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prowilliamson

2013-02

LIBÉRAUX INNOCENTS? / LIBERALES INOCENTES? / UNSCHULDIGE LIBERALE? /LIBERALI INNOCENTI? / LIBERALS INNOCENT? / LIBERAIS INOCENTES? / LIBERÁLOVÉ NEVINNÍ?

LIBÉRAUX INNOCENTS?

Comentaire Eleison CCXCIII

Voici quatre semaines le « Commentaire Eleison » répondit affirmativement à la question de savoir si le libéralisme est aussi horrible qu’on suppose qu’il l’est : au moins implicitement le libéralisme est la guerre contre Dieu. Restait la question de savoir si les nombreux libéraux qui nient être libéraux sont dans le vrai quand ils le nient. La réponse est sûrement que nous nous trouvons tous tellement immergés dans le libéralisme qu’il n’y a que peu parmi nous pour nous rendre compte à quel point nous le sommes.

Le libéralisme, au sens le plus large, c’est l’homme qui s’affranchit de la loi de Dieu, ce que fait tout homme lorsqu’il commet un péché. Donc, en ce sens plus large, tout pécheur est un libéral, et ainsi quiconque admet qu’il est pécheur doit admettre qu’il est libéral dans ce sens large. Néanmoins, une chose est de rompre la loi de Dieu tout en reconnaissant toujours que Dieu est Dieu et que sa loi est sa loi. Un tel pécheur n’est qu’un libéral pratique. C’est une chose tout à fait différente que de rompre la loi de Dieu en niant que Dieu soit Dieu et que sa loi soit sa loi. Voilà le libéral par principe, et voilà le libéralisme propre aux temps modernes.

Il fit irruption sur la scène avec la Révolution française de 1789. La charte de cette Révolution, la Déclaration des Droits de l’Homme, fut effectivement une déclaration de l’indépendance de l’homme face à Dieu. Dorénavant, même lorsqu’un homme quelconque obéirait à la loi de Dieu, il le ferait seulement en vertu de son propre choix et non en vertu de l’obéissance à quelqu’ordre ou commandement de Dieu. Dans un tel acte apparemment obéissant, il ne se comporterait pas comme un libéral en pratique, mais en tous ses actes il serait dans le fond un libéral par principe. C’est de ce libéralisme moderne que les catholiques d’aujourd’hui accusent souvent leurs adversaires. Ces adversaires ont-ils raison de nier presqu’aussi souvent qu’ils soient des libéraux ? Subjectiv ement, oui. Objectivement, non.

Subjectivement, oui, car depuis 1789 les hommes ne font que s’imbiber plus profondément des faux principes de la Révolution, de telle sorte que si on les accuse de se libérer de la loi de Dieu, ils peuvent sincèrement répliquer : « Quelle loi? Quel Dieu? De quoi me parlez-vous ? » C’est à ce point-là qu’ont été apparemment effacés des esprits Dieu et sa loi. Mais objectivement, non, car Dieu et sa loi n’ont évidemment pas cessé d’exister et, au fin fond d’eux-mêmes les hommes modernes le savent bien. Il est « inexcusable » de dire qu’Il n’existe pas (Rom.I,20), et Sa Loi est inscrite dans le cœur de tous les hommes (Rom.II,15), quoi qu’ils en disent par leur bouche. Le « sincèrement » mentionné ci-dessus exige des guil lemets, car il ne vaut pas plus qu’il ne vaut devant le tribunal du Souverain Juge.

Alors, ces chefs de la Fraternité Saint Pie X qui essaient actuellement d’insérer la Fraternité dans l’Église Conciliaire, peuvent-ils nier qu’ils soient des libéraux? Subjectivement, il n’y a pas de doute qu’ils sont convaincus qu’ils font ce qu’il y a de mieux pour l’Église, mais objectivement ils cherchent sans remords à mettre l’œuvre contre-Révolutionnaire de Mgr. Lefebvre sous le contrôle des autorités de l’Église qui elles s’efforcent de faire triompher une fois pour toutes la Révolution libérale. Ces chefs de la FSSPX disent que nous devons nous réunir avec l’Église visible parce qu’elle est l’Église catholique. Pourtant l’« église » Anglicane est bien visible sur tout le territoire anglais, mais est-elle catholique pour autant  ? En outre, ces chefs ne peuvent ignorer à quel point ils faussent et suppriment les paroles de Mgr. Lefebvre pour les faire coïncider avec leur propre vision de l’Église

La triste vérité, c’est que ces libéraux n’ont jamais compris le fond du combat de Mgr. Lefebvre. Tant qu’il était en vie, ils étaient fascinés, comme tant parmi nous, par son charisme catholique, mais ils n’ont jamais compris la foi de Mgr Lefebvre, foi qui était à son charisme ce que la racine est au fruit. Ils ont aimé le fruit – c’est tout à leur honneur – mais quelques années après sa mort, le fruit sans la racine s’est mis à se flétrir et à mourir. Faute d’avoir compris sa foi, ils devaient nécessairement transformer la Fraternité de Mgr. Lefebvre en la leur propre, qui transformerait les ennemis de la foi à Rome en « nos nouveaux amis ».Voilà ce que nous avons vu. Voilà ce que nous sommes en train de voir. Que le Ciel nous vienne en aide !

Kyrie eleison.

 LIBERALES INOCENTES?

Comentario Eleison CCXCIII

Hace cuatro semanas los “Comentarios Eleison” contestaron afirmativamente a la pregunta sobre si el liberalismo es tan horrible como se supone que es: implícitamente el liberalismo es la guerra contra Dios. Quedaba la pregunta sobre si los muchos liberales que niegan ser liberales están en lo cierto cuando lo niegan. La respuesta es seguramente que todos nosotros hoy estamos tan inmersos en el liberalismo que pocos de nosotros nos damos cuenta hasta que punto lo somos.

El liberalismo en su sentido más amplio es el hombre que se libera a sí mismo de la ley de Dios, lo que un hombre hace cada vez que comete un pecado. Luego en este sentido más amplio todo pecador es un liberal y así quienquiera admite que él es un pecador debe admitir que es un liberal en este sentido amplio. Sin embargo, una cosa es romper la ley de Dios mientras uno sigue admitiendo que Dios es Dios y que su ley es su ley. Tal pecador es solamente un liberal práctico. Es cosa muy diferente romper la ley de Dios a la par que uno va negando que Dios sea Dios o que su ley sea su ley. Tal liberal en principio encarna el liberalismo de los tiempos modernos.

Entra en escena con la Revolución Francesa de 1789. La carta magna de esa Revolución, la Declaración de los Derechos Humanos, fue efectivamente una declaración de la independencia del hombre frente a Dios. De ahora en más, aún cuando cualquier hombre obedeciese a la ley de Dios, lo haría sólo en virtud de su propia elección y no en virtud de la obediencia a cualquier mandato o mandamiento de Dios. En esa aparente obediencia él no estaría comportándose como un liberal en la práctica, pero en el fondo, en todo lo que él haría, sería un liberal en principio. Este es el liberalismo moderno del cual los Católicos de hoy acusan a menudo a sus adversarios. ¿Acaso estos adversarios tienen razón como para negar casi en todos los casos ser liberales? Subjetivamente, si. Objetivamente, no.

Subjetivamente, sí, porque desde 1789 los hombres han sido impregnados cada vez más profundamente de los falsos principios de la Revolución, al punto de que si se les acusa de liberarse de la ley de Dios, ellos pueden sinceramente replicar, “¿Que ley? ¿Qué Dios? ¿De que me está Usted hablando?” Hasta este extremo han sido aparentemente borrados de las mentes, Dios y su ley. Pero, objetivamente, no, porque Dios y su ley ciertamente no han dejado de existir, y profundamente en su interior aún los hombres modernos lo saben. Es “inexcusable” decir que El no existe (Rom.I,20), y Su ley está escrita en el corazón de todos los hombres (Rom.II,15), no importa lo que puedan decir con la boca para afuera. El “sinceramente” que se acaba de mencionar necesita las comillas – no vale mas que lo que vale frente al tribunal de Dios.

Entonces, ¿pueden estos líderes de la Fraternidad San Pío X que están actualmente tratando de mezclar la Fraternidad con la Iglesia Conciliar, negar que son liberales? Subjetivamente no hay duda de que están persuadidos que están haciendo lo mejor que pueden para la Iglesia, pero, objetivamente, están buscando sin arrepentimiento poner la obra contra-Revolucionaria de Mons. Lefebvre bajo el control del intento de los dirigentes de la Iglesia que se esfuerzan en hacer triunfar la Revolución liberal de una vez por todas. Estos líderes dicen que debemos reunirnos con la Iglesia visible porque ella es la Iglesia católica, pero no es la visibilidad lo que la hace católica, sino el hecho de tener la Fe apostólica. Así, la “iglesia” Anglicana también es visible en todo el territorio inglés, pero eso no la hace católica. Y los líderes actuales no puede n ignorar hasta que punto falsifican y suprimen las palabras del Arzobispo pretendiendo hacerlas corresponder a su propia visión de la Iglesia, fingiendo así que esa era la posición del Arzobispo.

La triste verdad es que estos liberales nunca entendieron cual era realmente el combate del Arzobispo. Mientras él estaba con vida, ellos estaban fascinados, como tantos de nosotros, por su carisma católico, pero nunca entendieron la Fe del Arzobispo, Fe que era para su carisma lo que la raíz es para el fruto. Ellos amaron el fruto – démosles el crédito por eso a ellos – pero a pocos años de su partida, el fruto sin la raíz empezó a marchitarse y morir. Era inevitable que, a menos de haber entendido la fe del Arzobispo, ellos iban a convertir la Fraternidad del Arzobispo en la suya propia que haría de los enemigos de la fe “nuestros nuevos amigos en Roma”. Eso es lo que hemos visto y que estamos viendo. ¡Que el Cielo venga en nuestra ayuda!

Kyrie eleison.

UNSCHULDIGE LIBERALE?

Eleison kommentare CCXCIII

Vor vier Wochen bejahten die „Eleison Kommentare“ die Frage, ob Liberalismus wirklich so schrecklich sei, wofür er gehalten wird. Denn der Liberalismus führt implizit einen Krieg gegen Gott. Es blieb die Frage offen, ob die vielen Liberalen, welche abstreiten, Liberale zu sein, Recht haben. Die Antwort lautet, daß wir alle heute sicherlich so vom Liberalismus durchtränkt sind, daß nur noch wenige von uns überhaupt merken, wie liberal wir in Wirklichkeit sind.

Liberalismus im weitesten Sinne meint die Befreiung des Menschen von Gottes Gesetz, was z.B. jeder Mensch tut, wenn er eine Sünde begeht. Somit ist im weitesten Sinne jeder Sünder ein Liberaler und also müßte auch jeder Sünder zugeben, daß er im weitesten Sinne ein Liberaler ist. Allerdings ist es eine Sache, Gottes Gesetz zu brechen und dabei wenigstens noch einzugestehen, daß Gott wirklich Gott und daß sein Gesetz auch sein Gesetz ist. Ein derartiger Sünder wäre lediglich ein praktischer Liberaler. Etwas ganz anderes ist hingegen, Gottes Gesetz zu brechen und dabei abzustreiten, daß Gott wirklich Gott und daß sein Gesetz auch wahrlich sein Gesetz ist. Ein solcher prinzipieller Liberaler stellt den Liberalismus der modernen Zeit dar.

Mit der Französischen Revolution von 1789 platzte dieser moderne Liberalismus in das Weltgeschehen hinein. Denn die Satzung dieser Revolution – die sogenannte Erklärung der Menschenrechte – war in Wirklichkeit eine Erklärung der Unabhängigkeit des Menschen von Gott. Wenn von nun an ein Mensch das Gesetz Gottes befolge, so mache er dies ausschließlich aus eigener Entscheidung heraus, nicht jedoch auf Geheiß oder Befehl von Gott. Durch diesen scheinbaren Gehorsam verhält der Mensch sich dann zwar praktisch nicht wie ein Liberaler, aber im tieferen Sinn ist er durch all sein Tun sogar ein prinzipieller Liberaler. Dies ist der moderne Liberalismus, dessen heutige Katholiken ihre Gegner oft bezichtigen. Haben diese Gegner dann Recht, wenn sie ebenso oft abstreiten, überhaupt Liberale zu sein? Subjektiv ja, aber objektiv nein.

Subjektiv ja, weil die Menschen seit 1789 die falschen Prinzipien der Revolution immer stärker in sich aufgesogen haben, so daß sie angesichts der Beschuldigung, von Gottes Gesetz sich zu befreien, ehrlich antworten können: „Welches Gesetz? Welcher Gott? Von was reden Sie nur!“ In einem so großen Maße wurden Gott und sein Gesetz anscheinend ausgelöscht.

Objektiv nein, weil Gott und sein Gesetz eben mit Sicherheit nicht zu existieren aufgehört haben. Und das wissen tief in ihrem Innern selbst die modernen Menschen. Zu behaupten, daß Gott nicht existiere, ist sogar „unentschuldbar“ (siehe Römer 1,20), und Gottes Gesetz ist den Menschen in ihr Herz geschrieben (siehe Römer 2,15), was immer die Menschen mit dem Munde auch sagen mögen. Beim oben erwähnten „ehrlich antworten“ muß also das „ehrlich“ in Anführungszeichen stehen, denn es wird nur gelten, was es vor Gottes Richterstuhl gilt.

Können also die Oberen der Priesterbruderschaft St. Pius X., welche ihre Bruderschaft mit der Konzilskirche vereinigen wollen, wirklich bestreiten, Liberale zu sein? Aus subjektiver Sicht sind sie gewiß davon überzeugt, ihr Bestes für die Kirche zu geben. Doch objektiv gesehen versuchen sie halsstarrig, das gegen-revolutionäre Werk von Erzbischof Lefebvre den Amtskirchen-Autoritäten zu unterwerfen, welche wiederum wild entschlossen sind, die liberale Revolution ein für allemal triumphieren zu lassen. Dabei sagen sie, daß wir wieder in die sichtbare Kirche eintreten müßten, weil sie die katholische Kirche sei. Aber auch die anglikanische „Kirche“ ist immer noch in ganz England sichtbar, und dennoch macht sie das nicht katholisch. Zudem kann den gegenwärtigen Bruderschaftsoberen nicht entgangen sein, auf welche Art und Weise sie die Worte des Erzbischofs verzerren und unterdrücken, um ihn an ihre Visi on von Kirche anzupassen.

Die traurige Wahrheit ist, daß diese zuletzt erwähnten Liberalen nie verstanden haben, um was es Erzbischof Lefebvre wirklich ging. Wie so viele von uns waren sie zu seinen Lebzeiten von seinem Charisma wie gebannt. Doch begriffen sie seinen Glauben nie, welcher für sein Charisma die gleiche Bedeutung hatte wie die Wurzel für ihre Frucht. Es sei diesen Liberalen angerechnet, daß sie diese Frucht des Erzbischofs liebten. Doch kaum war er unter dem Boden, da fing die entwurzelte Frucht an, zu verwelken und abzusterben. Und weil sie den Glauben des Erzbischofs nicht begriffen, war es auch unvermeidlich, daß sie seine Bruderschaft in ihre eigene umwandeln würden. Genau das erleben wir seit einiger Zeit. Himmel hilf!

Kyrie eleison.

LIBERALI INNOCENTI?

Comentario Eleison CCXCIII

Quattro settimane fa, “Commenti Eleison” ha risposto alla domanda se il liberalismo fosse così orribile come si suppone che sia: confermando che, almeno implicitamente, il liberalismo è la guerra a Dio. Restava la domanda se i molti liberali che negano di esserlo, abbiano ragione a negarlo. Sicuramente, la risposta è che oggi siamo tutti così imbevuti di liberalismo, che pochi di noi si rendono conto fino a che punto siamo liberali.

Il liberalismo in senso lato è la liberazione dalla legge di Dio che l’uomo attua da se stesso, e che ogni uomo realizza con ogni peccato che commette. Pertanto, in senso lato, ogni peccatore è un liberale, così che chi ammette di essere un peccatore, deve ammettere di essere un liberale secondo questo senso lato. Tuttavia, una cosa è infrangere la legge di Dio continuando ad ammettere che Dio e Dio e la sua legge è la sua legge, così che un tale peccatore è solo un liberale pratico; altra cosa è infrangere la legge di Dio negando che Dio sia Dio e la sua legge sia la sua legge: ecco il liberale per principio, ecco il liberalismo dei tempi moderni.

Esso è apparso con forza sulla scena con la Rivoluzione francese del 1789. Il manifesto di questa Rivoluzione, la Dichiarazione dei diritti dell’uomo, era infatti una dichiarazione di indipendenza dell’uomo da Dio. Da allora in poi, se un uomo ubbidiva alla legge di Dio, lo faceva puramente per sua libera scelta e non sotto il comando o il comandamento di Dio. In tale apparente obbedienza egli sembrerebbe comportarsi come un liberale pratico, ma sotto sotto, in ogni sua azione sarebbe un liberale per principio. È questo il liberalismo moderno, di cui oggi i cattolici accusano spesso i loro avversari. E questi avversari, hanno ragione quando spesso lo negano? Soggettivamente, sì. Oggettivamente, no.

Soggettivamente sì, perché fin dal 1789 gli uomini hanno talmente assimilato sempre più profondamente i falsi principi della Rivoluzione, che quando li si accusa di volersi liberare dalla legge di Dio, rispondono sinceramente: “Quale legge? Quale Dio? Di che parli?”. A tal punto Dio e la sua legge sono stati apparentemente spazzati via. Ma oggettivamente no, perché Dio e la sua legge non hanno certo cessato di esistere e nel profondo di sé anche gli uomini moderni lo sanno. È “inescusabile” affermare che Dio non esista (Rom. I, 20), e la sua legge è scritta nel cuore di tutti gli uomini (Rom II, 15), hanno voglia a dire ciò che vogliono con la bocca. Il “sinceramente” appena usato, va virgolettato – esso vale quel che vale di fronte al tribunale di Dio.

Quindi, le autorità della Fraternità San Pio X, che oggi stanno cercando di diluire la Fraternità nella Chiesa conciliare, possono negare di essere liberali? Soggettivamente sono indubbiamente convinte che stanno facendo del loro meglio per la Chiesa, ma oggettivamente esse stanno cercando in maniera impenitente di porre il lavoro controrivoluzionario di Mons. Lefebvre sotto il controllo degli ufficiali della Chiesa intenti ad instaurare una volta per tutte il trionfo della Rivoluzione liberale. Dicono che dobbiamo riunirci alla Chiesa visibile perché questa è la Chiesa cattolica; ma la “chiesa” anglicana è ancora visibile in tutta l’Inghilterra: questo la rende cattolica? E gli attuali capi della FSSPX non possono essere inconsapevoli di come loro stessi distorcono e mutilano le parole di Mons. Lefebvre per farlo combaciare con la loro visione della Chiesa.

La triste verità è che questi liberali non hanno mai veramente capito chi fosse Monsignore. Mentre questi era in vita, erano incantati, come tanti di noi, dal suo carisma cattolico, ma non hanno mai fatta propria quella fede che stava al suo carisma come la radice sta ai frutti dell’albero. Essi amavano i frutti – gliene si può dare atto – ma non molto tempo dopo la morte di Monsignore, questi frutti senza la radice hanno incominciato ad appassire e morire. Era inevitabile che, avendo colto in modo manchevole la fede di lui, finissero col cambiare la sua Fraternità nella loro. È questo che abbiamo visto e che stiamo vedendo. Che il Cielo ci aiuti!

 

Kyrie eleison.

LIBERALS INNOCENT?

Eleison Comments CCXCIII

Four weeks ago “Eleison Comments” answered the question whether liberalism is as horrible as it is supposed to be in the affirmative: implicitly, liberalism is war on God. There remained the question whether the many liberals who deny they are liberals are right to deny it. The answer is surely that all of us today are so soaked in liberalism that few of us realize how liberal we are.

Liberalism in its broadest sense is man’s liberating himself from the law of God, which a man does with every sin that he commits. Therefore in its broadest sense every sinner is a liberal, and so whoever admits he is a sinner must admit he is a liberal in this broad sense. However, it is one thing to break God’s law while still admitting that God is God and his law is his law. Such a sinner is merely a practical liberal. It is quite another to break God’s law while denying that God is God or that his law is his law. Such a liberal in principle is the liberalism of modern times.

It burst upon the scene with the French Revolution of 1789. The charter of that Revolution, the Declaration of Human Rights, was in effect a declaration of man’s independence from God. From now on, if any man obeyed God’s law, he was doing so purely by his own choice, and not as under any command or commandment of God. In that apparent obedience he would not be behaving like a liberal in practice, but underneath, in everything he did, he would be a liberal in principle. This is the modern liberalism of which Catholics today often accuse their adversaries. Are these adversaries right, almost as often to deny it? Subjectively, yes. Objectively, no.

Subjectively, yes, because ever since 1789 men have drunk more and more deeply of the false principles of the Revolution, so that if they are accused of liberating themselves from the law of God, they can sincerely reply, “What law? What God? What are you talking about?” To such an extent have God and his law been apparently wiped out. But objectively, no, because God and his law have most certainly not ceased to exist, and deep down inside themselves even modern men know it. It is “inexcusable” to say that he does not exist (Rom. I, 20), and his law is written on all men’s hearts (Rom. II, 15), whatever they may say with their mouths. The “sincerely” just mentioned needs inverted commas - it is worth only what it is worth before God’s judgment seat.

Then may those authorities of the Society of St Pius X presently seeking to blend the Society into the Consular Church deny that they are liberals? Subjectively they are no doubt persuaded that they are doing their best for the Church, but objectively they are unrepentedly seeking to put Archbishop Lefebvre’s anti-Revolutionary work under the control of Church officials intent upon making the liberal Revolution triumph once and for all. They say we must rejoin the visible Church because that is the Catholic Church. But the Anglican “church” is still visible, all over England. Does that make it Catholic? And the present SSPX leaders cannot be unaware of how they distort and suppress words of the Archbishop to make him fit their vision of the Church.

The sad truth is that these liberals never really understood what the Archbishop was all about. While he was alive they were spellbound, like so many of us, by his Catholic charisma, but they never grasped that faith. which was to his charisma as root is to fruit. They loved the fruit - all credit to them for that - but not long after he was gone, the fruit without the root began to wilt and die. It was inevitable that unless they understood his faith, they would change his Society into their own. That is what we have seen and are seeing. Heaven help us!

Kyrie eleison.

LIBERAIS INOCENTES?

Comentários Eleison CCXCIII

Há quatro semanas o “Comentários Eleison” respondeu à pergunta sobre se o liberalismo é tão horrível como se diz ser, com a afirmativa: implicitamente, o liberalismo é a guerra contra Deus. Restou aqui saber se os muitos liberais que negam que sejam liberais têm o direito de negar isso. A resposta certamente é que todos nós hoje estamos tão embebidos no liberalismo, que poucos de nós percebem quão liberal são.

O liberalismo em seu sentido mais amplo é o homem que se liberta a si mesmo da lei de Deus, o que um homem faz a cada pecado que comete. Portanto, em um sentido mais amplo, todo pecador é um liberal, e assim quem admite que é um pecador deve admitir que é um liberal neste sentido amplo. No entanto, uma coisa é violar a lei de Deus enquanto ainda se admite que Deus é Deus e a Sua lei é a Sua lei. Tal pecador é apenas um liberal prático. Outra coisa é violar a lei de Deus ao negar que Deus é Deus, ou que a sua lei é a sua lei. Tal liberal em princípio representa o liberalismo dos tempos modernos.

Ele eclodiu no cenário com a Revolução Francesa de 1789. A Carta dessa Revolução, a Declaração dos Direitos Humanos, era de fato uma declaração de independência do homem com respeito a Deus. A partir de agora, se algum homem obedecesse à lei de Deus, estaria fazendo isso puramente por sua própria escolha, e não como por qualquer comando ou mandamento de Deus. Nesta obediência aparente ele não estaria se comportando como um liberal na prática, mas por baixo, em tudo o que ele fizesse, seria um liberal em princípio. Esse é o liberalismo moderno do qual os católicos de hoje muitas vezes acusam seus adversários. Estão esses adversários estão certos quase sempre ao negar isso? Subjetivamente, sim. Objetivamente, não.

Subjetivamente, sim, porque desde 1789 os homens têm bebido mais e mais profundamente dos falsos princípios da Revolução, de modo que, se são acusados de libertar-se da lei de Deus, podem responder sinceramente: “Que lei? Que Deus? O que você está dizendo?” A ponto de que Deus e sua lei têm sido aparentemente exterminados. Mas objetivamente não, porque Deus e sua lei certamente não deixaram de existir, e no fundo dentro de si mesmos os homens modernos sabem disso. É “indesculpável” dizer que Ele não existe (Rm. I, 20), e Sua lei está inscrita no coração de todos os homens (Rm. II, 15), independentemente do que eles possam dizer com sua boca. O “sinceramente” que acabamos de mencionar precisa de aspas – vale apenas o que vale diante do tribunal de Deus.

Podem então essas autoridades da Fraternidade São Pio X que atualmente procuram misturar a Fraternidade com a Igreja Conciliar negar que são liberais? Subjetivamente elas estão, sem dúvida, convencidas de que estão fazendo o seu melhor pela Igreja; mas objetivamente estão sem nenhum remorso buscando pôr o trabalho antirrevolucionário do arcebispo Lefebvre sob o controle dos funcionários da Igreja, fazendo triunfar a Revolução liberal de uma vez por todas. Eles dizem que nós devemos voltar à Igreja visível, pois que aquela é a Igreja Católica. Mas a “igreja” anglicana é ainda visível, por toda a Inglaterra. Isso garante que será Católica? E os atuais líderes da FSSPX não podem ignorar como eles distorcem e suprimem palavras do Arcebispo para fazê-lo caber na visão deles da Igreja.

A triste verdade é que nunca esses liberais realmente entenderam o que o Arcebispo foi. Enquanto ele estava vivo foram enfeitiçados – assim como muitos de nós – por seu carisma católico, mas nunca entenderam aquela fé, que foi para o seu carisma o que a raiz é para o fruto. Eles amavam o fruto – todo o crédito a eles por isso –, mas não muito tempo depois que ele se foi o fruto sem a raiz começou a murchar e morrer. Era inevitável que, a menos que entendessem a sua fé, eles viessem a mudar a sua Fraternidade do seu próprio jeito. Isso é o que temos visto e estamos vendo. Deus nos ajude!  

Kyrie eleison.

Tradução: Mosteiro da Santa Cruz

LIBERÁLOVÉ NEVINNÍ?

Komentář Eleison CCLXCIII

Před čtyřmi týdny „Komentář Eleison“ odpověděl na otázku, zda je liberalismus tak hrozný, jak se má za to: implicitně je liberalismus válkou proti Bohu. Zůstala otázka, zda ti mnozí liberálové, kteří popírají, že jsou liberály, mají pravdu, když to popírají. Odpovědí jistě je, že mnozí z nás dnes jsou natolik prosycení liberalismem, že jen nemnozí z nás si uvědomují, jak liberální jsme.

Liberalismus ve svém nejširším smyslu je, když se člověk oprošťuje od Božího zákona, což člověk činí s každým hříchem, který páchá. Proto je ve svém nejširším smyslu každý hříšník liberálem, a tak kdokoliv připustí, že je hříšníkem, musí připustit, že je liberálem v tomto širokém smyslu. Je však jednou věcí porušovat Boží zákon, ačkoli stále připouštím, že Bůh je Bohem a jeho zákon je jeho zákonem. Takový hříšník je pouze praktickým liberálem. Docela něco jiného je porušovat Boží zákon, když popírám, že Bůh je Bohem, nebo že jeho zákon je jeho zákonem.

Takový faktický liberál je liberálem moderní doby.
Vpadl na scénu s Francouzskou revolucí v roce 1789. Charta této revoluce, Deklarace práv člověka, byla ve skutečnosti deklarací nezávislosti člověka na Bohu. Od té chvíle, pokud byl člověk poslušný Božího zákona, činil tak čistě ze své vlastní volby, a nikoliv pod jakýmkoliv nařízením nebo přikázáním Božím. V této zdánlivé poslušnosti by se nechoval jako faktický liberál, ale v nitru, ve všem, co by dělal, by byl faktickým liberálem. Toto je současný liberalismus, z nějž dnešní katolíci často obviňují své protivníky. Mají tito protivníci pravdu takřka tak často, když to popírají? Subjektivně ano. Objektivně ne
.
Subjektivně ano, protože od roku 1789 se lidé hlouběji a hlouběji napájeli z mylných principů této revoluce, natolik, že když jsou obviněni z toho, že se oprošťují od Božího zákona, mohou upřímně odpovědět: „Jakého zákona? Jakého Boha? O čem to mluvíte?“ Do takové míry je Bůh a jeho zákon podle všeho sprovozen ze světa. Objektivně ale ne, protože Bůh a jeho zákon zcela jistě nepřestal existovat a hluboko ve svém nitru to vědí i moderní lidé. Je „neomluvitelné“ říkat, že on neexistuje (Řím. I, 20), a jeho zákon je vepsán do srdcí všech lidí (Řím. II, 15), ať říkají svými ústy cokoliv. Právě zmíněné „upřímně“ si vyžaduje uvozovky – před Boží soudnou stolicí je to jen tím, čím to je.

Mohou pak ty autority Bratrstva sv. Pia X., které v tuto chvíli usilují o vmísení Bratrstva do koncilní Církve popřít, že jsou liberály? Subjektivně jsou bezpochyby přesvědčeni, že činí pro Církev to nejlepší, objektivně však zatvrzele usilují dostat protirevoluční dílo arcibiskupa Lefebvra pod kontrolu záměru Církevních představitelů způsobit, aby liberální revoluce zvítězila jednou provždy. Říkají, že se musí znovu připojit k viditelné Církvi, protože to je katolická Církev. Ale anglikánská „církev“ je stále viditelná po celé Anglii. Činí ji to katolickou? A současní vůdci FSSPX si nemohou neuvědomovat, jak překrucují a potlačují slova arcibiskupa, aby jim zapadal do jejich vize Církve.

Smutnou pravdou je, že tito liberálové nikdy skutečně nepochopili, o čem arcibiskup byl. Když byl naživu, byli okouzlení, tak jako mnozí z nás, jeho katolickým charismatem, nikdy však nepochopili onu víru, která byla jeho charismatu tím, čím je kořen pro plod. Milovali plod – buď jim za to všechna čest – ale nedlouho potom, co odešel, začal plod bez kořene vadnout a umírat. Bylo nevyhnutelné, že pokud oni nepochopí jeho víru, změní jeho Bratrstvo na své. To je to, co jsme viděli a vidíme. Nebesa nám pomáhejte!

Kyrie eleison.

Zdroj:  HTTP://rexcz.blogspot.cz

 

DI NOIA, ANNOYER / DI NOIA, ILUSIONISTA / NEUER ÄRGER, DI NOIA / DI NOIA, CHE ANNOIA / DI NOIA, ANNOYER / DI NOIA, IMPORTUNADOR / DI NOIA, POPICHOVAČ

DI NOIA, ANNOYER

Comentaire Eleison CCXCII

Il y a deux mois le Vice-président de la Commission Pontificale Ecclesia Dei de Rome, a adressé au Supérieur Général de la Fraternité Sacerdotale Saint Pie X et à tous ses prêtres une lettre de plusieurs pages accessible sur l’internet que le Père Lombardi, porte-parole du Saint Siège, a qualifiée d’un « appel personnel ». Depuis lors cette lettre a suscité divers commentaires. Il s’agit évidemment de la dernière manœuvre dans la campagne de Rome destinée à mettre en poche la FSPX et à mettre fin à sa résistance de 40 ans à la Révolution Conciliaire. Ainsi que le disait Mgr de Galarreta au mois d’octobre 2011, même si la FSPX repousse continuellement les offres de Rome, Rome reviendra toujours à la charge. En effet. Mais voyons brièvement ce que Mgr. Di Noia tient à dire à « Son Excellence et chers frères prêtres de la Fraternité Saint Pie X » :–

Il commence par admonester les dirigeants de la Fraternité, en particulier les abbés Schmidberger et Pfluger et Monseigneur Fellay (dans cet ordre) pour avoir donné des entrevues tellement critiques envers Rome qu’on peut se demander si la Fraternité veut réellement se réconcilier avec Rome. De plus, les différences doctrinales entre la FSPX et Rome sont toujours aussi irréductibles. De sorte qu’il faut une nouvelle approche, à baser désormais sur l’unité.

L’unité de l’Église, continue-t-il, est empêchée par quatre vices et favorisée par les quatre vertus opposées : humilité, douceur, patience et charité. Ceux qui divisent l’Église sont des ennemis de Dieu. Tout ce qu’il nous faut, c’est l’amour. Loin de nous donc cette « rhétorique âpre et stérile ». Que la FSPX fasse valoir donc son charisme de former les prêtres, mais des prêtres qui soient dociles au Magistère officiel, qui prêchent sur la Foi et non sur les questions polémiques, et qui au lieu de traiter des problèmes théologiques devant les fidèles peu au courant de ces questions, les exposent devant les autorités compétentes à Rome. Le juge suprême de ces questions si difficiles, c’est le Pape. En conclusion, Benoît XVI est vraiment désireux de la réconciliation. Toute amertume doit être écartée. Comme le dit Notre Seigneur, « Qu’ils soient un » (Fin de la lettre de Mgr. Di Noia).

Observez en passant comment, en homme typiquement moderne et moderniste, l’Archevêque escamote la question essentielle de la doctrine. Mais l’intérêt principal de sa lettre ne réside-t-elle pas ailleurs ? – Étant donné que les relations avec Rome ne sont pas du ressort des prêtres, comment Mgr Di Noia aurait-il eu l’audace de s’adresser personnellement à chacun des prêtres de la FSPX sans une précédente connivence avec le Quartier Général de la FSPX? En effet, c’est bien le QG qui a fait parvenir la lettre à tous ces prêtres! Voici une indication parmi bien d’autres qu’il existe toujours des contacts entre Rome et le QG de la FSPX que l’on maintient dans l’ombre. Mais alors surgit la question : Quel motif le QG de la FSPX peut-il avoir eu pour donner à l’Archevêque moderniste un acc&egra ve;s si privilégié et si dangereux à tous les prêtres de la FSPX ? Ce QG veut-il lui aussi qu’ils se fassent modernistes ? Il faut supposer que non ! Par contre c’est bien possible qu’il veuille aider Rome sur le chemin de la « réconciliation ».

En transmettant l’appel à l’amour de l’Archevêque, le QG de la FSPX réussit à passer le doux message à tous les prêtres de la FSPX sans que personne ne puisse accuser le QG lui-même d’être faible à ce point. Au contraire, la lettre romaine leur fait voir à tous combien les Romains sont gentils. Il est vrai toutefois qu’on y trouve aussi un reproche modéré envers les dirigeants de la FSPX pour leur manque de gentillesse, mais ce reproche ne met-il pas en valeur leur fermeté dans la défense de la Foi ! Surtout, la lettre aura servi de ballon d’essai pour mesurer les réactions des prêtres. Que pensent-ils ? Aussi bien Rome que Menzingen ont besoin de calculer quel sera le bon moment pour foncer dans le processus de la « réconciliation », en sorte d’entraîner la grande majorit&ea cute; des prêtres sans trop en perdre, pour que ne reprenne pas la résistance organisée à la religion du Nouvel Ordre Mondial.

Chers prêtres de la FSPX, si vous ne voulez pas être avalés vivants par la Rome du Nouvel Ordre, je vous conseille en toute douceur de réagir. Faites savoir à vos Supérieurs, aussi discrètement que vous le souhaitez mais en termes clairs, que vous ne voulez n’avoir rien, mais vraiment rien, à faire avec la Rome Conciliaire, tant qu’elle n’abandonne pas clairement le mortel Concile.

Kyrie eleison.

DI NOIA, ILUSIONISTA

Comentario Eleison CCXCII

Hace dos meses el Vice-presidente de la Comisión Pontifical Ecclesia Dei de Roma, dirigió al Superior General de la Fraternidad Sacerdotal San Pío X y a todos sus sacerdotes una carta de varias páginas accesible en el Internet que el Padre Lombardi, vocero de la Santa Sede, designó como una “llamada personal”. Desde entonces dicha carta ha suscitado comentarios diversos. Claramente se trata de la última movida de la campaña de Roma para poner a la FSPX de rodillas, y poner fin a su resistencia de 40 años a la Revolución Conciliar. Como lo dijo Monseñor de Galarreta en Octubre del 2011, aún si la FSPX sigue rechazando los ofrecimientos de Roma, Roma volverá siempre a la carga para seducir a los sacerdotes de la FSPX. Lo vemos. Pero veamos brevemente lo que el Arzobispo Di Noia escribe a “Su Excelencia y queridos Hermanos Sacerdotes de la Fraternidad Sacerdotal San Pío X”:

Empieza por amonestar a los líderes de la Fraternidad, notablemente al Padre Schmidberger, al Padre Pfluger y a Monseñor Fellay (en ese orden) por haber dado entrevistas tan críticas acerca de Roma como para poner en duda si la FSPX quiere realmente la reconciliación con Roma. Más aún, las diferencias doctrinales entre la FSPX y Roma son tan insuperables como siempre. De tal manera que se precisa un nuevo enfoque basado ahora sobre la unidad.

La unidad de la Iglesia, recuerda Mons. Di Noia, está impedida por cuatro vicios y favorecida por las cuatro virtudes opuestas de humildad, mansedumbre, paciencia y caridad. Los que dividen la Iglesia son enemigos de Dios. Lo que nos hace falta es el amor. Lejos pues de nosotros una “retórica áspera e improductiva”. Que la FSPX cumpla con su carisma de formar sacerdotes, pero sacerdotes que sean dóciles al Magisterio oficial, que prediquen la Fe y no las cuestiones polémicas, y que no traten los problemas teológicos frente a laicos, ignorantes de estas cuestiones, sino con las autoridades competentes en Roma. El Papa es el juez supremo en cuestiones tan difíciles. En conclusión, Benedicto XVI quiere realmente la reconciliación. La amargura debe ser olvidada. Según las palabras de Nuestro Señor, “Que sean uno” (Fin de la carta del Arzobispo).

Noten de paso como, según la manera típica del hombre moderno y del modernista, el Arzobispo escamotea la cuestión esencial de la doctrina. Pero el principal interés de su carta radica en otra parte: ¿Cómo pudo el Arzobispo osar dirigirse a todos los sacerdotes de la FSPX sin previa connivencia con el Cuartel General de la FSPX? ¡Es el CG que le permitió que la carta les llegue a los sacerdotes! He aquí una indicación entre muchas otras que hay contactos entre Roma y el CG de la FSPX que se ocultan a la vista pública. Pero entonces se presenta la cuestión, ¿Qué motivo pudo haber tenido el CG de la FSPX para dar al Arzobispo modernista un acceso tan privilegiado y peligroso a todos los sacerdotes de la FSPX? ¿Quiere acaso que ellos también se vuelvan modernistas? ¡Hay que suponer que no! Pero puede muy bien querer ayudar a Roma en vista a la “reconciliación”.

Al transmitir el llamamiento al amor del Arzobispo, el CG de la FSPX hace pasar el dulce mensaje a todos los sacerdotes de la FSPX sin que nadie pueda acusar al propio CG de ser tan blando. Al contrario, la carta Romana les hace ver a todos ellos cuán bondadosos son los Romanos. ¡Si bien es cierto que se encuentra allí también un reproche moderado a los líderes de la FSPX por no ser bondadosos, ¡eso servirá para mostrar cómo ellos se mantienen firmes en la defensa de la Fe! Sobre todo, la carta habrá servido de balón de ensayo para probar las reacciones de los sacerdotes. ¿Qué piensan ellos? Tanto Roma como Menzingen necesitan calcular en que momento preciso se puede seguir adelante con la “reconciliación” para llevarse una amplia mayoría de sacerdotes y sin perder demasiados de ellos, impidiendo asi que continúe la resistencia organizada a la religi&oa cute;n del Nuevo Orden Mundial.

Queridos sacerdotes de la FSPX, si vosotros no queréis ser tragados vivos por la Roma del Nuevo Orden, yo les aconsejaría gentilmente reaccionar. Hagan saber a sus Superiores, tan discretamente como quieran pero en términos claros que vosotros no queréis nada, pero nada que ver con la Roma Conciliar, hasta que ella claramente abandone el mortífero Concilio.
 
Kyrie eleison.

NEUER ÄRGER, DI NOIA

Eleison kommentare CCXCII

Vor zwei Monaten schrieb der Vizepräsident der päpstlichen Kommission Ecclesia Dei in Rom, Erzbischof Di Noia, einen mehrseitigen Brief an den Generaloberen der Priesterbruderschaft St. Pius X. und an all ihre Priester. Der Vatikansprecher Hw. Lombardi nannte den Brief einen „persönlichen Appell“. Schon viele Kommentatoren gingen auf den Brief ein, welcher im Internet erhältlich ist. Er stellt sicherlich den jüngsten Versuch Roms dar, die Bruderschaft gefügig zu machen und ihrem 40jährigen Widerstand gegen die konziliare Revolution ein Ende zu setzen. Schon im Oktober 2011 sagte Bischof de Galarreta, daß, selbst wenn die Bruderschaft Roms Angebote ablehne, so doch Rom immer wieder darauf zurückkommen werde. Eben das bestätigen wir. Betrachten wir nun, was Erzbischof Di Noia in seinem Brief zu sagen hat, welchen er mit den Worten einleitet „Eure Exzellenz und liebe Priesterbrüder von der Priesterbruderschaft St. Pius X.“: –

Zuerst erfolgt eine Mahnung des Erzbischofs an die Bruderschaftsoberen, namentlich an Hw. Schmidberger, Hw. Pfluger und Bischof Fellay (in dieser Reihenfolge), weil ihre rom-kritischen Interviews in Frage stellen würden, daß die Bruderschaft überhaupt eine Versöhnung mit Rom wünsche. Weil außerdem die Lehrunterschiede zwischen Rom und der Bruderschaft so unlösbar seien wie eh und je, werde daher ein neuer Ansatz verfolgt, die Konzentration auf die Einheit.

Der Erzbischof fährt fort, daß die kirchliche Einheit durch vier Laster behindert und durch die vier gegenteiligen Tugenden gefördert werde: durch Demut, Milde, Geduld und Nächstenliebe. Kirchenspalter seien Feinde Gottes, und allein die Liebe genüge. Hinweg also mit der „harten und unproduktiven Rhetorik“, so der Tenor. Die Bruderschaft möge mit ihrem eigenen Charisma fortfahren, Priester auszubilden – Priester allerdings, welche fügsam gegenüber dem offiziellen Lehramt sind, welche den Glauben anstatt Rhetorik predigen und welche theologische Probleme nicht vor dem ungeschulten Laienvolk klären, sondern mit den fachkundigen und zuständigen Behörden in Rom. Und der Papst sei der oberste Richter solcher schwierigen Fragen. Schlußendlich wolle Benedikt XVI. die Versöhnung. Verbitterung müsse geheilt werden. Mit den Worten unseres Herrn: „Mögen sie eins sein.“ (Ende des erzbischöflichen Briefes.)

Beachten wir nebenbei, wie dieser Erzbischof in einer für die modernen Menschen und für die Modernisten typischen Weise die grundsätzliche Frage der Glaubenslehre ausklammert. Doch das eigentlich Interessante an diesem Brief ist etwas anderes: Wie hätte der Erzbischof wagen können, seinen Brief ohne Absprache mit dem Generalhaus der Bruderschaft an alle ihre Priester zu senden? Vielmehr war ihm das Generalhaus dienlich, indem es den Brief an alle seine Priester weiterleitete. Dies ist ein weiterer Hinweis von vielen, daß vor der Öffentlichkeit verborgene Kontakte zwischen Rom und dem Bruderschafts-Generalhaus in Menzingen stattfinden. Die Schlüsselfrage lautet allerdings, welchen Beweggrund das Generalhaus haben konnte, dem modernistischen Erzbischof so einen bevorzugten und gefährlichen Zugang zu all den Bruderschaftspriestern zu gewähren. Möchte das Generalhaus, daß sie ebenfalls Modernisten werden? Vermutlich nicht. Aber es kann durchaus wünschen, Rom zu helfen beim Marsch in die „Versöhnung“.

Durch die bloße Weitergabe des erzbischöflichen Liebes-Appells an die Priester erreicht das Generalhaus, daß diese süße Botschaft alle Priester erreicht, ohne daß jemand das Generalhaus beschuldigen könnte, weich geworden zu sein. Im Gegenteil wird der römische Brief diese Priester alle glauben machen, wie nett die Römer seien. Zwar gibt es den erwähnten sanften Tadel an die Bruderschaftsoberen – daß diese nicht so nett seien –, allerdings dient dieser doch insbesondere der Demonstration, wie fest die Oberen in der Glaubensverteidigung stünden. Vor allen Dingen war der Brief ein Versuchsballon, um die Reaktion der Priester zu erkunden. Wie denken diese darüber? Sowohl Rom als auch Menzingen müssen ermitteln können, an welchem Punkt sie mit der „Versöhnung“ voranschreiten können, so daß diese mit einer großen Mehrheit der Priester erfolgt, ans tatt zu viele Priester zu entfremden, welche dann einen organisierten Widerstand gegen die Neue Weltordnung fortsetzen würden.

Liebe Bruderschaftspriester, wenn Sie nicht bei lebendigem Leibe vom „Rom der Neuen Ordnung“ geschluckt werden wollen, so möchte ich auf schonende Weise empfehlen, daß Sie reagieren. Informieren Sie Ihre Oberen – so diskret wie Sie wünschen, aber in aller Deutlichkeit –, daß Sie nichts, aber auch gar nichts mit dem konziliaren Rom zu tun haben wollen, bevor es nicht eindeutig das Konzil aufgibt

Kyrie eleison.

DI NOIA, CHE ANNOIA

Comentario Eleison CCXCII

Due mesi fa, il Vice Presidente della romana Pontificia Commissione Ecclesia Dei ha scritto una lettera di diverse pagine al Superiore Generale e a tutti i sacerdoti della Fraternità San Pio X, lettera che è accessibile su Internet e che Padre Lombardi, portavoce della Santa Sede, ha definito un “appello personale”. Da allora, la lettera ha suscitato parecchi commenti. Si tratta chiaramente dell’ultima mossa della campagna romana volta a mettere la FSSPX al guinzaglio e a porre fine alla sua quarantennale resistenza alla rivoluzione conciliare. Come ha detto Mons. de Galarreta nell’ottobre 2011, anche se la FSSPX rifiuta le offerte di Roma, questa tornerà sempre alla carica. Ed infatti. Ma vediamo brevemente cos’ha da dire Mons. Di Noia a Sua “Eccellenza e Cari fratelli sacerdoti della Fraternità Sacerdotale San Pio X”:-

Egli comincia con l’ammonire i dirigenti della FSSPX, in particolare Don Schmidberger, Don Pfluger e Mons. Fellay (in questo ordine), per aver rilasciato delle interviste così critiche su Roma, da rimettere in questione il fatto che la FSSPX voglia realmente la riconciliazione con Roma. Prosegue dicendo che le differenze dottrinali tra la FSSPX e Roma sono irrisolvibili come sempre. Quindi, che c’è bisogno di un nuovo approccio che faccia perno sull’unità.

L’unità della Chiesa è ostacolata da quattro vizi e promossa da quattro opposte virtù: umiltà, mansuetudine, pazienza e carità. Coloro che sono contro l’unità della Chiesa sono nemici di Dio. Ciò di cui abbiamo bisogno è amore. Al bando quindi la “retorica aspra e controproducente”. Che la FSSPX adempia il suo carisma della formazione di sacerdoti, ma di sacerdoti che siano docili nei confronti del Magistero ufficiale, che predichino la fede e non facciano polemica, e che trattino i problemi teologici, non di fronte ai laici impreparati, ma con le competenti autorità a Roma. Il Papa è il giudice supremo di tali difficili questioni. In conclusione, Benedetto XVI vuole la riconciliazione. Ogni amarezza dev’essere superata. Nelle parole di Nostro Signore: “Che siano una cosa sola” (fine della lettera dell’Arcivescovo.)

Si noti di passaggio che, com’è tipico dell’uomo moderno e dei modernisti, l’Arcivescovo mette in sordina la questione essenziale della dottrina, così che l’interesse principale di questa lettera sta altrove: l’Arcivescovo, come ha osato indirizzarla a tutti i sacerdoti della Fraternità senza prima aver concordato la cosa con la direzione della FSSPX? Avrà dovuto farlo, perché è da questa direzione che la lettera è stata inoltrata a tutti i sacerdoti della FSSX! Ecco quindi un indizio tra molti altri che vi sono dei contatti fra Roma e la FSSPX che vengono nascosti al pubblico. Ma la domanda che sorge è: qual è il motivo per cui la direzione della FSSPX ha dato all’Arcivescovo modernista un accesso tanto privilegiato e pericoloso, a tutti i sacerdoti della FSSPX? Vuole che anch’essi diventino modernisti? Bisogna supporre che no! Ma potrebbe voler aiutare Roma per la “riconciliazione”.

Trasmettendo l’amorevole appello dell’Arcivescovo, la direzione della FSSPX ha mandato un messaggio morbido a tutti i sacerdoti della FSSPX, senza che nessuno possa accusarla di essere essa stessa morbida. Piuttosto, la lettera romana permetterà di far vedere a tutti, quanto siano dolci i Romani. Vero è che essa contiene un gentile rimprovero ai capi della FSSPX, ma questo servirà a dimostrare quanti essi siano saldi nella difesa della fede! Soprattutto la lettera servirà da banco di prova per testare le reazioni dei sacerdoti. Cosa stanno pensando? Roma e Menzingen hanno bisogno di calcolare quando possono spingere in avanti la “riconciliazione”, in maniera da portarsi dietro una larga maggioranza di sacerdoti e non alienarsene così tanti da permettere la continuazione della resistenza organizzata alla nuova religione del Nuovo Ordine Mondiale.

Cari sacerdoti della FSSPX, se non volete essere fagocitati dal Nuovo Ordine di Roma, io vi consiglio gentilmente di reagire. Fate sapere ai vostri Superiori, con tutta la discrezione che volete, ma senza mezzi termini, che voi non volete avere niente, ma proprio niente, a che fare con la Roma conciliare, fino a quanto essa non abbandonerà chiaramente il Concilio.

Kyrie eleison.

DI NOIA, ANNOYER

Eleison Comments CCXCII

Two months ago the Vice-president of Rome’s Pontifical Commission Ecclesia Dei addressed to the Superior General of the Society of St Pius X and to all its priests a letter of several pages, accessible on the Internet, which Fr. Lombardi as spokesman for the Holy See called a “personal appeal”. The letter has been raising comments ever since. It is clearly the latest move in Rome’s campaign to bring the SSPX to heel, and put an end to its 40-year resistance to the Conciliar Revolution. As Bishop de Galarreta said in October of 2011, even if the SSPX turns down Rome’s offers, still Rome will keep coming back. Sure enough. But let us see briefly what Archbishop Di Noia has to say to “Your Excellency and dear Priestly Brothers of the Society of St Pius X”:–

He begins by admonishing Society leaders, notably Fr Schmidberger, Fr Pfluger and Bishop Fellay (in that order) for giving interviews so critical of Rome as to call in question whether the SSPX really wants reconciliation with Rome. Moreover, doctrinal differences are as intractable as ever between the SSPX and Rome. So he calls for a new approach, focusing on unity instead.

Church unity is hindered by four vices and promoted by the four opposing virtues of humility, mildness, patience and charity. Dividers of the Church are enemies of God. All we need is love. Away then with “harsh and unproductive rhetoric”. Let the SSPX fulfil its charism of forming priests, but priests who will be docile to the official Magisterium, who will preach the Faith and not polemics, and who will treat theological problems not in front of untrained layfolk but with the competent authorities in Rome. The Pope is the supreme judge of such difficult questions. In conclusion, Benedict XVI does want reconciliation. Bitterness must be healed. In Our Lord’s words, “Let them be one.” (End of the Archbishop’s letter.)

Notice in passing how, typically for modern man and for modernists, the Archbishop brackets out the essential question of doctrine, but this letter’s main interest lies elsewhere: how could the Archbishop have dared to address it to all SSPX priests without prior collusion with SSPX HQ? It served him by forwarding the letter to all SSPX priests! Here is one indication amongst many others that there are contacts between Rome and SSPX HQ that are kept from public view. But the question then arises, what motive can SSPX HQ have had to give to the modernist Archbishop such privileged and dangerous access to all SSPX priests? Does it want them to become modernists also? Surely not! But it may well want to help Rome towards “reconciliation”.

By transmitting the Archbishop’s loving appeal, SSPX HQ gets the sweet message through to all SSPX priests without anybody being able to accuse HQ itself of going soft. On the contrary, the Roman letter makes them all see how nice the Romans are. True, there is a gentle rebuke to the SSPX leaders for not being nice, but that will serve to show how these are standing firm in defence of the Faith! Above all, the letter will have served as a trial balloon, to test the priests’ reactions. What are they thinking? Both Rome and Menzingen need to calculate at what point to go ahead with a “reconciliation” such as will carry with it a large majority of the priests, and not alienate so many that organized resistance to the New World Order religion will continue.

Dear SSPX priests, if you do not want to be swallowed alive by New Order Rome, I gently advise you to react. Let your Superiors know, as discretely as you like but in no uncertain terms, that you want nothing, but nothing, to do with Conciliar Rome, until it clearly abandons the Council


Kyrie eleison.

DI NOIA, IMPORTUNADOR

Comentários Eleison CCXCII

Há dois meses o vice-presidente da Comissão Pontifícia Ecclesia Dei endereçou ao Superior Geral da Fraternidade São Pio X e a todos os padres uma carta de várias páginas (disponível na Internet), a qual o porta-voz da Santa Sé, Padre Lombardi, chamou de “apelo pessoal”. A carta suscitou comentários desde então. Ela é claramente o último movimento da campanha de Roma para arrastar a FSSPX, e pôr um fim à resistência de 40 anos à Revolução Conciliar. Como o Bispo de Galarreta disse em outubro de 2011, mesmo que a FSSPX não aceitasse a oferta de Roma, ainda assim Roma continuaria a voltar. Com certeza. Mas vejamos brevemente o que o Arcebispo Di Noia tem a dizer a “Sua Excelência e caros Irmãos Sacerdotais da Fraternidade São Pio X”:
Ele começa admoestando os líderes da Fraternidade, notadamente o Pe. Schmidberger, o Pe. Pfluger e o Bispo Fellay (nessa ordem), tanto por darem entrevistas tão críticas sobre Roma como por questionarem se a FSSPX realmente quer a reconciliação com Roma. Além disso, as diferenças doutrinais seguem intratáveis como sempre entre a FSSPX e Roma. Então ele clama por uma nova abordagem, focando, em vez disso, na unidade.

A unidade da Igreja é impedida por quatro vícios e promovida pelas quatro virtudes opostas da humildade, mansidão, paciência e caridade. Os que dividem a Igreja são inimigos de Deus. Tudo de que precisamos é amor. Fora então com a “retórica áspera e improdutiva”. Deixe-se a FSSPX realizar seu carisma de formar sacerdotes, mas sacerdotes que sejam dóceis ao Magistério oficial, que pregarão a Fé e não polêmicas, e que tratarão de problemas teológicos não na frente de leigos inexperientes, mas com autoridades competentes de Roma. O Papa é o supremo juiz de tais questões difíceis. Em suma, Bento XVI quer uma reconciliação. A amargura deve ser curada. Nas palavras de Nosso Senhor, “Que eles sejam um” (fim da carta do Arcebispo).

Note-se de passagem que, tipicamente para o homem moderno e para os modernistas, o Arcebispo põe entre parênteses a questão essencial da doutrina, mas o principal interesse desta carta reside em outro lugar: como poderia o Arcebispo ter ousado enviá-la a todos os padres da FSSPX sem um prévio conluio com o QG da FSSPX? Este serviu a ele ao repassar a carta a todos os sacerdotes! Eis aí uma indicação entre muitas outras de que há contatos entre Roma e o QG da FSSPX que são mantidos longe da vista do público. Mas então se levanta a questão: que motivo pode ter tido o QG da FSSPX para dar ao Arcebispo modernista um acesso tão privilegiado e perigoso a todos os padres da FSSPX? Querem que eles se tornem modernistas também? Certamente que não! Mas podem bem querer ajudar Roma rumo à “reconciliação”.

Ao transmitir o afetuoso apelo do Arcebispo, o QG da FSSPX leva a doce mensagem a todos os padres da FSSPX sem que ninguém seja capaz de acusar o próprio QG de estar amolecendo. Pelo contrário, a carta do Romano faz com que eles todos vejam como os Romanos são agradáveis. É verdade, há uma reprimenda gentil aos lideres da FSSPX por não serem agradáveis, mas isso serve para mostrar como estes se mantém firmes na defesa da Fé! Acima de tudo a carta terá servido como um balão de ensaio, para testar as reações dos padres. O que eles estão pensando? Ambos, Roma e Menzingen, precisam calcular até que ponto irão adiante com a “reconciliação”, e também como levarão com isso a grande maioria dos padres, e não se indispor com tantos, pois a resistência à religião da Nova Ordem Mundial continuará.

Caros padres da FSSPX, se os senhores não querem ser engolidos vivos pela Nova Ordem de Roma, eu gentilmente aviso aos senhores que reajam. Deixem que seus Superiores saibam, tão discretamente quanto quiserem, mas em termos não incertos, que os senhores não querem ter nada, mas nada a ver com a Roma Conciliar, até que ela claramente abandone o Concílio.    

Kyrie eleison.

Tradução: Mosteiro da Santa Cruz

DI NOIA, POPICHOVAČ

Komentář Eleison CCLXCII

Před dvěma měsíci adresoval místopředseda římské papežské komise Ecclesia Dei generálnímu představenému Bratrstva sv. Pia X. a všem jeho kněžím dopis o několika stranách, jenž je přístupný na internetu, a který P. Lombardi jako mluvčí Svatého stolce nazval „osobní výzvou“. Od té doby tento dopis vyvolává komentáře. Jasně jde o poslední tah v kampani Říma přivést FSSPX k poslušnosti a ukončit jeho čtyřicetiletý odpor vůči koncilnímu Římu. Jak řekl biskup de Galarreta v říjnu 2011, i když FSSPX odmítne římské nabídky, Řím se bude stále vracet. Vskutku. Podívejme se však krátce, co musí arcibiskup Di Noia říci „Vaší Excelenci a milému Kněžskému bratrstvu sv. Pia X.“:

Začíná pokáráním vůdců Bratrstva, především P. Schmidbergera, P. Pflugera a biskupa Fellayho (v tomto pořádku) za to, že poskytují tak kritické rozhovory vůči Římu, jako by chtěli zpochybnit, zda FSSPX opravdu chce smíření s Římem. Mimo to věroučné rozdíly mezi FSSPX a Římem jsou tak neřešitelné jako vždy. Vyzývá tedy k novému přístupu, který se má na místo toho soustředit na jednotu.

Jednotu Církve brzdí čtyři neřesti a podporována je čtyřmi protikladnými ctnostmi pokory, mírnosti, trpělivosti a křesťanské lásky. Ti, kteří Církev rozdělují, jsou nepřáteli Boha. Vše co potřebujeme, je láska. Pryč tedy s „hrubým a neplodným řečněním“. Ať FSSPX naplňuje své charisma formování kněží, ale kněží, kteří budou poslušní oficiálního Magisteria, kteří budou učit Víru a nikoliv polemiky, a kteří budou o teologických problémech jednat nikoliv před neškolenými laiky, ale s kompetentními autoritami v Římě. Papež je nejvyšším soudcem takových obtížných otázek. Nakonec Benedikt XVI. přece chce smíření. Zahořklost musí být zahojena. Slovy Našeho Pána: „Aby jedno byli.“ (Konec arcibiskupova dopisu.)

Všimněte si mimochodem, jak typicky pro moderního člověka a pro modernisty, dává arcibiskup do závorek podstatnou otázku věrouky. Hlavní zájem tohoto dopisu však leží jinde: jak se arcibiskup mohl opovážit adresovat jej všem kněžím FSSPX, aniž by tu předtím existovala tajná dohoda s vedením FSSPX? To mu posloužilo při přeposílání dopisu všem kněžím FSSPX! Zde je jeden z mnoha dalších náznaků, že existují kontakty mezi Římem a vedením FSSPX, které jsou skrývány před pohledem veřejnosti. Pak však vyvstává otázka, jaký může mít vedení FSSPX motiv dát modernistickému arcibiskupovi takový privilegovaný a nebezpečný přístup ke všem kněžím FSSPX? Chce, aby se také stali modernisty? Jistě ne! Může však docela dobře chtít pomoci Římu ke „smíření“.

Předáním arcibiskupovy láskyplné výzvy dostává vedení FSSPX toto nasládlé poselství ke všem kněžím FSSPX, aniž by kdokoliv mohl vedení samotné obvinit, že měkne. Právě naopak dopis Říma jim všem ukazuje, jak milí ti Římané jsou. Pravda, je tu mírná výtka vůči vůdcům FSSPX, že nejsou hodní, to však bude sloužit jako ukázka toho, jak jsou tito pevní při obraně Víry! Především tento dopis poslouží jako pokusný balónek k otestování reakce kněží. Co si myslí? Jak Řím, tak Menzingen musí odhadnout, v jakou chvíli pokročit ve „smíření“ takovém, aby s sebou přineslo velkou většinu kněží a neztratilo podporu tolika, že by organizovaný odpor vůči Novému světovému pořádku pokračoval.

Milí kněží FSSPX, jestliže nechcete být pohlceni Nový římským pořádkem zaživa, jemně vám radím, abyste reagovali. Nechejte své představené tak diskrétně, jak chcete, nikoliv však žádnými nejistými výrazy, vědět, že nechcete mít nic, ale opravdu nic, co dočinění s koncilním Římem, dokud jasně neopustí koncil.

Kyrie eleison.nul nabídku svého kolegy. Opět jsem se odvolal.

Kyrie eleison.

Zdroj:  HTTP://rexcz.blogspot.cz

 

 

QUATRIEME PROCES / CUARTO PROCESO / VIERTER PROZESS / QUARTO PROCESSO / FOURTH TRIAL / QUARTO JULGAMENTO / ČTVRTÉ SOUDNÍ ŘÍZENÍ

QUATRIEME PROCES

Comentaire Eleison CCXCI

Un lecteur m’interroge au sujet de mon dernier procès et de ma condamnation pour « Négation de l’holocauste » par la Cour Régionale de Ratisbonne dans le sud de l’Allemagne le 16 janvier. Les lecteurs se rappelleront que mon infraction initiale fut d’avoir dit le 1ernovembre 2008 à un journaliste suédois pour la télévision suédoise dans cet endroit privé qu’est la sacristie du Séminaire allemand de la Fraternité Saint Pie X, mais sur le territoire Allemand, que je ne croyais ni que « Six Millions de Juifs » soient morts sous le gouvernement d’Hitler lors de la Seconde Guerre mondiale, ni qu’un seul juif soit mort dans une « chambre à gaz ».

Pour avoir exprimé ces croyances en Allemagne, où la « négation de l’holocauste » est un crime juridique, j’ai été jugé et condamné par la Cour Régionale de Ratisbonne en 2010, et le châtiment fut une amende de 10,000 Euros. Je fis appel. La même Cour me condamna à nouveau en 2011, mais l’amende fut réduite à 6,500 Euros. Je fis de nouveau appel, de sorte que le cas fut reporté à une instance supérieure, la Cour Provinciale à Nuremberg, dont on me disait qu’elle était moins sujette aux pressions extérieures. En effet les trois juges rejetèrent le cas pour raisons de procédure, obligeant l’Etat bavarois à payer mes frais légaux, mais lui laissant aussi la possibilité de corriger ces erreurs de procédure et de tout recommencer à nouveau.

Or non seulement ce qui est connu comme l’ « Holocauste » sert, de fait, de religion séculière du Nouvel Ordre Mondial (Auschwitz remplace le Calvaire, les chambres à gaz remplacent la Croix de Notre Seigneur, et les Six Millions jouent le rôle du Rédempteur), mais aussi il me semble que les Allemands depuis la Deuxième Guerre mondiale ont du mal à se respecter eux-mêmes s’ils ne battent pas constamment leur coulpe pour les prétendus crimes du Troisième Reich. Aussi s’acharnent-ils à poursuivre la « Négation de l’holocauste », et le 16 janvier j’ai été jugé pour la troisième fois par une dame juge de Ratisbonne.

Deux avocats allemands luttèrent avec vigueur pour me défendre, mais en vain – je fus condamné de nouveau. Toutefois la dame juge rendit moins honteuse l’accusation, et par compassion pour mon état de chômeur, elle réduisit l’amende à 1,600 Euros. Il ne fait pas de doute que l’Etat bavarois serait heureux de se débarrasser de mon cas, si seulement j’acceptais de payer l’amende notablement réduite. Un noble collègue de la FSPX me demanda le privilège de la payer lui-même en entier. Mais il y va de beaucoup plus que seulement une question d’argent. Une grande nation, la vraie religion et l’ordre mondial de Dieu, sont en jeu.

« La Vérité est puissante et elle prévaudra », disaient les Latins. Aussi toute nation, religion ou Ordre Mondial reposant sur des contre-vérités est fragile, et finira par s’écrouler. Or la vérité se trouve dans la conformité de mon esprit au réel, et non à des désirs d’estime nationale, ni à des sentiments religieux, ni aux exigences d’un Ordre Mondial athée. Et la vérité historique se fonde sur des preuves, dont les plus dignes de confiance sont les éléments matériels du passé, car ils sont en principe indépendants des émotions humaines. « Je suis né, et Je ne suis venu dans le monde que pour rendre témoignage à la vérité », dit Notre Seigneur (Jn.XVIII,37). Que de tranquillité dans les paroles divines!

Donc j’ai refusé aimablement l’offre de mon collègue. J’ai de nouveau fait appel.

Kyrie eleison.

CUARTO PROCESO

Comentario Eleison CCXCI

Un lector me pregunta acerca de mi último proceso y condenación por causa de “Negación del holocausto” por la Corte Regional de Regensburg en el sur de Alemania el 16 de enero. Los lectores se acordarán que mi infracción original fue haberle dicho el 1º de Noviembre de 2008 a un periodista sueco para la televisión sueca en la privacidad de la sacristía del seminario alemán de la Fraternidad San Pío X, pero en suelo alemán, que yo no creía ni que “Seis Millones de Judíos” murieron bajo el gobierno de Hitler durante la Segunda Guerra Mundial, ni que un solo judío haya muerto en una “cámara de gas”.

Por haber expresado estas creencias en Alemania, donde la “negación del holocausto” es un crimen legal, yo fui juzgado y condenado por la Corte Regional de Regensburg en el 2010, y el castigo fue una multa de 10,000 euros. Yo apelé. La misma Corte me condenó de nuevo en el 2011, pero la multa fue reducida a 6,500 euros. Apelé de nuevo, de manera que el caso fue elevado a una instancia superior, la Corte Provincial en Nuremberg, la cual me dijeron está menos influenciada por presiones exteriores. Y los tres jueces desecharon el caso por razones de procedimiento, obligando al Estado Bávaro a pagar mis gastos legales, pero dejándole también la facultad de corregir estos errores de procedimiento y de empezar todo de nuevo.

Ahora bien, no solamente lo que se conoce como el “Holocausto” sirve de hecho como religión secular del Nuevo Orden Mundial (Auschwitz reemplaza el Calvario, las cámaras de gas reemplazan la Cruz de Nuestro Señor y los Seis Millones juegan el papel del Redentor), pero también me parece que a los alemanes, después de la Segunda Guerra Mundial, les cuesta respetarse a sí mismos si no es golpeándose el pecho por los pretendidos crímenes del Tercer Reich. Por eso pelean sin tregua contra la “negación del holocausto”, y el 16 de enero fui juzgado por tercera vez por una jueza de Regensburg.

Dos abogados alemanes lucharon denodadamente en mi defensa, pero en vano – nuevamente fui condenado. Sin embargo la jueza disminuyó la estigmatización que acompaña a la acusación y por compasión a mi estado de desempleado, rebajó de hecho la multa a 1,600 euros. No hay duda de que el Estado Bávaro estaría feliz de desembarazarse del caso, si yo solamente aceptara pagar la notablemente reducida multa. Un noble colega de la FSPX me rogó aceptar el privilegio de pagarlo todo él mismo. Pero lo que está en juego es mucho más que una cuestión de dinero. Una gran nación, la verdadera religión y el Orden Mundial de Dios, están todos involucrados.

“La Verdad es poderosa y ella prevalecerá”, decían los Latinos. Por eso toda nación, religión u Orden Mundial fundados sobre mentiras, son frágiles y acabarán por derrumbarse. Ahora bien, la verdad se encuentra en la conformidad de mi espíritu con la realidad y no con deseos de autoestima nacional, ni con anhelos de religión, ni con exigencias de cualquier Orden Mundial ateo. Y la verdad histórica está fundada sobre pruebas, entre las cuales las más dignas de confianza son los elementos materiales que quedan del pasado, porque ellos son en principio independientes de los sentimientos humanos. “Yo para esto nací y para esto vine al mundo, a fin de dar testimonio a la verdad” dice Nuestro Señor (Jn.XVIII,37). ¡Cuánta tranquilidad en las palabras divinas!

Amablemente he rechazado la oferta de mi colega. De hecho, apelé de nuevo. 

Kyrie eleison.

VIERTER PROZESS

Eleison kommentare CCXCI

Ein Leser fragte nach meiner jüngsten Gerichtsverhandlung und Verurteilung wegen „Holocaust-Leugnung“ vor dem Landgericht Regensburg im Süden Deutschlands. Die Leser werden sich an mein ursprüngliches Delikt erinnern: Am 1. November 2008 sagte ich in einem englischsprachigen Interview für das schwedische Fernsehen dem schwedischen Fernsehmoderator, in der Ungestörtheit der Sakristei des Seminars der Priesterbruderschaft St. Pius X. aber nahe Regensburg auf deutschem Boden, daß ich glaube, weder daß „Sechs Millionen Juden“ unter Hitlers Herrschaft im Zweiten Weltkrieg starben, noch daß ein einziger Jude in einer „Gaskammer“ umgekommen ist.

Für das Äußern dieser Überzeugung wurde ich dann im Jahre 2010 in Deutschland, wo „Holocaust-Leugnung“ ein Straftatbestand ist, vom Regensburger Landgericht angeklagt und zu einer Geldstrafe von 10.000 ⬠verurteilt. Dagegen legte ich Berufung ein, woraufhin dasselbe Gericht mich im Jahre 2011 wiederum verurteilte, diesmal jedoch die Geldstrafe auf 6.500 ⬠reduzierte. Erneut legte ich Berufung ein, wodurch der Fall eine Instanz höher an das Oberlandesgericht Nürnberg wanderte, welches, wie man mir sagte, für Druck von Außen weniger anfällig ist. Die drei Nürnberger Richter verwarfen das Regensburger Urteil aufgrund von Verfahrensmängeln, weswegen das Bundesland Bayern meine Prozeßkosten tragen mußte, ließen dem Landgericht jedoch offen, die Verfahrensmängel zu beseitigen und den Fall neu aufzurollen.

Nun ist ja der sogenannte „Holocaust“ nicht nur die Säkularreligion der Neuen Weltordnung (Auschwitz ersetzt den Kalvarienberg Golgotha, die Gaskammern ersetzen das Kreuz Christi und die Sechs Millionen spielen die Rolle des Erlösers). Sondern mir dünkt, daß die Nachkriegsdeutschen Schwierigkeiten mit ihrer Selbstachtung haben, wenn sie sich nicht stets auf die Brust schlagen wegen der angeblichen Verbrechen des Dritten Reiches. Daher verfolgen sie „Holocaust-Leugnung“ wie Verzweifelte, und so wurde ich am 16. Januar 2013 zum dritten Mal in Regensburg vor einem weiblichen Richter angeklagt.

Zwei deutsche Anwälte kämpften hart aber erfolglos zu meiner Verteidigung, und wieder wurde ich verurteilt. Immerhin verminderte die Richterin die mit dieser Anklage verbundene Stigmatisierung und reduzierte aus Mitleid mit meiner Erwerbslosigkeit die Geldstrafe auf 1.600 â¬. Zweifellos wäre der Freistaat Bayern froh, wenn er den Fall endlich loswerden und ich die stark reduzierte Strafe zahlen würde. Ein nobler Mitbruder aus der Priesterbruderschaft bat mich um das Privileg, die ganze Strafe anstelle von mir zahlen zu dürfen. Doch geht es um viel mehr als nur um Geld. Tatsächlich betroffen sind eine edle Nation, die wahre Religion und Gottes Weltordnung.

„Die Wahrheit ist gewaltig und wird obsiegen“, sagten die Lateiner. Deswegen ist jede Nation, Religion und Weltordnung, welche auf Unwahrheiten basiert, brüchig und wird am Ende zerbröckeln. Wahrheit bedeutet ja, daß wir unser Denken der Wirklichkeit anpassen, anstatt dem Verlangen nationaler Selbstachtung, den gefühlten Bedürfnissen einer Religion oder den Forderungen irgendeiner gottlosen Weltordnung. Und jede historische Wahrheit basiert auf Beweisen, wovon die zuverlässigsten aus den materiellen Überresten der Vergangenheit bestehen, weil sie prinzipiell von menschlichen Gefühlen unabhängig sind. „Ich bin dazu geboren und dazu in die Welt gekommen, daß ich Zeugnis gebe für die Wahrheit.“ (Johannes 18,37). Welche Ruhe diese göttlichen Worte doch ausstrahlen.

Somit lehnte ich also das Angebot meines Priesterbruders lieblich ab. Denn ich habe erneut Berufung eingelegt. 

Kyrie eleison.

QUARTO PROCESSO

Comentario Eleison CCXCI

Un lettore mi chiede del mio ultimo processo e della condanna per “negazione dell’Olocausto” emessa dal Tribunale Regionale di Ratisbona, nella Germania del Sud, il 16 gennaio. I lettori ricorderanno che la mia colpa originaria è stata quella di aver detto ad un intervistatore della televisione svedese, il 1 novembre del 2008, nell’intimità della sagrestia del seminario tedesco della Fraternità San Pio X, ma in territorio tedesco, che io credevo che né “sei milioni di Ebrei” fossero morti sotto il regime di Hitler nella seconda guerra mondiale, né che un solo Ebreo fosse morto in una “camera a gas”.

Per aver espresso queste convinzioni in Germania, dove la “negazione dell’Olocausto” è un reato penale, nel 2010 fui condannato dal Tribunale Regionale di Ratisbona, e la pena avrebbe dovuto essere di ⬠10.000 di multa. Io presentai appello. Lo stesso Tribunale mi condannò di nuovo nel 2011, ma la multa venne ridotta a ⬠6.500. Mi appellai ancora, così che il caso passò ad un organismo superiore, il Tribunale Provinciale di Norimberga, che, mi avevano detto, fosse meno soggetto alle pressioni esterne. Qui i tre giudici annullarono il processo per vizi procedurali, e imposero allo Stato bavarese il pagamento delle mie spese legali, ma lasciandolo libero di correggere gli errori procedurali e di ricominciare tutto daccapo.

Ora, non solo ciò che è noto come “Olocausto” serve come religione secolare del Nuovo Ordine Mondiale (Auschwitz che rimpiazza il Calvario, le camere a gas che rimpiazzano la Croce di Nostro Signore e i sei milioni che fanno la parte del Redentore), ma mi sembra che i Tedeschi del dopoguerra abbiano difficoltà a rispettare loro stessi se constantemente non si battono il petto per i presunti crimini del Terzo Reich. Così perseguono la “negazione dell’Olocausto” come una sorta di rivalsa dettata dalla disperazione, e il 16 gennaio sono stato processato per la terza volta davanti ad un giudice donna di Ratisbona.

Due avvocati tedeschi hanno lottato duramente per la mia difesa, ma invano - Sono stato condannato di nuovo. Tuttavia, la giudice ha ridimensionato l’aspetto morale dell’accusa e, avuta compassione per la mia condizione di disoccupato, ha ridotto la multa a ⬠1.600. Non c’è dubbio che lo Stato della Baviera sarebbe stato ben felice di sbarazzarsi del caso, se solo io avessi accettato di pagare la multa così tanto ridotta. Un nobile collega della FSSPX mi ha chiesto di concedergli il privilegio di pagare tutto lui. Ma qui è in giuoco molto più che il solo denaro. Qui sono coinvolti: una grande nazione, la vera religione e l’ordine mondiale di Dio.

“La verità è potente e prevarrà”, dicevano i Latini. Così, ogni nazione, religione o Ordine Mondiale che si fondi sulla menzogna, è fragile e alla fine crollerà. Ora, la verità poggia sulla corrispondenza della mia mente con la realtà e non con gli auspici di un nazionale rispetto di sé, né con i bisogni provati da una religione, né tampoco con le esigenze di un Ordine Mondiale senza Dio. E la verità storica scaturisce dalle prove, di cui le più affidabili sono i resti materiali del passato, perché sono in principio indipendenti dalle emozioni umane. “Per questo sono nato e per questo sono venuto al mondo; per rendere testimonianza alla verità”, dice Nostro Signore (Gv. XVIII, 37). Che tranquillità nelle parole divine!

Ho gentilmente rifiutato l’offerta del mio collega. Ho presentato di nuovo appello.

Kyrie eleison.

FOURTH TRIAL

Eleison Comments CCXCI

A reader asks about my latest trial and condemnation for “Holocaust denial” by the Regional Court of Regensburg in South Germany on January 16. Readers will remember that my original offence was on November 1, 2008, to have told a Swedish interviewer for Swedish TV in the privacy of the sacristy of the German Seminary of the Society of St Pius X, but on German soil, that I believed neither that “Six Million Jews” died under Hitler’s rule in the Second World War, nor that one single Jew died in a “gas-chamber”.

For expressing these beliefs in Germany, where “holocaust denial” is a statutory crime, I was tried and condemned by the Regensburg Regional Court in 2010, and the punishment was to be a fine of €10,000. I appealed. The same Court condemned me again in 2011, but the fine was reduced to €6,500. I appealed again, so the case went higher, to the Provincial Court in Nuremberg, which I was told is less subject to outside pressure. And the three judges dismissed the case on procedural grounds, obliging the Bavarian State to pay my legal expenses, but also leaving it free to correct its procedural errors and start all over again.

Now not only does what is known as the “Holocaust” serve as the secular religion of the New World Order (Auschwitz replaces Calvary, the gas-chambers replace the Cross of Our Lord, and the Six Million play the part of the Redeemer), but also it seems to me that the post-World War II Germans have difficulty in respecting themselves unless they are beating their breast for the alleged crimes of the Third Reich. So they pursue “Holocaust denial” with a vengeance, and on January 16 I was prosecuted for the third time in front of a lady judge of Regensburg.

Two German lawyers fought hard in my defence, but in vain - I was condemned again. However the lady judge did lessen the stigma attaching to the accusation, and out of compassion for my unemployed state she did reduce the fine to €1,600. No doubt the Bavarian State would be happy to be rid of the case, if only I would accept to pay the much reduced fine. A noble colleague in the SSPX begged for the privilege to pay it all by himself. But much more than just money is at stake. A great nation, the true religion and God’s World Order are all involved.

“Truth is mighty and will prevail”, said the Latins. So any nation, religion or World Order resting on untruths is fragile and will crumble in the end. Now truth lies in the matching of my mind to reality, and not to cravings for national self-respect, nor to felt needs of religion, nor to the demands of any godless World Order. And historical truth goes by evidence, the most reliable kind of which is the material relics of the past, because these are in principle quite independent of human emotions. “For this was I born, and for this I came into the world; that I should give testimony to the truth,” says Our Lord (Jn. XVIII, 37). What tranquillity in the divine words!

I kindly refused my colleague’s offer. I have appealed again.


Kyrie eleison.

 QUARTO JULGAMENTO

Comentários Eleison CCXCI

Um leitor pergunta sobre o meu mais recente julgamento e condenação de “negação do Holocausto” pelo Tribunal Regional de Regensburg na Alemanha do Sul, em 16 de janeiro. Os leitores vão se lembrar de que o meu delito original foi em 1 de novembro de 2008, quando eu teria dito a um entrevistador sueco, para a TV sueca, na privacidade da sacristia do Seminário alemão da Fraternidade São Pio X - mas em solo alemão -, que não acreditava nem que “seis milhões de judeus” morreram sob o regime de Hitler na Segunda Guerra Mundial, nem que um único judeu morreu em uma “câmara de gás”.

Por ter expressado essas crenças na Alemanha, onde a “negação do Holocausto” é um crime legal, e eu fui julgado e condenado pelo Tribunal Regional de Regensburg em 2010. A punição seria uma multa de € 10.000. Apelei. O mesmo tribunal condenou-me de novo em 2011, mas a multa foi reduzida para € 6.500. Apelei novamente, e então o caso foi elevado para o Tribunal Provincial em Nuremberg, que me foi dito ser menos sujeito à pressão externa. E os três juízes rejeitaram o caso por razões processuais, obrigando o Estado da Baviera a pagar as minhas despesas legais, mas também o deixando livre para corrigir seus erros processuais e começar tudo de novo.

Agora, não só o que é conhecido como o “Holocausto” serve à religião secular da Nova Ordem Mundial (Auschwitz substitui o Calvário, as câmaras de gás substituem a cruz de Nosso Senhor, e seis milhões desempenham o papel de Redentor), mas também me parece que os alemães pós-Segunda Guerra Mundial têm dificuldade de respeitar-se a si mesmos a menos que eles estejam batendo no peito pelos supostos crimes do Terceiro Reich. Então eles perseguem com ímpeto a “negação do Holocausto”, e em 16 de janeiro eu fui processado pela terceira vez na frente de uma senhora juíza de Regensburg.

Dois advogados alemães lutaram muito em minha defesa, mas em vão - eu fui condenado novamente. No entanto, a senhora juíza fez diminuir o estigma inerente à acusação, e por compaixão para com o meu estado de desempregado ela reduziu a multa para € 1.600. Sem dúvida, o Estado da Baviera ficaria feliz em se livrar do caso, se eu apenas aceitasse pagar a multa muito reduzida. Um nobre colega da FSSPX pediu para ter o privilégio de pagar tudo sozinho. Mas muito mais do que apenas dinheiro está em jogo. Uma grande nação, a verdadeira religião e a Ordem Mundial de Deus estão envolvidos.

“A verdade é poderosa e prevalecerá”, disseram os latinos. Assim, qualquer nação, religião ou Ordem Mundial repousando em inverdades é frágil e irá desmoronar no final. Ora, a verdade está na correspondência da minha mente com a realidade, e não com os desejos de autorrespeito nacional, nem as suscetibilidades religiosas, nem as exigências de qualquer Ordem Mundial sem Deus. E a verdade histórica passa pela evidência, da qual o tipo mais confiável é o das relíquias materiais do passado, porque estas são, em princípio, bastante independentes das emoções humanas. “Para isso nasci e para isto vim ao mundo; para dar testemunho da verdade”, diz o Senhor (Jo XVIII, 37). Que tranquilidade nas palavras divinas!
Eu gentilmente recusei a oferta do meu colega. Apelei novamente.

 
Kyrie eleison.

Tradução: Mosteiro da Santa Cruz

ČTVRTÉ SOUDNÍ ŘÍZENÍ

Komentář Eleison CCLXCI

 Jeden čtenář se ptá na mé poslední soudní řízení a odsouzení 16. ledna u oblastního soudu v Řezně na jihu Německa za „popírání holocaustu“. Čtenáři si vzpomenou, že mé původní přestoupení zákona bylo, že jsem 1. listopadu 2008 řekl švédskému novináři v rozhovoru pro švédskou televizi v soukromí v sakristii německého semináře Bratrstva sv. Pia X., ale na německé půdě, že nevěřím, že „šest milionů Židů“ zemřelo za Hitlerovy vlády za druhé světové války, ani že jediný Žid zemřel v „plynové komoře“.

Za to, že jsem vyjádřil tyto názory v Německu, kde je „popírání holocaustu“ ze zákona trestným činem, jsem byl souzen a odsouzen řezenským oblastním soudem v roce 2010 a trestem mělo být zaplacení pokuty 10 tisíc euro. Odvolal jsem se. Tentýž soud mě v roce 2011 odsoudil znovu, ale pokuta byla snížena na 6,5 tisíce euro. Znovu jsem se odvolal, takže případ putoval výše k provinčnímu soudu v Norimberku. Bylo mi řečeno, že ten bude méně předmětem vnějšího tlaku. A tři soudcové zamítli tento případ na procedurálním základě a uložili Státu Bavorsko zaplatit mé soudní výlohy, nechali mu však také svobodu napravit procedurální chyby a začít vše znovu.

Nejenže to, co je známo jako „holocaust“ slouží jako světské náboženství Nového světového pořádku (Osvětim nahrazuje Kalvárii, plynové komory nahrazují Kříž Našeho Pána a šest milionů hraje úlohu Vykupitele), ale také se mi zdá, že poválečné Německo má potíž s úctou k sobě samému, pokud se nebude bušit v prsa pro domnělé zločiny Třetí říše. Pronásleduje tedy mimořádně intenzívně „popírání holocaustu“ a 16. ledna jsem byl potřetí soudně stíhán před soudkyní z Řezna.

Dva němečtí právníci tvrdě bojovali na mou obranu, ale marně – opět jsem byl odsouzen. Soudkyně však umenšila cejch hanby spojený s obviněním a ze soucitu kvůli tomu, že jsem nezaměstnaný, snížila pokutu na 1 600 euro. Stát Bavorsko by byl nepochybně šťastný, kdyby se zbavil tohoto případu, kdybych jen přijal, že mám zaplatit o hodně sníženou pokutu. Šlechetný kolega z FSSPX mě snažně prosil o výsadu zaplatit pokutu celou sám. V sázce je však mnohem víc než peníze. Velký národ, pravé náboženství a Boží světový řád, to vše je zahrnuto.

„Pravda je mocná a zvítězí,“ říkali Latiníci. Takže jakýkoliv národ, náboženství nebo světový pořádek založený na nepravdách, je křehký a nakonec se zhroutí. Pravda spočívá ve shodě mého myšlení s realitou a nikoliv v touze po národní sebeúctě, ani v pociťovaných náboženských potřebách, ani na požadavcích nějakého bezbožného Nového pořádku. A dějinná pravda stojí na důkazech, jejichž nejspolehlivějším druhem jsou hmotné pozůstatky minulosti, protože toto jsou zásady zcela nezávislé na lidských emocích. „Já jsem se k tomu narodil, a proto jsem přišel na svět, abych vydal svědectví pravdě.“ Jaký pokoj v těchto Božích slovech!

Zdvořile jsem odmítnul nabídku svého kolegy. Opět jsem se odvolal 

Kyrie eleison.

Zdroj:  HTTP://rexcz.blogspot.cz

 

 

LA PRIÈRE DE SAINTE THÉRESE / LA ORACIÓN DE SANTA TERESA / GEBET DER HL. THERESA / PREGHIERA DI TERESA DI AVILA / THERESA’S PRAYER /ORAÇÃO DE TERESA /MODLITBA SV. TEREZIE

LA PRIÈRE DE SAINTE THÉRESE

Comentaire Eleison CCXC

 Il est frappant de voir à quel point Dieu ne compte plus pour rien dans la vie du plus grand nombre d’âmes autour de nous aujourd’hui. C’est en Lui que chacun de nous « vit, se meut et existe » (Actes XVII, 28). Sans Lui nous ne pouvons lever un doigt, penser une pensée ni faire une seule action naturellement bonne, encore moins une action surnaturellement bonne. Tout ce que nous pouvons faire, de nous-mêmes, sans Lui, c’est pécher, et même alors l’action peccamineuse en tant qu’action vient de Dieu, seul ce qui en elle est peccamineux vient de nous, car ce qui en elle la rend peccamineuse n’est pas quelque chose de positif mais de défectif, du non-être.

Et cependant la grande majorité d’âmes autour de nous traitent Dieu comme s’Il n’existait pas, ou si tant est qu’Il existe, comme s’Il n’avait aucune importance. C’est un état de fait absolument incroyable. Et qui devient pire de jour en jour. Cela ne peut pas durer. Cela ne peut se comparer qu’avec l’état de l’humanité du temps de Noé. La corruption des hommes à cette époque-là était telle (Gen. VI, 11-12) que si Dieu ne voulait pas leur retirer l’usage de leur plus précieux don, le libre arbitre – et voyez seulement comment la plupart des hommes réagissent lorsqu’on essaie de les forcer à faire quelque chose! – alors l’unique manière qu’ils Lui laissaient de sauver encore un nombre important d’entre eux, c’était de leur infliger un châtiment universel où ils eussent néanmoins le temps de se repentir. Ce fut le Déluge, un événement dont l’historicité est établie par une abondance de preuves géologiques.

De même aujourd’hui, le seul moyen que l’humanité est en train de laisser à Dieu pour qu’il sauve encore un grand nombre d’âmes de l’horreur de leur propre choix de la damnation éternelle, c’est un châtiment universel. Comme au temps de Noé, la miséricorde de Dieu rend virtuellement certain qu’à l’immense majorité des âmes il sera donné le temps et le préavis nécessaires pour qu’elles se sauvent si elles le désirent. Et plus tard, beaucoup parmi le grand nombre qui sera sauvé (hélas, ce ne sera pas la majorité) reconnaîtront que seul le châtiment les a empêchés de se laisser entraîner jusqu’en Enfer par la corruption actuelle.

De toute façon, il sera facile pour tous de se laisser effrayer par l’explosion de la juste colère de la majesté de Dieu. Même à des kilomètres et des kilomètres de distance, les israélites furent terrifiés par la démonstration de sa puissance au sommet du Mont Sinaï (Exode XX, 18). A notre époque il sera bon de se rappeler la célèbre prière de Sainte Thérèse d’Avila:

Que rien ne te trouble,
Que rien ne t’effraie,
Tout passe,
Dieu ne change pas.
La patience
Obtient tout.
Celui qui a Dieu
Ne manque de rien.
Dieu seul suffit.

Cœur Sacré de Jésus, en Vous je mets toute la confiance dont je suis capable. Mais aidez mon manque de confiance!

 LA ORACIÓN DE SANTA TERESA

Comentario Eleison CCXC

Es extraordinario ver a que punto Dios está hoy perdido para la gran mayoría de las almas alrededor nuestro. Es en El que cada uno de nosotros “vivimos y nos movemos y existimos” (Hech.XVII,28). Sin El no podemos ni levantar un dedo, pensar un solo pensamiento ni realizar cualquier acción naturalmente buena, menos aún cualquier acción sobrenaturalmente buena. Todo lo que podemos hacer por nosotros mismos, sin El, es pecar y, aún así, la acción pecaminosa como acción proviene de Dios; sólo lo que en ella es pecaminoso proviene de nosotros mismos, porque lo que la hace pecaminosa no es en sí mismo un ser positivo sino un defecto de ser, una privación voluntaria de ser.

Sin embargo, la mayoría de las almas alrededor nuestro lo tratan a Dios como si El no existiera, o, en el caso de que sí realmente El existe, es como si no tuviera importancia. Es verdaderamente un estado de cosas increíble. Empeora día a día. No puede durar. Solamente puede ser comparado con el estado de la humanidad en el tiempo de Noé. La corrupción de los hombres en aquel tiempo era tal (Gen.VI,11-12) que, a menos que Dios les quitara el uso de su mas preciado privilegio, su libre-albedrío –¡ y simplemente vean como la mayoría de los hombres reaccionan cuando uno trata de forzarlos a hacer algo!– el único camino entonces que los hombres le dejaron a Dios para salvar un número importante de almas, fue infligir un castigo universal, durante el cual, no obstante, tuvieran tiempo de arrepentirse. Ese fue el Diluvio, un evento histórico corroborado por una masa de evidencia s geológicas.

Del mismo modo hoy, el único camino que la humanidad le está dejando a Dios para salvar todavía un número importante de almas del horror de condenarse a sí mismas para la eternidad, es seguramente un castigo universal. Tal como en el tiempo de Noé, la misericordia de Dios hace prácticamente seguro que al enorme número de almas, sino a todas, les será dado el tiempo y el conocimiento necesarios para salvarse a sí mismas si ellas lo desean. Y después, muchas del gran número que habrán sido salvadas (¡Ay!, no la mayoría) reconocerán que solamente aquel castigo las salvó de ser arrastradas con la corrupción actual, todo el camino hacia abajo hasta el Infierno.

Con todo, será fácil estar espantado por la explosión de la justa ira de un Dios majestuoso. Desde kilómetros y kilómetros de distancia, los Israelitas estaban aterrados por la demostración de Su poder en la cima del Monte Sinaí (Exod.XX,18). En nuestros propios tiempos será bueno recordar la famosa oración de Santa Teresa de Avila:

Nada te turbe,
Nada te espante,
Todo se pasa,
Dios no se muda.
La paciencia
Todo lo alcanza.
Quien a Dios tiene
Nada le falta.
Sólo Dios basta.

Sagrado Corazón de Jesús, toda la confianza de la que soy capaz, la pongo en Ti. ¡Ayuda a mi falta de confianza!

Kyrie eleison.

 GEBET DER HL. THERESA

Eleison kommentare CCXC

Es ist schier unbegreiflich, wie weit die Mehrzahl der Menschen von Gott abgekommen ist. Dabei ist doch er es, in welchem „wir leben, uns bewegen und sind“ (Apostelgeschichte 17,28). Ohne ihn können wir keinen Finger bewegen, keinen Gedanken hegen und keine natürlich gute Tat vollbringen, ganz zu schweigen von einer übernatürlich guten Tat. Ohne ihn können wir nur eines tun: sündigen – und selbst dann kommt bei der sündigen Tat die Tat an sich von Gott, während nur ihre Sündhaftigkeit von uns stammt. Denn die Sündhaftigkeit für sich allein genommen ist kein Wesen, sondern ein Mangel an Wesen.

Trotzdem behandelt die große Masse der Menschen Gott so, als ob er nicht existiere; oder wenn sie ihm eine Existenz zubilligt, dann behandelt sie ihn, als ob er keinerlei Bedeutung habe. Das ist ein wahrhaft unfaßbarer Stand der Dinge, welcher von Tag zu Tag schlimmer wird und der gewiß nicht andauern kann. Der heutige Zustand der Menschheit ist vergleichbar nur mit der Zeit Noahs. Die Verderbtheit der damaligen Menschen war an einem Punkt angelangt (Genesis 6,11-12), an welchem Gott nur noch ein Mittel zur Rettung einer beachtlichen Zahl von Menschen übrigblieb, wenn er ihnen ihr kostbarstes Talent, den freien Willen, lassen wollte – und beobachten wir doch nur, wie die Menschen reagieren, wenn jemand sie zu etwas zwingen will. Jenes Mittel war eine umfassende Züchtigung über die Menschen zu verhängen, während der sie allerdings noch Zeit zur Umkehr haben würden. Das war die Sintflut – ein historisches Ereignis, welches durch eine Unzahl geologischer Belege erwiesen ist.

Auf ähnliche Weise ist in den Augen Gottes gewiß auch heute eine weltweite Züchtigung das einzige Mittel, welches die Menschheit ihm gelassen hat, um wenigstens eine große Zahl von Menschen vor dem Grauen bewahren zu können, daß sie selber sich in die ewigen Verdammnis stürzen. Wie zur Zeit Noahs wird die Barmherzigkeit Gottes auch heute praktisch sicherstellen, daß bei weitem der größten Anzahl von Seelen – wenn nicht allen – die nötige Zeit und Erkenntnis zuteil wird, sich zu retten, wenn sie wollen. Im Nachhinein werden dann viele aus dieser großen Zahl von Geretteten (letztere werden leider nicht die Mehrheit sein) erkennen, daß nur diese Züchtigung sie davon abhielt, durch die heutige Verderbtheit in die Hölle mitgerissen zu werden.

Allerdings werden wir schnell erzittern vor dem sich entladenden gerechten Zorn eines majestätischen Gottes. Die Demonstration seiner Macht auf dem Gipfel des Berges Sinai erschreckte die Israeliten noch meilenweit (Exodus 20,18). Wir tun also in unserer Zeit gut daran, das berühmte Gebet der Hl. Theresa von Avila in Erinnerung zu rufen:

Nichts soll Dich ängstigen,      Nada te turbe,
nichts Dich schrecken.            Nada te espante,
Alles geht vorüber,                 Todo se pasa,
Gott allein bleibt derselbe.      Dios no se muda.
Alles erreicht                         La paciencia
der Geduldige.                      Todo lo alcanza.
Und wer Gott hat,                  Quien a Dios tiene
der hat alles.                        Nada le falta.
Gott allein genügt.                 Solo Dios basta.

Heiligstes Herz Jesu, all das Vertrauen, welches ich fassen kann, lege ich in dich. Hilf doch meinem Mangel an Vertrauen!

Kyrie eleison.

PREGHIERA DI TERESA DI AVILA

Comentario Eleison CCXC

È straordinario fino a che punto un gran numero di anime intorno a noi oggi abbia perduto Dio. È in Lui che ognuno di noi “vive, si muove, esiste” (Atti, XVII, 28). Senza di Lui non possiamo alzare un dito, formulare un pensiero o fare qualsiasi buona azione naturale, per non parlare di qualsiasi buona azione soprannaturale. Tutto quello che possiamo fare da soli, senza di Lui, è peccare, e anche in questo caso l’azione peccaminosa, in quanto azione, viene da Dio, solo la sua peccaminosità viene da noi stessi, perché la peccaminosità di per sé è qualcosa non di positivo, ma di manchevole.

Eppure, la massa di anime intorno a noi tratta Dio come se non esistesse o, se esiste, come se Egli non avesse alcuna importanza. È uno stato di cose veramente incredibile. Si peggiora di giorno in giorno. Non può durare. Esso si può paragonare solo alla condizione del genere umano al tempo di Noè. A quel tempo, la corruzione degli uomini era tale (Gen. VI, 11-12) che tranne che Dio non avesse tolto loro l’uso della loro dote più preziosa, il loro libro arbitrio – e si vede come reagisce la maggior parte degli uomini quando si cerca di costringerli a fare qualcosa – il solo modo che Gli lasciarono per salvarne un numero significativo fu quello di infliggere loro un castigo universale, nel quale avrebbero avuto comunque il tempo di pentirsi. E fu il diluvio universale, un evento storico provato da un gran numero di prove geologiche.

Allo stesso modo oggi, un castigo mondiale è sicuramente, al cospetto di Dio, l’unico modo che l’umanità Gli ha lasciato perché un gran numero di anime si possa ancora salvare dall’orrore di dannarsi per l’eternità. Come al tempo di Noè, la misericordia di Dio rende praticamente certo che a tale gran numero di anime, se non a tutte, sarà dato il tempo e le conoscenze necessarie per salvare se stesse, se lo desiderano. E dopo, molti in questo gran numero che sarà salvato (ahimè, non la maggioranza), riconosceranno che solo quel castigo li ha salvati dal lasciarsi trascinare giù in fondo all’Inferno a causa della corruzione odierna.

Eppure, sarà facile essere spaventati dall’esplosione della giusta collera di un Dio maestoso. A miglia e miglia di distanza gli Israeliti furono terrificati dalla dimostrazione del Suo potere sulla cima del Monte Sinai (Es. XX, 18). Ai nostri tempi, sarà bene ricordare la famosa preghiera di Santa Teresa d’Avila:


Nada te turbe,         Nulla ti turbi,
Nada te espante,     Nulla ti spaventi.
Todo se pasa,         Tutto passa,
Dios no se muda.    Dio non cambia.
La paciencia            La pazienza
Todo lo alcanza.      Tutto ottiene.
Quien a Dios tiene   Chi a Dio si aggrappa
Nada le falta.           Nulla gli manca.
Solo Dios basta.       Dio solo basta.

Sacro Cuore di Gesù, tutta la fiducia di cui sono capace, io la pongo in Te. Aiuta la mia mancanza di fiducia!

Kyrie eleison.

THERESA’S PRAYER

Eleison Comments CCXC

It is extraordinary how far God is lost to the great number of souls around us today. It is in him that every one of us “lives and moves and has his being” (Acts, XVII, 28). Without him we cannot lift a finger, think a thought or do any naturally good action, let alone any supernaturally good action. All that we can do by ourselves, without him, is to sin, and even then the sinful action as action comes from God, only its sinfulness comes from ourselves, because the sinfulness is in itself something not positive but defective.

Yet the mass of souls around us treat God as though he does not exist, or, if he does exist, as though he is of no importance. It is a truly incredible state of affairs. It is getting worse day by day. It cannot last. It can only be compared with the state of mankind in the time of Noah. Men’s corruption at that time was such (Gen. VI, 11-12) that unless God took away from them the use of their most precious endowment, their free-will - just see how most men react when one tries to force them to do something! - then the only way they left for him to save any significant number of them was to inflict a universal chastisement in which they would nevertheless have time to repent. That was the Flood, a historical event proved by a mass of geological evidence.

Similarly today, a worldwide chastisement is surely, before God, the only way that mankind has left for him to save still any large number of souls from the horror of their damning themselves for eternity. As in Noah’s time, the mercy of God makes it virtually certain that the huge number of souls will be given the time and knowledge necessary to save themselves if they wish. And afterwards many of the large number that will be saved (alas, not the majority) will recognize that only that chastisement saved them from drifting with today’s corruption all the way down to Hell.

Still, it will be easy to be frightened by the explosion of the just anger of a majestic God. From miles and miles away the Israelites were terrified by a demonstration of his power on the top of Mount Sinai (Exod. XX, 18). In our own times it will be well to recall the famous prayer of St Theresa of Avila (given here with a rhyming translation into English to facilitate memorisation):–

Nada te turbe               Let nothing fret you
Nada te espante           Nothing upset you.
Todo se pasa               Everything falters
Dios no se muda.         God never alters.
La paciencia                Patience withal
Todo lo alcanza.           Will obtain all.
Quien a Dios tiene       Who to God will cling
Nada le falta.               Can lack for no thing.
Solo Dios basta.           God alone is enough.

Sacred Heart of Jesus, I put in you all the trust I can lay my hands on. But help my lack of trust!

Kyrie eleison.

 ORAÇÃO DE TERESA

Comentários Eleison CCXC

É extraordinário o quanto Deus está perdido para o grande número de almas que nos rodeia hoje. É Nele que cada um de nós "vive e se move e tem seu ser" (Atos, XVII, 28). Sem Ele não podemos levantar um dedo, ter um pensamento ou fazer qualquer ação naturalmente boa, e muito menos qualquer ação sobrenaturalmente boa. Tudo o que podemos fazer por nós mesmos, sem Ele, é pecar, e mesmo assim a ação pecaminosa como ação vem de Deus, e só a sua pecaminosidade vem de nós mesmos, porque o pecado é em si algo não positivo, mas defeituoso.

No entanto, a massa das almas em torno de nós trata Deus como se Ele não existisse, ou, se existe, como se Ele não tivesse nenhuma importância. É um estado de coisas verdadeiramente incrível. Isso está ficando pior a cada dia. Não pode durar. É algo que só pode ser comparado ao estado da humanidade no tempo de Noé. A corrupção dos homens naquele momento era tal (Gen. VI, 11-12) que, a menos que Deus lhes tirasse o uso de seu dom mais precioso, o seu livre-arbítrio - basta ver como a maioria dos homens reage quando alguém tenta forçá-los a fazer alguma coisa! -, a única maneira que eles deixaram para Ele salvar um número significativo deles foi infligir um castigo universal em que, não obstante, tivessem tempo para se arrepender. Esse foi o Dilúvio, um fato histórico comprovado por uma massa de evidências geológicas.

Da mesma forma, hoje, um castigo em todo o mundo é, sem dúvida, diante de Deus, a única maneira que a humanidade tem deixado para Ele salvar ainda qualquer grande número de almas do horror de elas condenarem a si mesmas para a eternidade. Como no tempo de Noé, a misericórdia de Deus torna praticamente certo que a um grande número de almas será dado o tempo e os conhecimentos necessários para salvarem-se, se assim o desejarem. E depois, muitos do grande número que será salvo (infelizmente, não a maioria) irão reconhecer que só aquele castigo os salvou de se dirigirem com a corrupção de hoje direto para o Inferno.

Ainda assim, será fácil ficar assustado com a explosão da justa ira de um Deus majestoso. A milhas e milhas de distância os israelitas ficaram aterrorizados por uma demonstração de seu poder no topo do Monte Sinai (Ex XX, 18). Em nossos tempos, será bom recordar a famosa oração de Santa Teresa de Ávila:

      Nada te turbe.
      Nada te espante.
      Tudo passa.
      Deus não muda.
      A paciência tudo alcança.
      Quem a Deus tem nada lhe falta.
      Só Deus basta!


Sagrado Coração de Jesus, toda a confiança que tenho, eu deposito no Senhor. Auxilia a minha incredulidade!


Kyrie eleison.

Tradução: Mosteiro da Santa Cruz

MODLITBA SV. TEREZIE

Komentář Eleison CCLXC

Je pozoruhodné, jak dalece je dnes Bůh ztracen velkému množství duší kolem nás. Neboť v něm každý z nás „žijeme a dýcháme i trváme“ (Skutky XVII, 28). Bez něj nemůžeme pohnout prstem, myslet jedinou myšlenku nebo vykonat jakýkoliv přirozeně dobrý čin, natož pak jakýkoliv nadpřirozeně dobrý čin. Vše, co sami od sebe můžeme učinit bez něj, je hřešit, a dokonce i tehdy pochází hříšný čin jakožto čin od Boha, pouze jeho hříšnost pochází od nás samotných, protože hříšnost sama o sobě není něčím pozitivním, ale zkaženým.

Přesto velká spousta duší kolem nás bere Boha, jako by neexistoval, nebo, existuje-li, jako by neměl žádný význam. Je to skutečně neuvěřitelný stav věcí. Zhoršuje se každým dnem. Nemůže přetrvat. Dá se to porovnat pouze se stavem lidstva v době Noeho. Zkaženost lidí byla v té době taková (Gen. VI, 11-12), že pokud by jim Bůh neodňal užívání jejich nejcennějšího daru, jejich svobodné vůle – jen se podívejte, jak většina lidí reaguje, když je chce někdo přinutit něco učinit! – pak by jedinou cestou, kterou mu ponechali, aby zachránil nějaké významnější množství z nich, bylo uštědřit jim nějaký všeobecný trest, při němž by však nicméně neměli čas litovat. To byla potopa, dějinná událost prokázaná velkým množstvím geologických důkazů.

Stejně tak dnes je celosvětový trest před Bohem jistě jediným způsobem, který mu lidstvo nechalo, aby spasil ještě nějaký větší počet duší před hrůzou jejich věčného zatracení. Jako v době Noeho činí milosrdenství Boží v podstatě jistým, že velkému počtu duší bude dán čas a poznání nezbytné k tomu, aby se spasily, pokud budou chtít. A poté mnohé z tohoto velkého počtu, který bude spasen (bohužel nikoliv většina), uznají, že pouze trest je spasil, aby nebyly unášeny s dnešní zkažeností cestou do pekla.

Přesto bude snadné polekat se výbuchem spravedlivého hněvu majestátního Boha. Na míle a míle daleko byli Izraelité vystrašení názornou ukázkou jeho moci na vrcholu hory Sinaj (Exod. XX, 18). Bude dobře si v naší době připomenout proslulou modlitbu sv. Terezie z Ávily (předkládanou zde v rýmovaném překladu do angličtiny k lepšímu zapamatování):

Nada te turbe           Ať mě nic nezneklidňuje,
Nada te espante       ať mě nic nenahání strach.

Todo se pasa           Všechno pomíjí.

Dios no se muda      Bůh se nemění.
La paciencia            Trpělivostí se

Todo lo alcanza        dosáhne všeho.
Quien a Dios tiene   Kdo má Boha,

Nada le falta           tomu nic nechybí.
Solo Dios basta       Bůh sám stačí.

Nejsvětější Srdce Ježíšovo, vkládám v tebe všechnu důvěru, kterou mohu nalézt. Pomoz však mému nedostatku důvěry!


Kyrie eleison.

Zdroj:  HTTP://rexcz.blogspot.cz