen: „Wenn jeder seine Pflicht erfüllt, wird alles gut werden.“  Diese Worte sind deshalb so stimmig, weil unsere oberste Pflicht gegenüber Gott besteht, wie das Erste Gebot sagt. Wenn wir also alle unsere Pflicht erfüllen und somit zu Gott zurückkehren würden, wäre es für ihn ein Kinderspiel, die Macht seiner diversen Feinde auszuschalten – zumal Gott allein ihnen diese Macht überhaupt erst zugesteht, indem er sie nicht durch sein Eingreifen hindert.

So hatten auch die Feinde der Kirche die portugiesische Regierung vollständig unter ihre Kontrolle gebracht, bevor Unsere Liebe Frau 1917 in Fatima erschienen war. Als dann praktisch das gesamte portugiesische Volk zu beten und Buße zu tun begann, wie Unsere Liebe Frau verlangte, so löste sie die Macht dieser Feinde der Kirche durch eine unblutige Revolution einfach auf. Portugal wurde zu einem katholischen Vorzeigestaat inmitten des gottlosen 20. Jahrhunderts, wo ansonsten überall der Kommunismus triumphierte.


Die klügsten Feinde Gottes wissen sehr wohl, daß sie ihm als Geißel dienen, welche auf den Rücken seines untreuen Volkes niederfährt. Wenn doch nur auch alle Freunde Gottes wüßten, daß sie durch seine Feinde gepeitscht werden, um allen Seelen zu helfen, ihm sich zuzuwenden und dadurch in den Himmel zu kommen, dann würden alle Verschwörungstheorien den richtigen Stellenwert erhalten: weder wichtiger noch unwichtiger zu sein als sie wirklich sind.


 Kirie Eleison

 

Teorie di conspirazioni

Commentario Eleison CCXXV

Dopo il recente “Commenti Eleison” sul deicidio (EC 222), alcuni lettori potrebbero pensare che “Commenti Eleison” parlerà spesso della parte svolta dagli Ebrei negli affari del mondo, ma rischierebbero di rimanere delusi. Nei 225 numeri che sono apparsi finora, dubito che gli Ebrei siano stati chiamati per nome in più di una mezza dozzina. In effetti, qualunque sia il problema che essi possono o non possono rappresentare, sicuramente non sono il problema principale. Il problema principale è l’empietà dell’uomo moderno, che spero la maggior parte dei lettori abbia colto come la preoccupazione centrale di “Commenti Eleison”. 

Le teorie di cospirazioni come quella degli Ebrei che complotterebbero per dominare il mondo, sono diffuse, ma comportano due esagerazioni, tra le quali non è sempre facile mantenere il giusto equilibrio. La maggior parte della gente, seguendo i mezzi d’informazione, ritiene che tutte le teorie di cospirazioni siano insensate e che le sole persone che ci credono siano i “complottisti”. Dall’altro lato, una piccola minoranza, ma con una radicata convinzione, ritiene che tutti gli accadimenti del mondo debbano essere spiegati con una qualche cospirazione o altra, soprattutto col complotto ebraico. La verità essenziale fu espressa al meglio da un noto scrittore della Chiesa, 1800 anni fa. 
Tertulliano (160-220) diceva che la Fede cattolica e il potere ebraico sono come i due piatti di una bilancia: quando la Fede cattolica va su, il potere ebraico va giù, mentre quando la Fede cattolica va giù, il potere ebraico va su. Ma è la Fede che sopravanza il potere. Ecco perché il problema principale non sono gli Ebrei, ma l’aumento o la diminuzione della Fede tra gli uomini. Ed ecco allora perché ci sono davvero delle cospirazioni, perché hanno un ruolo importante da svolgere e quindi non devono essere semplicemente disprezzate, ma il problema centrale rimane quello degli uomini con il loro allontamento dal vero Dio nella sua vera Chiesa. In breve – e questo è il punto cruciale – i Gentili possono biasimare solo loro stessi se oggi il potere ebraico è così schiacciante. 

Perciò, chi riesce a cogliere quello che specialmente Disraeli e Woodrow Wilson accennavano ma non potevano esprimere apertamente, e cioè che vi è un potere oscuro dietro le quinte che dirige gli eventi del mondo, è bene che non perda il proprio equilibrio maledicendo gli Illuminati o gli Ebrei o i Massoni o altri, ma prenda atto della saggezza delle parole di San Pio X: “Che ogni uomo faccia il proprio dovere e tutto andrà bene”. E dal momento che il nostro primo dovere è verso Dio, come dice il Primo Comandamento, se tutti facessimo il nostro dovere e ci rivolgessimo di nuovo a Dio, per Lui sarebbe un semplice giuoco da ragazzi cancellare l’attuale potere dei suoi nemici, dato che solo Lui permette che l’abbiano, non intervenendo dall’inizio per prevenirlo. 

Prima che la Madonna apparisse a Fatima nel 1917, gli inimici della Chiesa avevano posto il governo del Portogallo interamente sotto il loro controllo, ma quando praticamente l’intero popolo portoghese pregò e fece penitenza come aveva chiesto la Madonna, Lei dissolse semplicemente il potere degli inimici della Chiesa con una rivoluzione incruenta. Nel ventesimo secolo senza Dio e col comunismo che trionfava ovunque, il Portogallo divenne l’esempio visibile dello Stato cattolico. 

I più intelligenti dei nemici di Dio sono ben consapevoli che Lo stanno servendo a mo’ di flagello che colpisce la schiena del suo popolo infedele. Se solo gli amici di Dio comprendessero che sono oggetto delle sferzate dei suoi nemici perché tutte le anime ritornino a Lui e meritino il Cielo, ecco che le teorie di cospirazioni rientrerebbero tutte al loro posto: né più né meno importante di quello che sono realmente.


Kirie Eleison

Religion d’Etat? / ¿Religión de estado? / Religione di stato / Staatsreligion?

Religion d’Etat?

Commaintaire Eleison CCXXVIII

Quel rôle devrait jouer l’Etat dans la protection et la promotion de la religion catholique? Tout catholique qui sait que le Catholicisme est la seule vraie religion du seul vrai Dieu ne peut que répondre que l’Etat, étant lui aussi une créature de ce Dieu, a l’obligation de servir le mieux qu’il peut Sa vraie religion. D’un autre côté tout libéral qui croit que l’Etat n’est pas compétent pour dire quelle est la vraie religion puisque la religion est en tout  état de cause l’affaire de chaque individu, répondra que l’Etat doit protéger le droit de tous ses citoyens à pratiquer la religion de leur choix, ou aucune. Voyons les arguments catholiques.

L’homme vient de Dieu. Sa nature vient de Dieu. L’homme est par nature social, ainsi son caractère social vient de Dieu. Or c’est la totalité de l’homme,  et pas seulement une partie de lui (Premier Commandement), qui doit rendre un culte à Dieu. Ainsi le caractère social de l’homme doit rendre son culte à Dieu. Mais l’Etat n’est rien d’autre que la société formée par le caractère social de tous ses citoyens réunis ensemble dans leur corps politique. Par conséquent l’Etat doit rendre un culte à Dieu. Mais parmi tous les différents cultes nécessairement contradictoires les uns par rapport aux autres (autrement ils ne seraient pas différents), tous peuvent être plus ou moins faux mais certainement seul l’un d’entre eux peut être totalement vrai. Ainsi, s’il existe un tel culte, totalement vrai et reconnaissable comme tel, c’est le culte que chaque Etat, en tant qu’Etat, doit à Dieu. Or le Catholicisme est ce culte. Par conséquent chaque Etat, en tant qu’Etat, doit le culte catholique à Dieu, même l’Angleterre d’aujourd’hui ou Israël ou l’Arabie Saoudite!

Mais une partie essentielle du culte est de rendre à Dieu le service dont chacun est capable. De quel service l’Etat est-il capable?  D’un grand service!  L’homme étant social par nature, sa société a une grande influence sur sa façon de sentir, de penser et de croire. Et les lois d’un Etat ont une influence décisive sur la façon dont la société des citoyens se forme. Par exemple, si l’avortement ou la pornographie sont légalisés, nombreux seront les citoyens qui en viendront à penser que ces pratiques, une fois légales, ne sont pas si mauvaises. C’est pourquoi chaque Etat est obligé en principe de protéger et promouvoir par ses lois la foi et la morale catholiques.

Voilà qui est clair comme principe. Mais ce principe signifie-t-il que tout non-catholique doit être appréhendé par la police et brûlé sur le bûcher ?  Bien sûr que non, car le but du culte et du service de Dieu est de lui rendre gloire et de sauver les âmes. Or, une action inconsidérée de la part de l’Etat aura l’effet opposé, à savoir de discréditer le catholicisme et de repousser les âmes. Pour cette raison, l’Eglise enseigne que même l’Etat catholique a le droit en pratique de s’abstenir d’agir contre une fausse religion lorsque cette action entraînerait un plus grand mal, ou empêcherait un plus grand bien. Mais le devoir de chaque Etat en principe de protéger la foi et la morale catholiques demeure intact.

Cela signifie-t-il qu’il faut imposer le Catholicisme aux citoyens par la force de l’Etat?  Pas du tout, car la croyance catholique n’est pas quelque chose qui puisse être imposée  –  «Personne ne croit contre sa volonté» (Saint Augustin). Mais cela signifie de fait qu’un Etat catholique peut ou doit interdire la pratique publique  de toute religion autre que le Catholicisme là où une telle action n’entraînera pas normalement un plus grand mal. Cette conclusion logique fut niée par le Concile Vatican II parce que ce Concile fut libéral. Cependant ce fut la pratique commune dans les Etats Catholiques avant le Concile, et cette pratique aura aidé un grand nombre d’âmes à être sauvées.

Kyrie eleison..


¿Religión de estado?

Comentario Eleison CCXXVIII 

¿Que papel tendría que jugar el Estado para proteger o promover la religión Católica? Cualquier Católico que sabe que el Catolicismo es la única verdadera religión del único verdadero Dios puede contestar únicamente que el Estado, siendo también una criatura de ese Dios, está obligado a servir lo mejor que pueda a Su única verdadera religión. Por otro lado cualquier liberal que cree que no le incumbe al Estado decir cual es la verdadera religión porque, por ejemplo, la religión es en todo caso asunto de cada individuo, contestará que el Estado debe proteger el derecho de todos sus ciudadanos a practicar la religión de su elección, o ninguna. Veamos los argumentos Católicos.

El hombre viene de Dios. Su naturale
za viene de Dios. El hombre es por naturaleza un ser social, por eso su carácter sociable viene de Dios. Pero el hombre en su totalidad, y no solamente una parte de él (Primer Mandamiento), debe rendir culto a Dios. La sociabilidad del hombre, pues, debe rendir culto a Dios. Pero el Estado no es otra cosa que la sociedad formada por la sociabilidad de todos sus ciudadanos que se reúnen juntos en su cuerpo político. Por consiguiente, el Estado debe rendir culto a Dios. Pero entre todos los diferentes cultos que necesariamente se contradicen el uno al otro (de otra manera no serían diferentes), todos pueden ser mas o menos falsos, pero no puede haber mas que uno que sea totalmente verdadero. De tal manera que si existe tal culto, totalmente verdadero y reconocible como tal, entonces ese es el culto que cada Estado, como Estado, le debe a Dios. Ahora bien, el Catolicismo es tal culto. Por consiguiente todo Estado, como Estado, debe rendir el culto Católico a Dios, ¡incluyendo aún la Inglaterra de hoy, o Israel o Arabia Saudita!

Pero una parte esencial del culto es rendirle a Dios el servicio del cual uno es capaz. ¿De qué servicio es capaz el Estado?  ¡De un gran servicio!  El hombre siendo social por naturaleza, su sociedad tiene una gran influencia sobre la manera como él siente, piensa y cree. Y las leyes de un Estado tienen una influencia decisiva para moldear la sociedad de sus ciudadanos. Por ejemplo, si el aborto o la pornografía están legalizados, muchos ciudadanos terminarán por pensar que tienen poco o nada de malo. Por consiguiente cada Estado tiene en principio el deber de proteger y promover por sus leyes la fe y la moral Católicas.

Así de claro está el principio. Pero, ¿será que ese principio significa que todos los no-Católicos deberían ser arriados por la policía y quemados en la hoguera? Claro que no, porque el objetivo del culto y del servicio a Dios es darle gloria y salvar las almas. Ahora bien, una acción desconsiderada por parte del Estado tendrá el efecto contrario, expresamente de desacreditar al Catolicismo y de alejar a las almas. Por ello la Iglesia enseña que incluso un Estado Católico tiene el derecho de abstenerse en la práctica de actuar contra una falsa religión cuando tal acción pueda causar un mal mayor o impedir un bien mayor. Pero el principio del deber de cada Estado de proteger la fe y la moral Católicas permanece intacto.

¿Significa eso imponer el Catolicismo a los ciudadanos ?  No, en absoluto, porque la creencia Católica no es algo que pueda ser forzado –“Nadie cree contra su voluntad” (San Agustín). Lo que sí significa es que en un Estado Católico la práctica pública de todas las religiones que no sean el Catolicismo puede o tendría que ser prohibida ahí donde tal acción puede o tendría que no ser contra-producente. Esta conclusión lógica fue denegada por el Vaticano II, porque aquel Concilio fue liberal. Sin embargo ha sido una práctica común en los Estados Católicos antes del Concilio, y habrá ayudado a salvar muchisimas almas. 

Kyrie eleison

Staatsreligion?

Eleison kommentare CCXXVIII

Welchen Anteil beim Schutz oder bei der Förderung der katholischen Religion soll der Staat übernehmen? Katholiken mit dem Wissen, daß der Katholizismus die einzig wahre Religion des einen wahren Gottes ist, können nur antworten: Der Staat, als ebenfalls etwas von Gott Geschaffenes, ist verpflichtet, bestmöglich Gottes einer und wahrer Religion zu dienen. Im Gegensatz dazu stehen die Liberalen mit ihrer These, daß der Staat die wahre Religion nicht erkennen könne, weil beispielsweise die Religion auf jeden Fall Privatangelegenheit des Einzelnen sein müsse. Deswegen antworten diese Liberalen auf unsere Frage: Der Staat müsse das Recht aller Bürger garantieren, eine beliebige Religion auszuüben bzw. gar keine Religion. Betrachten wir im folgenden die katholischen Argumente.  

Der Mensch wird von Gott erschaffen. Des Menschen Natur kommt also von Gott her. Nun aber ist der Mensch von Natur aus gesellschaftlich geprägt und deshalb muß auch diese Gesellschaftlichkeit von Gott herkommen. Nun schuldet aber nicht nur ein Teil des Menschen, sondern der ganze Mensch Gott die Anbetung (Erstes Gebot). Somit schuldet auch der Mensch in Gesellschaft Gott die Anbetung. Nun ist aber der Staat nichts anderes als die gesamten Gesellschaftlichkeiten der Menschen, die sich als Bürger im Staatskörper zusammenschließen.  Also schuldet auch der Staat Gott die kultische Anbetung. Von den verschiedenen Kulten, welche notwendigerweise sich gegenseitig widersprechen (sonst wären sie nicht verschieden), können alle mehr oder minder falsch sein, aber nur ein einziger Kult kann vollständig wahr sein. Wenn es also einen solchen Kult gibt, der vollkommen wahr und auch als solcher erkennbar ist, dann schuldet jeder Staat (als Staat) Gott diesen Kult. Und weil der Katholizismus dieser Kult ist, schuldet somit jeder Staat (als Staat) Gott den katholischen Kult – einschließlich sogar das heutige England, Israel oder Saudi-Arabien.
Nun besteht allerdings ein wesentlicher Teil der kultischen Anbetung darin, nach seinen Möglichkeiten Gott zu dienen. In welcher Hinsicht kann ein Staat hierbei dienlich sein? Er kann einen sehr großen Dienst erweisen: weil der Mensch von Natur aus gesellschaftlich ist, hat seine Gesellschaft einen großen Einfluß darauf, wie er fühlt, denkt und glaubt. Auch haben die staatlichen Gesetze einen entscheidenden Einfluß auf die Formgebung seiner bürgerlichen Gesellschaft. Wenn beispielsweise Abtreibung und Pornographie legal sind, werden viele Bürger schließlich denken, daß daran wenig bis nichts falsch sein könne. Deswegen hat jeder Staat grundsätzlich durch seine Gesetze die Pflicht, den katholischen Glauben und seine Moral zu schützen und zu fördern.

So sieht der klare katholische Grundsatz aus. Bedeutet dieser Grundsatz nun, daß jeder Nicht-Katholik von der Polizei umzingelt und auf dem Scheiterhaufen verbrannt werden sollte? Offensichtlich nicht, denn Sinn und Zweck der Anbetung und des Dienens Gottes liegt darin, ihm Ehre zu erweisen und Seelen zu retten. Ein rücksichtsloses Vorgehen des Staates würde aber genau den gegenteiligen Effekt erzeugen – also den Katholizismus diskreditieren und die Seelen entfremden. Daher lehrt die Kirche, daß selbst ein katholischer Staat das Recht hat, in der Praxis auf Maßnahmen gegen eine falsche Religion zu verzichten, wenn diese Maßnahmen ein noch größeres Übel verursachen oder ein höheres Gut verhindern würden. Trotzdem bleibt die grundsätzliche Pflicht des Staates bestehen, den katholischen Glauben und seine Moral zu schützen.

Soll also der Katholizismus den Bürgern aufgezwungen werden ?  Keinesfalls, weil der katholische Glaube nicht aufgezwungen werden kann. „Niemand glaubt gegen seinen Willen“, sagt der Hl. Augustinus. Der vorhin dargelegte katholische Grundsatz bedeutet, daß in einem katholischen Staat, wo solche Maßnahmen normalerweise nicht abträglich sein dürfen bzw. sollen, der Staat die öffentliche Ausübung der nicht-katholischen Religionen verbieten darf bzw. soll. Diesen logischen Schluß leugnete das Zweite Vatikanum, weil es liberal war. Doch war diese Logik in den katholischen Staaten bis zum Zweiten Vatikanum gängige Praxis, und sie wird zur Rettung vieler Seelen beigetragen haben.

 Kirie Eleison

 

Religione di stato?

Eleison kommentare CCXXVIII

Quale ruolo dovrebbe svolgere lo Stato nella protezione o nella promozione della Religione Cattolica? Ogni cattolico che sa che il Cattolicesimo è l’unica vera religione dell’unico vero Dio, può solo rispondere che lo Stato, essendo anch’esso una creatura di Dio, è destinato a servire come meglio può la Sua unica vera religione. Dal canto suo, ogni liberale, che crede che allo Stato non competa dichiarare qual è la vera religione, perché, per esempio, la religione sarebbe in ogni caso una questione individuale, risponderà che lo Stato deve tutelare il diritto di tutti i suoi cittadini a praticare la religione di loro scelta o anche nessuna religione. Consideriamo l’argomentazione cattolica.

L’uomo viene da Dio. La sua natura viene da Dio. L’uomo è sociale per natura, quindi la sua socialità viene da Dio. E dato che l’uomo tutto intero, e non una sua sola parte (Primo Comandamento) deve il culto a Dio, ne consegue che la stessa socialità dell’uomo deve il culto a Dio. Ora, lo Stato non è nient’altro che la società composta dalla socialità di tutti i suoi cittadini riuniti nel loro corpo politico. Perciò lo Stato deve il culto a Dio. Ora, se i differenti culti necessariamente si contraddicono l’un l’altro (diversamente non sarebbero differenti), è possibile che siano tutti più o meno falsi, è certo invece che solo uno può essere interamente vero. Se quindi esiste un tale culto, interamente vero e riconoscibile come tale, si tratta del culto che ogni Stato, in quanto Stato, deve a Dio. Ma questo culto è il Cattolicesimo, quindi ogni Stato, in quanto Stato, deve a Dio il culto cattolico, compresi l’odierna Inghilterra o Israele o l’Arabia Saudita!

Ma una parte essenziale del culto consiste nel rendere a Dio il servizio di cui si è capaci. Quale servizio è in grado di rendere lo Stato?  Un grande servizio! Essendo l’uomo sociale per natura, la società ha una grande influenza su come egli sente, pensa e crede. E le leggi dello Stato hanno una influenza decisiva sul modellamento di questa società dei cittadini. Per esempio, se l’aborto o la pornografia diventano legali, molti cittadini finiranno col pensare che ci sia poco o nulla di sbagliato in esse. Quindi ogni Stato con le sue leggi ha per principio il dovere di proteggere e di promuovere la fede e la morale cattoliche.

Questo è il principio ovvio. Ma tale principio significa che ogni non cattolico debba essere rastrellato dalla polizia e arso al rogo?  Ovviamente no, perché lo scopo del rendere culto e del servire Iddio è di renderGli gloria e di salvare le anime. Ma l’azione sconsiderata condotta dallo Stato porterà all’effetto opposto e cioè al discredito del Cattolicesimo e all’alienazione delle anime. Perciò la Chiesa insegna che anche uno Stato cattolico ha il diritto di astenersi nella pratica dall’intervenire contro una religione falsa quando con la sua azione potrebbe causare un male ancora più grande o impedire un grande bene. Ma il principio che ogni Stato ha il dovere di proteggere la fede e la morale cattoliche, rimane integro.

Questo significa imporre il cattolicesimo ai cittadini?  Niente affatto, perché il credo cattolico non è qualcosa che può essere imposto. “Nessuno crede contro la sua volontà” (Sant’Agostino). Il che significa che in uno Stato cattolico ove il prendere una tale iniziativa può o dovrebbe essere controproducente, la pratica pubblica di ogni altra religione che non sia la cattolica può o dovrebbe essere proibita. Questa conclusione logica è stata negata dal Vaticano II, perché il Vaticano II fu liberale. Eppure, prima del Concilio, era una pratica comune negli Stati cattolici ed avrà aiutato molte anime a salvarsi.

Kirie Eleison